Dès qu’on ?
C’était hier, quelle déconvenue,
Après l’élection des cons venus,
Comment être décontracté,
Quand vous êtes par de cons tractés.
Car toujours, le con, plie, ment,
Sans jamais aucun compliment.
Jamais je ne ferais de compromis,
Avec les cons. Promis !
Pourtant, j’essaye de décompresser,
Mais, je suis par des cons pressé.
Je me sens de plus en plus déconcerné,
L’impression d’être par des cons cernés.
Et j’en reste tout déconfit,
De voir ce que le con fit,
Et d’être tout confus,
D’avant ce que le con fut !
Faut aller aux confins,
Pour trouver un con fin.
Etre concis me confier en confort,
Si le con et fier, il est un con fort.
Je pense que vous les avez reconnu,
Ils sont partout ces cons nus,
Mal en conférence,
Car le con fait rance.
Quand le con dort,
Rêve au grand condor,
Et quand le con sort,
D'être prince consort.
Dans le tri jamais je ne confonds,
Quand je veux que le con fond,
Car j’aimerai que le con sût,
Qu’il est d’idées mal conçues.
Je finirais par des mots déconcertants,
Pour pouvoir voir des cons sortants.
