Lumièrelive n’est pas disponible actuellement pour les CC,
c’est moi ZUC qui prend en charge et met en ligne ce concours,
Bonne participation à tous.
Le Panthéon
"Aux grands hommes la Patrie reconnaissante "
que cette page de concours soit le Panthéon de Créapoème
Concours du 6 au 30 Novembre
résultat le 4 décembre
Hommage à un personnage célèbre disparu
de votre choix
(Écrivain, Poète, Artiste, Chanteur, Peintre, Acteur, Homme politique, etc ...)
Sujet:
Rendez hommage au personnage disparu de votre choix, en évoquant sa vie, sa mémoire, en y mettant des références, exemple : pour un chanteur des titres de chansons, un auteur des titres de livres, un homme politique en citant des phrases célèbres exemple Charles de Gaule « je vous ai compris » etc.
Vous pouvez adopter un ton triste, nostalgique, mais aussi y adjoindre sans être déplacé des petites notes d’humour, et d’originalités.
Consignes :
Forme ABAB, en quatrain, rimes alternance F/M, sans rimes pauvres, métrique libre
Attention toute fois à l’orthographe et à la ponctuation !
Évitez les répétitions
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours
Envoi de vos participations en MP à ZUC
besoin de juges !!! Me contacter en MP
Poème d'Aragon "Robert le diable" rendant hommage au poète Robrert Desnos, Chanté par Jean Ferrat
Médaille d'Argent.......................Lilasys : 8.58/10
Médaille de Bronze..........LUMIERELIVE : 8.5/10
1-Tempête pour les héritiers Luron1er 7,45
Auprès de son arbre, j’ai vécu,
De ma province capitale,
De ses mots, j’ai reçu,
N’m’en reste que le principal.
J’me suis fait tout p’tit,
Venu jouer au Gorille,
J’vous salue bien, il abattit,
Avec lino, mais sans bisbille.
Jouant avec cette petite fleur,
Logée dans une peau de vache,
Chantant toujours avec son cœur,
Remettant ses écrits à la tâche.
Pourtant auprès des passantes,
Il avait mauvaise réputation,
Amitié des copains puissante,
Méritant toutes nos acclamations.
Cupidon se fout de la clair fontaine,
Heureux comme Ulisse,
Il voulait l’appeler vilaine,
Ses beaux airs en étaient ses prémisses.
L’orage en son coin de paradis,
Admirant le p’tit chat de Margot,
Prenant la canne de Jeanne en parapluie,
Et mettant à la page l’auvergnat et le bigot.
Derrière le cheval gris, a pris perpette
Mort pour ses idées
Reposer en ville de Sétes,
Que retentissent les trompettes de la renommée !
Très bel hommage à Brassens
attention trois rimes pauvres « vécu/reçu » « paradis/parapluie » « idées/renommée »
Le 5 ème quatrain est uniquement en rimes féminines !
Cette poésie est pleine d'entrain
bien traité, on retrouve bien là Brassens,
Des références peut être même un peu trop ce qui nui un peu au récit,
*********
c’est moi ZUC qui prend en charge et met en ligne ce concours,
Bonne participation à tous.
Hommage à une personnalité célèbre disparue de votre choix
Le Panthéon
"Aux grands hommes la Patrie reconnaissante "
que cette page de concours soit le Panthéon de Créapoème
Concours du 6 au 30 Novembre
résultat le 4 décembre
Hommage à un personnage célèbre disparu
de votre choix
(Écrivain, Poète, Artiste, Chanteur, Peintre, Acteur, Homme politique, etc ...)
Sujet:
Rendez hommage au personnage disparu de votre choix, en évoquant sa vie, sa mémoire, en y mettant des références, exemple : pour un chanteur des titres de chansons, un auteur des titres de livres, un homme politique en citant des phrases célèbres exemple Charles de Gaule « je vous ai compris » etc.
Vous pouvez adopter un ton triste, nostalgique, mais aussi y adjoindre sans être déplacé des petites notes d’humour, et d’originalités.
