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DE L'AUTRE CÔTE DES RÉCIFS!!

lilasys

Maître Poète
#1
DE L'AUTRE CÔTE DES RÉCIFS ,


Je ne peux abolir ces souffrances qui entaillent mes rires
Qui piétinent mon corps de mille coups de sabots
Si j'étouffe mes cris c'est pour ne plus entendre vos dires
Cette vaine guerre qui se lit dans vos yeux est mon ghetto


Je ne veux plus poser mes paupières vous y liriez mes larmes
Car mes yeux sont noyés de tous ces maux de trop
Ceux que j'emporte avec foi qui pourraient rompre le charme
De ces adieux dignes qui font à certains défauts


Gardez en souvenir contre tous vents ces riches mémoires
Celles faites d'amour et bien plus celles qui mêlent le sang
Il n'y a rien de plus beau que toutes ces tristes histoires
Celles qui salivent de hasard aux reflets du mauvais temps


Orgie de couleurs ,orgie de lumières restez ce brillant paradis
Celui qui rend soucieux celui qui interpelle la plus infernale violette
Saura-telle visiter la vie en escaladant le ciel de nuit
Où se perdra-telle dans les cachots de l'enfer ces tristes oubliettes

LILASYS


 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#2
Le bon coté d’mon récit,

Je veux anoblir les chances qui entravent tes sourires,
Que je destine en décor pour que tu trouves ça beau,
De l’esbroufe, j’écris c’est pour ne plus ouir, ni médire,
Cette déveine de naguère qui éblouit mon œil dès le très tôt.

Tu ne peux plus exposer la lumière que tu tirais des armes,
Par ton œil juxtaposé sur tous mes mots en trop,
Ceux que j’exporte ma fois pour interrompre tous tes drames,
De ces odieux indignes, ceux du dédain de tes maux.

Regardez moi venir plus souvent pour des chiches déboires,
Car au faîte de l’humour pour que je démêle le présent,
Il n’y a rien de plus sot que tous ces gais que je ne veux plus voir,
Ceux qui dérivent, hagards aux effets néfastes des instants.

Oh ! Oui sans douleur, l’or gît de première s’envolant des taudis,
Celle qui prend le p’tit vieux comme l’appelle son instable voilette,
Saura-t-elle hésiter à l’envie de la désespérance qui la fuit,

Où s’égarera-t-elle sur des réchauds à l’envers des belles emplettes.