Un carreau assombris par l'illusion sanglante de mes larmes
Quelques perles irisées dans la chaleur de l'ombre crepusculaire
Et tout autour de moi tresser de part et d'autre un refuge de cendres
L'immense amoncellement de toutes mes cicatrices et drames d'antan
Luisant a l'unisson dans la dorure ténébreuse de l'espoir déchu...
J'avais tant de choses à aimer, a découvrir a vivre mais déjà a l'aube
Je m'enfoncer un pieu au coeurs, vénérant en secret les ombres vampirique
Adorant derrière mes sourires la douleur de la mort, choyant mes blessures
Comme autant de joyaux j'en tracer les contours et noyé mon malêtre dans tant d'illusion...
Je savais la lumière à mon mal le remède, mais desespérément m'en cachais avec hate
Je savais combien ma vie encore, malgré mes larmes et mon sang noir versé,
Valait le coup d'être offerte à la vie qui m'entourais mais dont la brulure me tuais
Le venin de la folie traçais en moi ces chemins, et répandais le souffle d'une proche mort...
Je ne pouvais lutter contre l'appelle de mort que me lancait ces ombres tant adorées
Jusqu'au jour ou tu es arriver, tu le sais bien mon ange tu ma tendu la main
Sans la douceur tendre de tant d'amour donner sans même en demander
Je ne serai plus dans l'étreinte de tes bras mais dans celle du cercueil de bois...
Mais malgré tes efforts le démon des ombres, hantera encore mes nuits torturés
Tant que dans ta chaleur je ne puiserait la force de le chassé, le tué, l'égorgé
Ce maudit ange noir qui ravage mon coeur et à griffer le tiens, cet ombre malveillante
Qui m'insuffle la mort, érige en moi la douleur de la pein, noie mes espoirs et tue mon âme...
Quelques perles irisées dans la chaleur de l'ombre crepusculaire
Et tout autour de moi tresser de part et d'autre un refuge de cendres
L'immense amoncellement de toutes mes cicatrices et drames d'antan
Luisant a l'unisson dans la dorure ténébreuse de l'espoir déchu...
J'avais tant de choses à aimer, a découvrir a vivre mais déjà a l'aube
Je m'enfoncer un pieu au coeurs, vénérant en secret les ombres vampirique
Adorant derrière mes sourires la douleur de la mort, choyant mes blessures
Comme autant de joyaux j'en tracer les contours et noyé mon malêtre dans tant d'illusion...
Je savais la lumière à mon mal le remède, mais desespérément m'en cachais avec hate
Je savais combien ma vie encore, malgré mes larmes et mon sang noir versé,
Valait le coup d'être offerte à la vie qui m'entourais mais dont la brulure me tuais
Le venin de la folie traçais en moi ces chemins, et répandais le souffle d'une proche mort...
Je ne pouvais lutter contre l'appelle de mort que me lancait ces ombres tant adorées
Jusqu'au jour ou tu es arriver, tu le sais bien mon ange tu ma tendu la main
Sans la douceur tendre de tant d'amour donner sans même en demander
Je ne serai plus dans l'étreinte de tes bras mais dans celle du cercueil de bois...
Mais malgré tes efforts le démon des ombres, hantera encore mes nuits torturés
Tant que dans ta chaleur je ne puiserait la force de le chassé, le tué, l'égorgé
Ce maudit ange noir qui ravage mon coeur et à griffer le tiens, cet ombre malveillante
Qui m'insuffle la mort, érige en moi la douleur de la pein, noie mes espoirs et tue mon âme...