Consignes :
Forme ABAB, en quatrain, rimes alternance F/M, sans rimes pauvres, métrique libre
Attention toute fois à l’orthographe et à la ponctuation !
Évitez les répétitions
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours
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Poème d'Aragon "Robert le diable" rendant hommage au poète Robrert Desnos, Chanté par Jean Ferrat
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Médaille d'Or...............................Steph76 : 8.66/10Médaille d'Argent.......................Lilasys : 8.58/10
Médaille de Bronze..........LUMIERELIVE : 8.5/10
1-Tempête pour les héritiers Luron1er 7,45
Auprès de son arbre, j’ai vécu,
De ma province capitale,
De ses mots, j’ai reçu,
N’m’en reste que le principal.
J’me suis fait tout p’tit,
Venu jouer au Gorille,
J’vous salue bien, il abattit,
Avec lino, mais sans bisbille.
Jouant avec cette petite fleur,
Logée dans une peau de vache,
Chantant toujours avec son cœur,
Remettant ses écrits à la tâche.
Pourtant auprès des passantes,
Il avait mauvaise réputation,
Amitié des copains puissante,
Méritant toutes nos acclamations.
Cupidon se fout de la clair fontaine,
Heureux comme Ulisse,
Il voulait l’appeler vilaine,
Ses beaux airs en étaient ses prémisses.
L’orage en son coin de paradis,
Admirant le p’tit chat de Margot,
Prenant la canne de Jeanne en parapluie,
Et mettant à la page l’auvergnat et le bigot.
Derrière le cheval gris, a pris perpette
Mort pour ses idées
Reposer en ville de Sétes,
Que retentissent les trompettes de la renommée !
Très bel hommage à Brassens
attention trois rimes pauvres « vécu/reçu » « paradis/parapluie » « idées/renommée »
Le 5 ème quatrain est uniquement en rimes féminines !
Cette poésie est pleine d'entrain
bien traité, on retrouve bien là Brassens,
Des références peut être même un peu trop ce qui nui un peu au récit,
*********
2 - Voyage au centre de la terre Midnight8,46
Explorateur, rêveur, le sens du merveilleux
Il a illuminé mes yeux de sa lanterne
Voyageant en 3 D de ces jours très heureux
Du repas tour Eiffel, perchée tour Jules Verne
Vingt mille Lieux sous les mers et Némo prestigieux
Du calamar Géant vient l’épopée moderne
Quand décrochant la lune en son train périlleux
Effleura les étoiles sorti de la taverne
Du centre de la terre au champignons véreux
Gigantesques ombrelles au cœur de la caverne
Aux éditions anciennes au cuir rouge très vieux
En ballon s’envoler, ciel, comme une sterne
Consignes OK, attention « aux champignons » oubli du « x »
bien traité, dans l’univers de Jules Verne des références peut être même un peu trop ce qui nui un brin au récit,
manque un rien d’imagination dans le récit pour rendre hommage totalement à son imaginaire
Magnifique ! Jolie poésie où tout est respecté .
Belle lecture. Beau travail !
Sympa, un rappel de nos livres de jeunesse. tout en « eux et erne », bravo
*********
3- L'amour du risque !Lilasys 8,33
"A bout de souffle" est son premier court-métrage,
Sa gouaille de titi Parisien du cinéma Français
Champion du box office, Monsieur a du courage!
"Le professionnel" dans toute sa splendeur avec excès
Souvent "L'as des as " disons " Le magnifique "
"Un singe en hiver" nous dirait notre cher Gabin
Plus de " Peur dans la ville' "L'animal" est fantastique !
Les spectateurs scotchés aux pitreries au bord des ravins
Plus sage, il nous la joue à la "Léon Morin prêtre "
Ou "Borsalino" pour "Cent mille dollars au soleil"
Un "Hold-up" par ci " Un héritier " en maître
"Le cerveau" pour "Le casse" pour une place en sommeil,
"Un homme qui me plait" pour une femme amoureuse,
Nous sommes toutes "La sirène du Mississipi"
"Les mariés de l'an II" sans "Scoumoune" Ô l'heureuse!
