De pluie et de soleil froid
Quant au mois de septembre un vent d’océan force
Par dessus le toit, l’oiseau bleu quitte le port
Il va rejoindre sa terre d’accueil où l’hiver s’amorce
Emportant avec lui son chant dans les contreforts
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Demain tôt nous irons aux premières vendanges
Avant la première gelée celle que la merveille fait
Des crus de blancs comme la renaissance de l’ange
Des coteaux qu’un souffle d’Amour régale en bienfaits.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Langueur des jours d’été laisse place à l’automne
Tourbillon de feuilles, de jolis cèpes bruns,
Moment de folie, cueillette s’annonce bonne,
Sur l’herbe les frissons de pas en sont emprunts.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Au loin la plage perd de ses belles couleurs,
Comme une chevelure les algues fleurissent,
De notre promontoire tout n’est que pâleur
Et des roches noires ça et là se hérissent.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Quant au mois de septembre un vent d’océan force
Par dessus le toit, l’oiseau bleu quitte le port
Il va rejoindre sa terre d’accueil où l’hiver s’amorce
Emportant avec lui son chant dans les contreforts
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Demain tôt nous irons aux premières vendanges
Avant la première gelée celle que la merveille fait
Des crus de blancs comme la renaissance de l’ange
Des coteaux qu’un souffle d’Amour régale en bienfaits.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Langueur des jours d’été laisse place à l’automne
Tourbillon de feuilles, de jolis cèpes bruns,
Moment de folie, cueillette s’annonce bonne,
Sur l’herbe les frissons de pas en sont emprunts.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...
Au loin la plage perd de ses belles couleurs,
Comme une chevelure les algues fleurissent,
De notre promontoire tout n’est que pâleur
Et des roches noires ça et là se hérissent.
Tu vois petit, il pleut
Les jours s’ouvrent sur un temps qui pèse à la cime des arbres...