Conférences de sardines, (pastiche)
D’une route bitumeuse, mes roues désabusées,
S’entrechoquent aux bonds des carcasses enivrantes,
Ils décomptent l’existence des lames amortissantes.
Lévitent sous l’aile, d’espoirs non amusés,
Lourdes mais dégourdies sur les pierres usées,
Remarquent ce rentier que la France déchante,
Décrochent les ripoux d’énigmes désopilantes,
Qui se méfient des composés aux formes prédisposées.
Les pierres ravageuses soudoient le quadrille,
Et actionnent en malin la peine des vétilles,
Mature de défaire, mal forgée ce char sans réaction.
Epie de près les signes et ratisse son faux train,
Débris d’un temps lointain de l’âge centurion,
Quand le décret murmure et ajourne tous les soins.
D’une route bitumeuse, mes roues désabusées,
S’entrechoquent aux bonds des carcasses enivrantes,
Ils décomptent l’existence des lames amortissantes.
Lévitent sous l’aile, d’espoirs non amusés,
Lourdes mais dégourdies sur les pierres usées,
Remarquent ce rentier que la France déchante,
Décrochent les ripoux d’énigmes désopilantes,
Qui se méfient des composés aux formes prédisposées.
Les pierres ravageuses soudoient le quadrille,
Et actionnent en malin la peine des vétilles,
Mature de défaire, mal forgée ce char sans réaction.
Epie de près les signes et ratisse son faux train,
Débris d’un temps lointain de l’âge centurion,
Quand le décret murmure et ajourne tous les soins.