Dans les bras éternels, protecteurs de " Stavisky",
"L'incorrigible" séducteur de cascades en cascades,
Cyrano De Bergerac a rejoint tous ses meilleurs copains
Il nous met "La puce à l'oreille" le sourire en estocade
Les théâtres "Variété" "Paris" "Marigny" adresses de calepin
" Flic ou voyou" qu'importe les "Joyeuses Pâques"
Il fût tant de facettes, de rôles, même " Le marginal"
"Le solitaire " "Les misérables" rien n'est opaque
"Un homme et un chien" Bebel toujours original
"Un guignolo" qui ne tire pas sa dernière "Cartouche
C'est vraiment "L'itinéraire d'un enfant gâté "
"L'homme de Rio" "Les morfalous" qui nous touchent
"Un pierrot le fou" au talent pour toujours, miroité
Il est l'acteur, producteur, des vieux et de la jeunesse
Récompensé "Aux Césars" au nom de tout l'amour
La Palme D'Or, le mérite de l'héritage qu'il nous laisse
Heureuse de mon hommage tout à fait glamour .
Bel hommage au magnifique
Consignes ok, Attention rime pauvre « Mississipi /Stavisky »
bien traité, bébel dans toute sa splendeur même dans l’excès ,
des références peut être même un peu trop pour la cohésion du texte
Beau comme Bébel, avec le rappel de nombreux titres du cascadeur à la mafia,
un bel hommage. L’itinéraire d’un enfant gâté bien résumé.
*********
4 - L'Ambassadrice ! Lilasys 8,58
Ce bijou scintillant naît en 1929 à Bruxelles
Elle se dédie à la danse et finit au théâtre "Gigi"
A 24 ans, un Oscar "Vacances Romaines" fait sa nacelle
"Diamants sur canapé" une "Sabrina" culte "My Fair Lady"
L'Actrice stoppe sa carrière pour l'Aide Humanitaire
L'enfance, à qui elle ouvre grand ses bras, sa chaleur
Ambassadrice de l'UNICEF, son mousquetaire
Ciel quelle femme ! Une telle empathie, telle Ampleur
Une des plus grandes actrices Hollywoodiennes
Aux Antipodes des pulpeuses vedettes de cinéma
Elle incarne la plus raffiné glamour des comédiennes
Silhouette gracile, visage fin, yeux de biche, tel panorama,
Enfant, elle est ballottée, mais ne laisse rien paraître
Sa destinée est son courage et sa grande bonté
Elle porte en elle la vie et ne fait que renaître
Sans rancune, elle avance avec tact et volonté ,
Femme, maman, Icône, Ô envoûtante essence
Elle est toute la féminité, un doux papillon
Audrey Hepburn charme, drôle, innocence
De toutes les générations, elle est cendrillon ,
Elle nous quitte en 1993 a Tolochenaz en Suisse
Suite à une maladie, vole à jamais jolie colombe
Elle laisse en nos mémoires en deuil, des délices
Sa beauté, sa prestance ne finira dans sa tombe.
Enfin une femme célèbre
Attention rime pauvre « Gigi/Lady »
dernier quatrain toute en rimes féminines pas d’alternance
bien traité, bien développé sur la vie du personnage des références bien placées
Une histoire d’une vie bien contée avec de jolies rimes pour une si belle actrice, souvenirs
*********
5 - Un putain de guignolLéo Rafale7
L'humour de Jacouille,
L'élégance de Jaccart.
Les juges fouillent
Mais jamais au placard!
Au service de la France
Pendant douze années.
Le roi de l'auto finance
Et des marchés truqués.
"Mangez des pommes"
Avec super menteur!
Il en a promis des tonnes,
Au salon des agriculteurs.
