Dépit
Si te voir a fait battre le sang dans mes veines,
Penser à toi le fait bouillir, il se déchaîne.
Tout a changé, tout est différent depuis toi.
J’ai découvert un monde passionnant en moi.
Le désir de connaître les plaisirs charnels
Ne m’avait, jusque là, pas semblé essentiel,
Mais je sais aujourd’hui que je ne peux plus taire
La soif irrépressible d’assouvir ma chair.
Je voulais tellement que ça n’existe pas,
Que ces histoires d’orgasmes ne soient que mythes,
Alibi pathétique à mes frustrants ébats.
A présent mon dépit n’aura plus de limites.
Je connais désormais de torrides tourments
Qui ne seront jamais soignés par un amant.
Il me faut apaiser, solitaire, mon sang,
Et vibrer en esprit sous les doigts du néant.
Mais ne te sent pas triste, tu n’es pas coupable.
Tu as ouvert la porte qui était en moi
J’aurais dû mieux fermer et bien cacher la clé.
La faute me revient, c’est moi la responsable.
Grâce à toi je peux croire au royaume des fées
Car c’est toi qui en es le beau prince charmant.
Et puisque tu existes, je peux espérer
Qu’il y a un paradis à la fin des temps.
Si te voir a fait battre le sang dans mes veines,
Penser à toi le fait bouillir, il se déchaîne.
Tout a changé, tout est différent depuis toi.
J’ai découvert un monde passionnant en moi.
Le désir de connaître les plaisirs charnels
Ne m’avait, jusque là, pas semblé essentiel,
Mais je sais aujourd’hui que je ne peux plus taire
La soif irrépressible d’assouvir ma chair.
Je voulais tellement que ça n’existe pas,
Que ces histoires d’orgasmes ne soient que mythes,
Alibi pathétique à mes frustrants ébats.
A présent mon dépit n’aura plus de limites.
Je connais désormais de torrides tourments
Qui ne seront jamais soignés par un amant.
Il me faut apaiser, solitaire, mon sang,
Et vibrer en esprit sous les doigts du néant.
Mais ne te sent pas triste, tu n’es pas coupable.
Tu as ouvert la porte qui était en moi
J’aurais dû mieux fermer et bien cacher la clé.
La faute me revient, c’est moi la responsable.
Grâce à toi je peux croire au royaume des fées
Car c’est toi qui en es le beau prince charmant.
Et puisque tu existes, je peux espérer
Qu’il y a un paradis à la fin des temps.