« Constantine, une comptine »
Cela me tient à cœur, rêveur !
Les pieds noirs, j’avance vers ce passé,
Une origine que j’imagine, penseur,
A Léontine, ma mamie, tant je t’aimais,
A mon papi louis, toujours si poli, c’était prédéfini,
Depuis le temps, con j’étais, je vous suis !
Je me plains alors que vous étiez, mieux vaut en rire, en colonie,
Une dédicace, je l’espère efficace, je poursuis…
Ayant traversé la Méditerranée, Marie était claire,
Ma mère est dite et je suis né, si ouvert,
Elle a rencontré Patrie qu’elle aime,
Cela a donné Florence, que j’aime…
Francine, j’imagine est toujours là,
Je me suis bien fendu la poire avec la belle Hélène,
Que de souvenirs et de plaisirs, je ne m’en lasse pas,
Sur ce plateau, avec haleine, avec des mots, je souffle,tel la baleine .
Tout le monde me rend fort
jE plonge et puis j’émerge
…
Frédéric Reboul
***
Toute une histoire en sentiments et entre continents
A suivre
Cela me tient à cœur, rêveur !
Les pieds noirs, j’avance vers ce passé,
Une origine que j’imagine, penseur,
A Léontine, ma mamie, tant je t’aimais,
A mon papi louis, toujours si poli, c’était prédéfini,
Depuis le temps, con j’étais, je vous suis !
Je me plains alors que vous étiez, mieux vaut en rire, en colonie,
Une dédicace, je l’espère efficace, je poursuis…
Ayant traversé la Méditerranée, Marie était claire,
Ma mère est dite et je suis né, si ouvert,
Elle a rencontré Patrie qu’elle aime,
Cela a donné Florence, que j’aime…
Francine, j’imagine est toujours là,
Je me suis bien fendu la poire avec la belle Hélène,
Que de souvenirs et de plaisirs, je ne m’en lasse pas,
Sur ce plateau, avec haleine, avec des mots, je souffle,tel la baleine .
Tout le monde me rend fort
jE plonge et puis j’émerge
…
Frédéric Reboul
***
Toute une histoire en sentiments et entre continents
A suivre
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