Ce président sympathique
Ou ce ministre atypique.
Ce politicien charismatique
En cette dernière chronique.
Texte un peu court pour un hommage,
Drôle d’hommage à un homme sous entendu qui a évité les tribunaux.
Attention rime pauvre « années/truqués »rime fausse « pommes et tonnes »
dernier quatrain que des rimes féminines pas d’alternance
Poésie bien menée ,bien traitée, Un président qui ne s'oublie pas .
Un bel hommage qui évoque bien le personnage
j’aime bien un peu d’originalité des jeux de mots un hommage plaisant à lire
*********
6 - hommage à marinetteAgatha7,33
Souviens-toi petit rimailleur
De la marinette au grand cœur
Qui écrivait comme on respire
Entre les lignes et les spires
Elle était belle comme une fleur
Une vieille rose pâlie
Ramassée par un vieux chauffeur
Dans un taillis
Oh marinette comme on t’aime
Maintenant que tu es partie
On va publier tes blasphèmes
Chez le cherche midi
A quatorze heures
Surréaliste ça c’est sûr
Un peu garce et trop polie
Pour une nonette en folie
On rigolait pas avec tes histoires
Je suis malade je suis morte
Ben c’est fait on a réussi
On a choisi ton cercueil chez le momo
A capdenac gare où y a plus de train
On va te faire un stupa estupendo
Pour les touristes et la collection de photos
Dommage t’étais pas méchante
Un peu con mais c’était la loi
En 50 la femme est servante
On a essayé de te plaire
T’as pas voulu tant pis pour toi
On a mis un cercueil de verre
Comme les satis au Bhoutan
Alors bon voyage dans l’espace
Envoie-nous des étoiles vierges
Des nouveaux mots mangés par tes vers
On en fera de beaux poèmes
Et on les vendra aux badauds
Adieu sainte folle
On t’embrasse et on te cajôle
Car t’as pas de pot ça c’est sûr !
Tes ennemis de 2021
19 novembre 21
pas de quatrain, l’alternance des rimes f/m se perdent au fil du poème, manquent un certain nombre de rimes,
je ne savais pas que Marinette et Momo étaient célèbres, encore moins au panthéon
un hommage d’anticipation, un peu hors sujet, mais bien traité cependant
Les rimes s'emmêlent dans une corbeille de pétales de rose .
j’aime bien un ton libre, et original mais est ce du fait que les consignes ne sont pas respectées
drôle de rimes, drôle d’histoire
*********
7 - Quelque chose de...Steph768,66
Ce sont à jamais refermées
Les portes du pénitencier
A cette star si confirmée
Aux accents parfois outranciers.
Il entreprit son long périple
Sur les planches de l’Olympia
Devant ses multiples disciples,
Témoignent ces clichés sépia.
Sous un barnum près de la Seine
Je le vis la première fois,
A genoux la bête de scène,
Sous les sunlights, les bras en croix.
Il n’y a pas que Gabrielle
Qui brûlait souvent son esprit
Derrière l’amour avec elles
Il ne pensait pas au mépris.
De la rock and roll attitude
Il conservait le blouson noir
Pour mieux prendre de l’altitude
Comme certains aigles le soir.
Ses fans gardent toujours l’envie
De se donner à ce show man
Des chansons qui rythment leurs vies
Par les écouteurs du walkman.
Au-delà de la différence
On se ressemble sang pour sang,
Un témoignage d’éloquence
Dit par son fils sorti du rang.
Toute la musique que j’aime
Elle vient de là certainement,
Les mots ne sont jamais les mêmes
Pour exprimer ce sentiment.
Des yéyés, il en fût l’idole
Le seul debout sur la photo*,
Aujourd’hui tête de gondole
De ces vieux bikers à motos.
*La photo de J.M. Périer « Salut les copains »
Très bel hommage a johnny
Consignes toutes respectées,
Un magnifique travail, une vie résumée dans ce poème.
