D’un gros chat à sa poupée d’Amour.
Comment exprimer tout ce que je ressens
Dans mon cœur, dans mon corps quand
Dans ma tête les images de toi se bousculent
Et qu’elles tournent comme des libellules
Mes mains amoureusement par ton corps attirées
Du soir au matin, jamais ne cessent de me parler
De tes seins, de ton sexe, de ton ventre, de tes fesses
Pour lesquels, toujours, elles veulent faire des prouesses
Bien sûr pour l’humain ordinaire et non initié
Dire de telles choses tout naturellement peut choquer
Pourtant si, comme moi ils te voyaient, désirable et offerte
Comme moi, amoureux, ils courraient à leur perte.
Oui, je cours me perdre dans tes bras, avec allégresse
Sur tes seins, sur ton ventre, dans ton sexe, sur tes fesses
J’y suis si bien que je voudrais pour des heures m’y installer
Jusqu'à plus soif te caresser, et pour finir te pénétrer.
Evidemment, ma poupée, de toi j’ai toujours envie
Et sans retenue dans les yeux je te le dis
Mon ventre vers toi avec délice se tend sans cesse
A cette idée, c’est un délice, se durci mon sexe.
Ô combien de toi il a envie, et comment ne pas comprendre
Que lui comme moi avons envie, sans retenue, de te prendre
Ta bouche sur la mienne, nos langues mélangées
Dans ma tête déjà, c’est dans ton sexe que je veux aller.
Partout, sur ou dans toi, ma bouche, mon sexe ou mes mains
Sans retenues ni tabous veulent trouver leur chemin.
Explorer le moindre des replis de ta peau
Entre tes jambes, de ton bonheur boire l’eau.
Voir tes yeux chavirer, ta peau frémir, ton corps trembler
Sentir ton odeur, écouter tes râles de chatte comblée
Malgré moi , irrésistiblement une vague que rien n’arrête
Dans ta plus douce et secrète intimité me projette
Pour toi, mes désirs ne trouvent plus de limite
Et c’est toujours un peu frustré que je te quitte
Peut-être un jour nous pourrons tout les deux
Enfin réaliser les plus fous de nos voeux
En poème, c’est plus facile qu’en parole, alors je te le dis
Dans ton sexe, dans tes mains, sur tes seins, trés trés fort j’ai envie
De frotter mon désir, par toutes tes merveilles, gonflé
Et pour finir entre tes lèvres, n’y pouvant plus, m’épancher.
Puis, recommencer, encore et encore ton corps caresser
Les bouts de tes seins entre mes lèvres par ma langue titillés
Glisser entre tes cuisses pour poser ma bouche sur ta fleur
La caresser, la lécher, la boire, en respirer l’odeur
Dans nos sexes, sans fin mélanger nos bonheurs
Partout, l’un dans l’autre en douceur et sans heurt
Ne plus faire qu’un, tout donner, jouir de tout
Sentir tes larmes de bonheur dans mon cou
Mes lèvres, ma langue, ma bouche, ma peau, mes doigts
Mon ventre, mes yeux, mon sexe jamais ne se lasseront de toi
Et s’ils devaient un jour cesser amoureusement de te parcourir
Une fois encore, pour toujours peut-être, se serait comme mourir.
Nous n’en sommes pas là, et aujourd’hui, tu es là
Viens, totalement nue, de blottir dans mes bras
Viens me donner tout ce que j’attends de toi
Je vais te donner tout ce que tu attends de moi
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