Viens Imprégner ma chair
Sur le tissu léger de la lumière,
Me submerger d’émotions
Dans l'ombre de tes étreintes
Redessinant les empreintes émouvantes,
Volant à mon corps toutes les caresses
Le long de mes plaintes.
Cette manière de percevoir, de concevoir ton regard
Gourmand se glissant sans égard
Sur l'arrondi de mes formes qui s'égarent
Comme un raz-de-marée entre tes mains
Se faufilent, m’effeuillant la peau
Du bout de la plume de tes doigts exaltant,
Caresse-moi encore que nos corps se recherchent
Tes doigts à l'intérieur de mes cuisses
Remontant jusqu’à mon postérieur.
Mon corps à soif de ton imagination
De tes mots remplis d’émotion, de fascination,
Je ne sais plus comment l’arrêter
Je n'arrive plus à me taire,
Mon corps a besoin de trouver sa place,
Sur les contours gestuelles de tes gestes,
Captivant, cultivant les émotions, les envies.
Sur le tissu léger de la lumière,
Me submerger d’émotions
Dans l'ombre de tes étreintes
Redessinant les empreintes émouvantes,
Volant à mon corps toutes les caresses
Le long de mes plaintes.
Cette manière de percevoir, de concevoir ton regard
Gourmand se glissant sans égard
Sur l'arrondi de mes formes qui s'égarent
Comme un raz-de-marée entre tes mains
Se faufilent, m’effeuillant la peau
Du bout de la plume de tes doigts exaltant,
Caresse-moi encore que nos corps se recherchent
Tes doigts à l'intérieur de mes cuisses
Remontant jusqu’à mon postérieur.
Mon corps à soif de ton imagination
De tes mots remplis d’émotion, de fascination,
Je ne sais plus comment l’arrêter
Je n'arrive plus à me taire,
Mon corps a besoin de trouver sa place,
Sur les contours gestuelles de tes gestes,
Captivant, cultivant les émotions, les envies.
Il attende que tu le libères de ces gémissements
Sous la clameur de tes lèvres,
Qui me touchent, me caressent
Inlassablement, insatiablement.
Éveillant les murmures qui se font entendre.
Pour toi je me ferais démoniaque ou féline,
Tu auras le choix dans un jeu rempli de luxures.
Pile je m’abandonnerai à toi,
Face tu seras entièrement à moi
Que je gagne ou je perde
Le jeu en vaudra la chandelle
Pour notre plaisir commun et charnelle,
Que procurent toutes ces sensations des gestes.
Je t’attache, tu es à moi
Tu m’attaches, je suis à toi
Dans le jeu perpétuel de l’envie où va la vie,
Je suis à toi pour tes désirs,
Tu es à moi pour mes envies.
Sur quel orifice viendras-tu t’attarder, me toucher,
Me caresser en premier,
Les yeux voyagent sur l’arrondi et mes formes.
Aimerais-tu peut-être que je commence,
Que je te l'ordonne ?
Plusieurs gestuelles me viennent en tête
Je sens les pulsions parcourir mon corps,
Qui se parsème sous la chaleur de tes mains
Imaginant ta peau, l'excitation que tu me procures.
Machinalement ta langue se promène sur mes lèvres
Fermant les yeux, je me laisse emporter par ces préliminaires
Mon corps danse, gigotant de gauche à droite avec toi.
Tout en moi, se contracte et décontracte
Je suis à toi pour mes désirs
Car le plaisir est au bout du jeu.
Que les jeux commencent
Prend moi par côté face,
Me mettant à rude épreuve l’envie,
Le désir de tes doigts qui me fouillent,
Faisant couler en moi la fontaine chaude de mes maux.
Que nos désirs soient les fruits insoupçonnés
De l’audace des gestes dociles,
Qui parcourent de plaisirs nos lignes tendues
A la limite de rompre dans une pièce nous désigne.
Que je ne maîtrise plus rien de cette attente
Sous les caresses soutenues
Se faisant de plus en plus oppressantes, douces et appuyés,
Insistant sur les meilleures parties de mon corps
Dans le bruit et le son de nos soupirs,
Que je puisse accueillir en moi,
La semence chaude et puissante
Qui fait vibrer l’entrave de mes doigts
Pendant que les tiens me parcourent le corps en toute liberté
L.Deléglise
Sous la clameur de tes lèvres,
Qui me touchent, me caressent
Inlassablement, insatiablement.
Éveillant les murmures qui se font entendre.
Pour toi je me ferais démoniaque ou féline,
Tu auras le choix dans un jeu rempli de luxures.
Pile je m’abandonnerai à toi,
Face tu seras entièrement à moi
Que je gagne ou je perde
Le jeu en vaudra la chandelle
Pour notre plaisir commun et charnelle,
Que procurent toutes ces sensations des gestes.
Je t’attache, tu es à moi
Tu m’attaches, je suis à toi
Dans le jeu perpétuel de l’envie où va la vie,
Je suis à toi pour tes désirs,
Tu es à moi pour mes envies.
Sur quel orifice viendras-tu t’attarder, me toucher,
Me caresser en premier,
Les yeux voyagent sur l’arrondi et mes formes.
Aimerais-tu peut-être que je commence,
Que je te l'ordonne ?
Plusieurs gestuelles me viennent en tête
Je sens les pulsions parcourir mon corps,
Qui se parsème sous la chaleur de tes mains
Imaginant ta peau, l'excitation que tu me procures.
Machinalement ta langue se promène sur mes lèvres
Fermant les yeux, je me laisse emporter par ces préliminaires
Mon corps danse, gigotant de gauche à droite avec toi.
Tout en moi, se contracte et décontracte
Je suis à toi pour mes désirs
Car le plaisir est au bout du jeu.
Que les jeux commencent
Prend moi par côté face,
Me mettant à rude épreuve l’envie,
Le désir de tes doigts qui me fouillent,
Faisant couler en moi la fontaine chaude de mes maux.
Que nos désirs soient les fruits insoupçonnés
De l’audace des gestes dociles,
Qui parcourent de plaisirs nos lignes tendues
A la limite de rompre dans une pièce nous désigne.
Que je ne maîtrise plus rien de cette attente
Sous les caresses soutenues
Se faisant de plus en plus oppressantes, douces et appuyés,
Insistant sur les meilleures parties de mon corps
Dans le bruit et le son de nos soupirs,
Que je puisse accueillir en moi,
La semence chaude et puissante
Qui fait vibrer l’entrave de mes doigts
Pendant que les tiens me parcourent le corps en toute liberté
L.Deléglise
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