On retrouve bien le personnage dans les diverses références à ses chansons,
un bel hommage, une lecture appréciée
*********
8 - ADIEU NOTRE PETITE TABLE Lumièrelive 8,5
Ce petit bonhomme malingre, chétif et chauve
Arborant barbe noire et voix de fausset,
A l’air de gringalet plutôt que de fauve
Emportait malgré tout un large succès,
Pour les Jeanne, Thérèse, Désirée,
Anne-Marie, Célestine, Anna,
Louise, Marie- Thé, Andrée
Il était simplement leur Nirvana,
Vers un tendre nid douillet à la campagne,
Accessible par le chemin de fer,
Elles rêvaient toutes de devenir sa compagne,
Ignorant la flamme des feux de l’enfer,
Il était cependant un bon mari, un bon père
Mélomane, passionné d’objets d’art,
D’esprit d’à propos il était prospère,
L’intelligence brillait dans son regard,
Il aimait tendrement sa Fernande,
La comblait de prévenances, d’attentions,
L’entourait de passion et d’offrandes,
En éprouvait une évidente admiration,
Un docteur Jekill et monsieur Hyde en aporie
Avec deux allers et simple retour,
Une cuisinière rougeoyante et bien nourrie
Une tête mise à prix et coupée court,
C’est au cimetière des Gonards à Versailles
Que cet inoubliable tueur en série, Henri Désiré,
Garde silencieusement en ses entrailles
Le secret de son esprit dément et éthéré.
bizarre comme hommage à un tueur en série.
Consignes parfaitement respectées.
Bien traité un hommage des plus chaleureux, fallait oser,
un bel écrit pour cet hommage des plus inattendu, une lecture appréciée
Cet horrible Landru illustré magistralement!
Sympa mais dur, enfin quelqu’un qui aimait les femmes dans sa cuisine ou son feu ne s’éteignait jamais.
*********
9 - Tapie est mort Agatha6,5
On l’a trouvé réduit à rien
En tapinois sur la pelouse
De l’homme de l’OM
Sa bouche encor criait je crois
Allez les gars
Son manteau de chamois
Débordait de billets
Verts sur le tapis vert
De la glorieuse équipe
Qui entonna en lui passant dessus
La marseillaise du pastis
Ou parfois du tant pis
Mais toujours glorieux
Dans son discours de tôle
Préparé au carré dans la carrée
Immonde du prince des huées
Qui flottait dans les airs
De son écharpe rouge
Il fit tapisserie à l’élection des anges
Six mois dedans six mois dehors
Ancien chanteur de rois
Il cria messieurs les ennemis
Tirez les premiers au tapis
Je ne succombe pas
Je tombe.
Dommage les consignes ne sont pas respectées ! manque des rimes et des quatrains
sujet ok pour tapis, bien traité avec de fines allusions
mais on se demande si c’est vraiment un hommage ?
Résumé un peu succinct
Limite tendancieux,
Un hommage mérité !
*********
10 - Leonard Cohen Agatha 7,22
Je viens de voir dans ma grisaille un concert de Leonard Cohen
A son âge d’aujourd’hui c’était le temps des pleurs
Depuis quarante ans que je le connais il est de plus en plus
Lui-même, élégant, intériorisé, chantant les yeux fermés, digne,
Des poèmes de vie simple et tellement bouleversants
Sans aucune affectation, avec le cœur
Tout était gris sur cette scène les costumes l’atmosphère
La musique, le texte, d’un gris brillant de la poussière des années
Un gris vivant, brisant, une chaleur à mourir
Et ces petits détails si simples qui vous peignent
Un matin de décembre à New-York
La chambre blanche de son premier disque
Ses choristes discrètes et talentueuses
Des musiciens infiniment respectueux
Cette sobriété dégage une émotion intense, on pleure
Tout est beau à pleurer, sans effets
Je n’en dirai pas plus
Cet homme est un génie de l’ombre, de la simplicité
De la poésie de la perfection, de l’émotion .
