Dans l’ocre de la nuit file un voile d’amour,
Il n’est guère enchanté de souhaiter la gloire,
Autrement il ressent la fin de son histoire,
Lui faut-il dans les yeux feindre un regard glamour ?
Il n’est guère enchanté de souhaiter la gloire,
Autrement il ressent la fin de son histoire,
Lui faut-il dans les yeux feindre un regard glamour ?
Puis quand l’âme reçoit la ferveur de l’ivresse,
À peine la chaleur de son corps le retient.
Il veut pour souvenir un baiser de tendresse,
Arrimé de couleurs à l’éclat qui lui vient
Dans l’ocre de la nuit.
À peine la chaleur de son corps le retient.
Il veut pour souvenir un baiser de tendresse,
Arrimé de couleurs à l’éclat qui lui vient
Dans l’ocre de la nuit.
Il hume dans l’esprit la trace d’une larme
Et l’espoir au matin de vivre dans l’oubli.
Nul ne cherche jamais le souffle qui faiblit,
Mais rongé dans son cœur, la rumeur le désarme,
Dans l’ocre de la nuit.
Et l’espoir au matin de vivre dans l’oubli.
Nul ne cherche jamais le souffle qui faiblit,
Mais rongé dans son cœur, la rumeur le désarme,
Dans l’ocre de la nuit.
Maria-Dolores
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