Pleure toi aussi,
De voir ainsi fini,
Tout ce qui est jolie,
Tout ce qui a fait ma vie.
Ce qu'elle était belle, christelle,
Joues bordées en dentelle,
De ses yeux milles étincelles,
Elle n'était pas dame pucelle.
Au miroir de son âme,
Je sentais sa flamme,
Je sentais ma femme,
Fallait il que je me blâme?
Passer d'un trait,
Plus rien ne comptait,
Le silence perdurait,
Mais j'y croyais.
Il en aura fallu,
Avant qu'elle ne me tue,
De son amour perdu,
Me voici homme nu.
Nu de coeur arraché,
De mon âme volé,
Je sens la noire nuée,
A jamais m'emporter.
Nuls espoirs apportent la mort,
Qui lentement affaiblit mon corps,
Si il faut rester fort,
Elle l'emportera sans efforts.
dédicacé à christelle
De voir ainsi fini,
Tout ce qui est jolie,
Tout ce qui a fait ma vie.
Ce qu'elle était belle, christelle,
Joues bordées en dentelle,
De ses yeux milles étincelles,
Elle n'était pas dame pucelle.
Au miroir de son âme,
Je sentais sa flamme,
Je sentais ma femme,
Fallait il que je me blâme?
Passer d'un trait,
Plus rien ne comptait,
Le silence perdurait,
Mais j'y croyais.
Il en aura fallu,
Avant qu'elle ne me tue,
De son amour perdu,
Me voici homme nu.
Nu de coeur arraché,
De mon âme volé,
Je sens la noire nuée,
A jamais m'emporter.
Nuls espoirs apportent la mort,
Qui lentement affaiblit mon corps,
Si il faut rester fort,
Elle l'emportera sans efforts.
dédicacé à christelle