Léonard Cohen ! Le grandiose.
consignes non respectées, rimes ne sont pas respectées !
Manque des rimes et des quatrains.
Un bel hommage à cet artiste, écrit sous forme de souvenir
Hallelujah ! De bons souvenirs. Un bel écrit de l’émotion.
Magnifique poète, mais quel dommage tout ce gris dans l’hommage
********************************
Hors Concours
zuc :
Salut l’enfoiré, il y a un enfoiré un vrai
Salut l’enfoiré, je ne sais si tu te marres,
En voyant le triste spectacle de la haut,
Que nous livrent les médias dans leurs tintamarres,
Droitisant, fascisant vendu par un salaud,
C’est l’histoire d’un mec, petit pince sans rire,
Tu l’aurais affublé d’un sobriquet, moqueur,
Si tu étais encore là pour le décrire,
Car il crache dans la soupe au resto du cœur,
Lui avec ses idées nauséeuses, racistes,
La lessive lave toujours plus blanc que blanc,
Et le mammouth écrase les prouts humanistes,
Pardon si je cite en poème ici un gland,
Qui n’a pas de nez rouge, pas de salopettes,
Comme tu le fis il brigue la présidence,
Il n’aime pas les immigrés et les lopettes,
Et veut sauver la France de la décadence,
C’est pourquoi je te parle de lui aujourd’hui,
Toi qui de rire voulais la plier en quatre,
Misère ! Vois tu à quoi on en est réduit,
Maintenant c’est sans un clown qu’il nous faut débattre,
Contre des serpents à plumes, des p’tits Zemmour,
Face à la morosité et la haine farouche,
Contre un fâcheux sur nos rêves en désamour,
Qui « pas vraiment basané mais franchement louche »*,
Sais tu qu’au Figaro ce faquin écrivait,
Dans ce torchon qui te désignait à l’époque
Responsable du sida mental que vivait,
La jeunesse, la mienne, celle d’être loque,
Mais n’est ce pas pour un blouson noir, un loubard,
Lettre de noblesse autant que cette hommage,
Autant qu’un César, un nonosse pour clébard,
Tout leur Shmilblik c’est de la poudre aux yeux, (dommage)
Vas y rejoue leur du violon avec les gants,
Fait leur un pied de nez et montre leur tes fesses,
Sans blague ! les grossiers se sont eux, les brigands,
Qui usent de tes sketch pour de fausses promesses,
L’aile ou la cuisse alors je ne veux pas choisir,
Tu ne connais pas les jeunes loups de la droite,
Et de l’extrême qui veulent nous voir moisir,
Et mettre les « islamo-gauchistes » en boîte
Moi je file un rencard à ceux qui n’ont plus rien,
Aux prochaines élections votez Coluche,
Toi l’homme libre, toi le juste ou le vaurien,
Allez ! Tchao pantin serrons nous la paluche.
* adaptation de la phrase de son sketch le Flic
« il était pas franchement louche mais était franchement basané ! »
*********
zuc :
Sonnet, génie, canaille, mal-barré,
Je t’aime, moi non plus, chanteur d’un art mineur,
Mal rasé vieux baiseur, feignant la modestie,
Provocateur fumant, ton talent t’amnistie,
Peintre, poète, dieu, ô ! vieil enquiquineur,
Toi à la tête de choux, nul besoin de plastie,
Les femmes en ton lit, du temps du poinçonneur,
Si tu bandes encor’ no comment lamineur,
Sea, sex and sun vaurien, flambeur d’eucharistie,
Au ciel de requiem, volent bleues volutes,
Avec Lola s’endort rastaquouère et putes,
Sous la neige à Kingston, canaille, pauvre con !
De Verlaine à Chopin, aux enfants de la chance,
Ringer te dit puant, Cahouette en décadence,
L’ami sous les tam-tams, nous reste le flacon.
*********
Lilasys:
Un Roi, Un Homme, Un Enfant ?
