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Délires déséspérés.

#1
Sans cesse, pleurer, ne jamais s'arrêter.
Car quoi? Car rien, justement, c'est cela
Oui, la raison, réponse du pourquoi
C'est que rien, ne rien faire pour cesser.
Devant les autres, ceux qui vivent, simplement
Ces gens, tournoyant, qui m'écœure
Qui, d'une parole, donnent mal au cœur.
Devant eux, rester bien, bravement.
Ne sourire jamais, enfin, toujours
Mais pour eux, pour cacher, se cacher.
Ne rien, non, rien leur dévoiler
Ils comprendront, j'espère, un jour.
Et puis, seul, enfin, oui, alors là
Je m'autorise, parfois, à poser les armes,
A laisser jaillir, couler, les larmes
En ton honneur, ces larmes, elles sont pour toi.
Je dois me cacher, sans cesse, je suis
Comme un gibier, mais, le chasseur, ici
C'est la corde, oui, voila ce que je suis,
Gibier de potence, j'ai peur pour ma vie.
Ces lames, que toi, tu ne vois-verra?- jamais
Qui l'entaillent, mon cœur, en coulant,
jaillissent par mes yeux, vivement
Ces gouttes de bonheur, qui partent à jamais.
Moi, je pleurs, sans cesse, je n'ose me plaindre.
Je garde tout en moi, je n'ai pas le choix
Non, pas le choix, il ne faut que l'on me voit.
Jamais, je ne dois jamais geindre.
Le monde qui me voit, vivant, mouvant
Je leur jette, souvent, de la poudre aux yeux
Ces gens qui me pensent, riant et chantant.
Ont de la poudre, partout sur eux.
Habitué de cette taverne, Voyageur de passage
N'écoute pas ce que raconte un jeune conteur fou
Que la douleur égard, qui voit le chemin tellement flou.
La raison le recouvre parfois, alors il écoute les sages.
Les sage me disent d'oublier, de vivre encore,
Mais je ne veux pas vivre, ni la nuit, ni le jour!
J'avais trouvé la vie, j'avais gagné son amour!
Mais elle est partie, statuant sur mon sort.
Persuadée, c'est ce qu'elle est maintenant,
Comme tous, ceux qui croient être au courant.
Mais je suis fou, fui ! Pauvre manant
Elle reviendra vers Clément.
Un jour prochain, très vite, peut-être?
J'irai, moi, la chercher, elle.
J'emporterai ma belle.
Et, vite, elle me fera, de nouveau, être.

Je ne dois, je ne peux, il m'est interdis
De faire passer ma vie avant son bonheur.
Je resterai Clément, et perdrais mon esprit.
Mais je ne la toucherai, et attendrai mon heure.
Je ne devrais pas écrire ces choses là
L'amour est vite démodé
A t'on le droit d'aimer ici bas?
Je n'ose me déclarer.
Pendant presque deux année bénies
Elle fut toute ma vie.
Mais m'aimer, toute une vie?
Voila bien un tour de mon esprit.
J'ai compris grâce à elle, douloureusement
Que je suis tombé amoureux éternellement.
La jambe cassée, je ne peux me relevé maintenant.
Abandonné, je ne peux que mourir très lentement.
J'ai compris aussi, par cette histoire, par cette fleur
Que mon cœur, passionné attire les cœurs.
Mais bientôt cesse le charme et elles s'écœurent.
Je suis un être moins que banal, qu'elle horreur!!
Voila pourquoi une femme, jamais ne pourra m'aimer.
Après un temps superbe et passionné,
Elle me verra, froid, calculateur, fou à lier.
Alors elle partira, elles tiennent plus à leur sécurité.
Je l'avoue je suis fou, mais la Magnolia
Cette fleur si belle, qui fut à moi
En est la cause unique tu vois.
Magnolia!, je ne suis qu'à toi!

Ecoute, revient, écoute moi
S'il te plait, allez, Magnolia
Regarde moi, mieux, reste là!
Oublie-le, regarde-moi!
Je suis, avec toi, je ne suis que moi!
Oh! Jamais je n'ai, osé, même pensé,
Faire de toi, comme, tu l'as dis, tu le crois,
Comme tous ces gens, un simple jouet.
Regarde-moi! Suis-je un être si terrible?
Je ne demande qu'à être aimé de toi
Oh! Toi, la Magnolia immarcescible
Dis moi, qu'est-il de si moche en moi?
Est-ce parce que je n'aime que toi?
Que le monde pourrait mourir ;
Peut me chaux ; je pourrais en sourire
Si tu étais encore là, toi.
Ou est-ce parce que je me sers des gens
Les politiques aussi manipulent les êtres.
Tout le monde se sert de tout le monde maintenant.
A une bien plus grande échelle même, peut-être.
Est-ce parce que tu crois que je me pense supérieur
A cause de mon intelligence soit disant incroyable?
Sache que je me sais surtout être inférieur
Surtout à toi, je suis vraiment pitoyable.
Je suis un être terne, et sans joie.
Jamais je n'ai su vraiment rire, c'est vrai.
Tes yeux et leurs sourires faisaient ma joie.
Je me vouais à toi, tout entier.
Voila le terme de ce poème idiot
Poème inutile et sans paroles.
Un texte pas régulier, et pas beau!
Plein de cette muse folle.
Vous aurez compris, ce poème est laid
Juste destiné à noyer mes larmes.
Je veux retrouver la douceur née
De la sentir me tuer de ses armes.​
Clément.​
 
#2
et pourquoi sa ne serais pas beau toute ecriture et belle surtout quand elle vient du coeur courage a toi et bonne route dans ta vie future
 

isa90

Maître Poète
#3
toutes ces questions qui viennent du fond de ton coeur et si bien decrites, une pure merveille ton poeme.
bravo
bisous
isa
 
#4
tu as tort ton écriture est magnifique, sincère, vraie, tu gagnes à être connu, malgré ton âge tu possède déjà une certaine maturité ce qui arrive quand notre coeur a été brisé, j'espère qu'elle te reviendra, mais pose toi la question de savoir si cela ferait vraiment ton bonheur...je vote pour ce très beau poème( dont bcp de passages m'ont fait pensé a moi au même âge que toi)
 
#6
impressionnant qu'un poème aussi long parvienne aussi bien à tenir en haleine. tellement puissant et magnifique qu'on ne voudrait surtout pas en rater une ligne!
je le redis. tu es un magicien.
 
#7
ce poeme me fai penser ames debore amoureu il a couper le souffle j'en ai pa décoller mes yeu juska la fin il est tré emouvan
merci pour ten démotion en kelke ligne c rare
préscilia