Las, parfois quand le temps vire à l'orage
L'énergie me quittant menace mes remparts
Sombrer en cachette dans l'encre hagard
Inerte statue figée dans l'heure sans nuage.
Laissant l'écho marteler sa plainte cinabre
Masque d'argile et l'éclair tranchant du sabre Sol terne la richesse partit en poussière
La journée s'éteint au tombeau mortifère
Ô paresse ennemie ! Mes élans se fanent
Impuissant je me débat seul contre moi
Tout m'échappe, reposant, terrifiant à la fois
Ce condamné dans sa prison de larme
Tentant de résister garder le bon côté
En vain, je ne peux ne serait-ce le déjouer
Tel un fantôme je suis blanc de regret
Je bois ma peine, les étoiles n'on plus un rai
Fixé sur demain un champs bleu j'espèrai
Un royaume de lumière en riche ondée
Un baiser d'amour par la douce pensée
Que renait l'éventail au souffle d'une forêt.
L'énergie me quittant menace mes remparts
Sombrer en cachette dans l'encre hagard
Inerte statue figée dans l'heure sans nuage.
Laissant l'écho marteler sa plainte cinabre
Masque d'argile et l'éclair tranchant du sabre Sol terne la richesse partit en poussière
La journée s'éteint au tombeau mortifère
Ô paresse ennemie ! Mes élans se fanent
Impuissant je me débat seul contre moi
Tout m'échappe, reposant, terrifiant à la fois
Ce condamné dans sa prison de larme
Tentant de résister garder le bon côté
En vain, je ne peux ne serait-ce le déjouer
Tel un fantôme je suis blanc de regret
Je bois ma peine, les étoiles n'on plus un rai
Fixé sur demain un champs bleu j'espèrai
Un royaume de lumière en riche ondée
Un baiser d'amour par la douce pensée
Que renait l'éventail au souffle d'une forêt.