Ya t'il un mot pour définir ce Sacré personnage ?
Issu d'une famille ouvrière de "Gary" près de Chicago
Fruit d'un père autoritaire, le maltraitant depuis son jeune âge
Huit frères et soeurs portaient avec lui les fagots.
Il débute à ses six ans avec ses frères " Les Jackson Five"
Le succès est là, les concours, les auditions
Il s'éclipse du groupe en 1981 avec "Thé Jackson Live"
"Off The Wall" "Thriller""Bad""Dangerous""History" good créations
De la musique pop il en devient la figure
Ses clips musicaux ambitieux, novateurs
Il popularise le Moonwalk qui devient sa signature
Soul, Funk, Pop, l'Artiste d'un nouveau monde, créateur
"The King of Pop" du disque fait son industrie
Trente trois fois disque de platine Aux Etats-Unis
"USA for America", plusieurs oeuvres caritatives, l'idolâtrie
Un jour! Stadium de Ô Toulouse "Dangerous" Yes les Amis !
Il fait le choix de métamorphoser peu à peu son visage
Il était noir et qu'importe s'il change de couleur
Qui peut juger l'écrin d'un coeur à coup de gazage?
Libre de soi, libre de corps, ainsi émane les premières douleurs
C'est un Dieu, un enfant dans son parc, sur son manège
Les paparazzis se gorgent de toutes les sales rumeurs
1, un, un flic va ternir encore et encore notre blanche neige
Un procès de 10 ans sans suite ronge comme une tumeur
Enfin, ces enfants là! PARLENT, bordel c'est un stratège ?
Honte aux parents, au nom de ce putain d'argent
Ils nous ont privé de "l'Art" a présent son cortège
Je vous maudis tous, ce jour de ce triste enterrement
Il était un chanteur, acteur, compositeur, mille étoiles
Son retour programmé à Londres était une bénédiction
Affichant complet, quel honneur! Mon regard se voile
Pas grave j'attendrais ma Star à sa prochaine apparition
Ce concert n'aura jamais lieu, chers amis poètes !
L'usure d'un homme porté au pied de l'échafaud
Les vrais fans qui n'ont jamais abandonné leur vedette
Aiment ce grand coeur mis hélas ! En porte-à-faux ...
Il reste sa veste de paillettes , son gant et son stetson
Merci ....
Explorateur, rêveur, le sens du merveilleux
Il a illuminé mes yeux de sa lanterne
Voyageant en 3 D de ces jours très heureux
Du repas tour Eiffel, perchée tour Jules Verne
Vingt mille Lieux sous les mers et Némo prestigieux
Du calamar Géant vient l’épopée moderne
Quand décrochant la lune en son train périlleux
Effleura les étoiles sorti de la taverne
Du centre de la terre au champignons véreux
Gigantesques ombrelles au cœur de la caverne
Aux éditions anciennes au cuir rouge très vieux
En ballon s’envoler, ciel, comme une sterne
Consignes OK, attention « aux champignons » oubli du « x »
bien traité, dans l’univers de Jules Verne des références peut être même un peu trop ce qui nui un brin au récit,
manque un rien d’imagination dans le récit pour rendre hommage totalement à son imaginaire
Magnifique ! Jolie poésie où tout est respecté .
Belle lecture. Beau travail !
Sympa, un rappel de nos livres de jeunesse. tout en « eux et erne », bravo
*********
3- L'amour du risque !Lilasys 8,33
"A bout de souffle" est son premier court-métrage,
Sa gouaille de titi Parisien du cinéma Français
Champion du box office, Monsieur a du courage!
"Le professionnel" dans toute sa splendeur avec excès
Souvent "L'as des as " disons " Le magnifique "
"Un singe en hiver" nous dirait notre cher Gabin
Plus de " Peur dans la ville' "L'animal" est fantastique !
