Je pars,
L’oiseau sur la branche me salue d’un air hagard,
Le soleil me tire sa révérence dans un ultime rayon,
Le vent me porte en un murmure sans son.
La plaine est légèrement éclairée,
L’air est d’une extrême douceur,
L’eau s’écoule dans son lit de galets,
Le ciel verse un dernier pleur.
La plaine s’est finalement obscurcit,
L’air est devenu sec et froid,
L’eau a quitté son lit,
Le ciel a perdu son émoi.
Le vent m’a lâché d’une voix franche,
Le soleil a disparu derrière la colline des sans-soucis,
L’oiseau s’est envolé de sa branche,
Et moi, enfin, je suis parti…
L’oiseau sur la branche me salue d’un air hagard,
Le soleil me tire sa révérence dans un ultime rayon,
Le vent me porte en un murmure sans son.
La plaine est légèrement éclairée,
L’air est d’une extrême douceur,
L’eau s’écoule dans son lit de galets,
Le ciel verse un dernier pleur.
La plaine s’est finalement obscurcit,
L’air est devenu sec et froid,
L’eau a quitté son lit,
Le ciel a perdu son émoi.
Le vent m’a lâché d’une voix franche,
Le soleil a disparu derrière la colline des sans-soucis,
L’oiseau s’est envolé de sa branche,
Et moi, enfin, je suis parti…