Sur le chemin de ma triste vie,
je presse le pas, il va pleuvoir,
mon coeur n'a point de parapluie.
Les première larmes me coulent ce soir...
Le vent hurlant son désepoir,
le ciel se ferme et s'obscurcit,
le tonnerre gronde sa colère noire,
et moi dans la nuit froide, je fuis.
Tout à coup, surgissant de l'obscurité,
un éclair puissant me transperça le coeur,
tu étais là devant moi, illuminée...
vite un baiser ou je me meurs.
A genoux devant toi, te suppliant,
tout doux, je te déclare ma flamme,
celle qui alluma ce feu ardent,
cette foudre a pétrifié mon âme.
Sur le chemin de mes amours,
je rallentis, le soleil brille,
de ses mille feux, aux si beaux jours,
c'est donc ma fée cette jolie fille.
un seul instant sans toi, et tu me manques,
piques moi encore les veines de ton amour,
je rêve, je planne, je suis le saltabanque
qui danse pour toi tel le paon faisant la cour.
comme je voudrais que nos inoubliables moments,
restent figés, gravés pour tous les temps.
que l'aiguille de cette horloge cassée,
reste à jamais sur cette instant aimé.
Mais dans la foudre il y a le coup,
le coup qui frappe et qui fait mal,
la foudre a fusionné nos pouls,
puis refroidis nos baisers pâles.
L'Amour ne s'éteint jamais vraiment,
il suffit d'une bûche de temps en temps,
le feu se consomme alors jusqu'à la mort,
dans un couple cela demande toujours efforts.
Alors que croyez vous, pauvres foudroyés?
que toute votre vie vous mériteriez,
de resssentir couler dans vos coeurs,
cette fièvre, cette drogue et cette ardeur?
Et bien pleurer pauvres pêcheurs,
Adan et Eve s'en sont allés,
ils ont vécu un long bonheur,
avec toujours complicité.
je presse le pas, il va pleuvoir,
mon coeur n'a point de parapluie.
Les première larmes me coulent ce soir...
Le vent hurlant son désepoir,
le ciel se ferme et s'obscurcit,
le tonnerre gronde sa colère noire,
et moi dans la nuit froide, je fuis.
Tout à coup, surgissant de l'obscurité,
un éclair puissant me transperça le coeur,
tu étais là devant moi, illuminée...
vite un baiser ou je me meurs.
A genoux devant toi, te suppliant,
tout doux, je te déclare ma flamme,
celle qui alluma ce feu ardent,
cette foudre a pétrifié mon âme.
Sur le chemin de mes amours,
je rallentis, le soleil brille,
de ses mille feux, aux si beaux jours,
c'est donc ma fée cette jolie fille.
un seul instant sans toi, et tu me manques,
piques moi encore les veines de ton amour,
je rêve, je planne, je suis le saltabanque
qui danse pour toi tel le paon faisant la cour.
comme je voudrais que nos inoubliables moments,
restent figés, gravés pour tous les temps.
que l'aiguille de cette horloge cassée,
reste à jamais sur cette instant aimé.
Mais dans la foudre il y a le coup,
le coup qui frappe et qui fait mal,
la foudre a fusionné nos pouls,
puis refroidis nos baisers pâles.
L'Amour ne s'éteint jamais vraiment,
il suffit d'une bûche de temps en temps,
le feu se consomme alors jusqu'à la mort,
dans un couple cela demande toujours efforts.
Alors que croyez vous, pauvres foudroyés?
que toute votre vie vous mériteriez,
de resssentir couler dans vos coeurs,
cette fièvre, cette drogue et cette ardeur?
Et bien pleurer pauvres pêcheurs,
Adan et Eve s'en sont allés,
ils ont vécu un long bonheur,
avec toujours complicité.