Des épines immaculées Enfance insouciante Les nuages noirâtres Subliment leur toîle Aux élans timorés Enfance insouciante Les buées blanchâtres Déposent leur voile Des amours immaculés Ressenti indolent Le sourire engageant Dispose des rêves Aux sentiments émoussés Ressenti indolent Le visage hésitant S’amarre aux sèves La réalité s’estompe Voilée par la passion Des guerres aux amours Je vis par la raison mon Amour Le réel réapparaît Je suis ammaré Aux plus doux souvenirs Je me languis d’en vivre Soumis et transcendé Envahi et tiraillé Je ne m’appartiens plus Me suis-je jamais appartenu Je vis, je meurs J’envie, j’en pleure Ne m’as-tu jamais appartenu Tu te dérobes enfin, entièrement nue