Les spectateurs scotchés aux pitreries au bord des ravins
Plus sage, il nous la joue à la "Léon Morin prêtre "
Ou "Borsalino" pour "Cent mille dollars au soleil"
Un "Hold-up" par ci " Un héritier " en maître
"Le cerveau" pour "Le casse" pour une place en sommeil,
"Un homme qui me plait" pour une femme amoureuse,
Nous sommes toutes "La sirène du Mississipi"
"Les mariés de l'an II" sans "Scoumoune" Ô l'heureuse!
Dans les bras éternels, protecteurs de " Stavisky",
"L'incorrigible" séducteur de cascades en cascades,
Cyrano De Bergerac a rejoint tous ses meilleurs copains
Il nous met "La puce à l'oreille" le sourire en estocade
Les théâtres "Variété" "Paris" "Marigny" adresses de calepin
" Flic ou voyou" qu'importe les "Joyeuses Pâques"
Il fût tant de facettes, de rôles, même " Le marginal"
"Le solitaire " "Les misérables" rien n'est opaque
"Un homme et un chien" Bebel toujours original
"Un guignolo" qui ne tire pas sa dernière "Cartouche
C'est vraiment "L'itinéraire d'un enfant gâté "
"L'homme de Rio" "Les morfalous" qui nous touchent
"Un pierrot le fou" au talent pour toujours, miroité
Il est l'acteur, producteur, des vieux et de la jeunesse
Récompensé "Aux Césars" au nom de tout l'amour
La Palme D'Or, le mérite de l'héritage qu'il nous laisse
Heureuse de mon hommage tout à fait glamour .
Bel hommage au magnifique
Consignes ok, Attention rime pauvre « Mississipi /Stavisky »
bien traité, bébel dans toute sa splendeur même dans l’excès ,
des références peut être même un peu trop pour la cohésion du texte
Beau comme Bébel, avec le rappel de nombreux titres du cascadeur à la mafia,
un bel hommage. L’itinéraire d’un enfant gâté bien résumé.
*********
4 - L'Ambassadrice ! Lilasys 8,58
Ce bijou scintillant naît en 1929 à Bruxelles
Elle se dédie à la danse et finit au théâtre "Gigi"
A 24 ans, un Oscar "Vacances Romaines" fait sa nacelle
"Diamants sur canapé" une "Sabrina" culte "My Fair Lady"
L'Actrice stoppe sa carrière pour l'Aide Humanitaire
L'enfance, à qui elle ouvre grand ses bras, sa chaleur
Ambassadrice de l'UNICEF, son mousquetaire
Ciel quelle femme ! Une telle empathie, telle Ampleur
Une des plus grandes actrices Hollywoodiennes
Aux Antipodes des pulpeuses vedettes de cinéma
Elle incarne la plus raffiné glamour des comédiennes
Silhouette gracile, visage fin, yeux de biche, tel panorama,
Enfant, elle est ballottée, mais ne laisse rien paraître
Sa destinée est son courage et sa grande bonté
Elle porte en elle la vie et ne fait que renaître
Sans rancune, elle avance avec tact et volonté ,
Femme, maman, Icône, Ô envoûtante essence
Elle est toute la féminité, un doux papillon
Audrey Hepburn charme, drôle, innocence
De toutes les générations, elle est cendrillon ,
Elle nous quitte en 1993 a Tolochenaz en Suisse
Suite à une maladie, vole à jamais jolie colombe
Elle laisse en nos mémoires en deuil, des délices
Sa beauté, sa prestance ne finira dans sa tombe.
Enfin une femme célèbre
Attention rime pauvre « Gigi/Lady »
dernier quatrain toute en rimes féminines pas d’alternance
bien traité, bien développé sur la vie du personnage des références bien placées
Une histoire d’une vie bien contée avec de jolies rimes pour une si belle actrice, souvenirs
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5 - Un putain de guignolLéo Rafale7
L'humour de Jacouille,
L'élégance de Jaccart.
Les juges fouillent
Mais jamais au placard!
Au service de la France
Pendant douze années.
Le roi de l'auto finance
Et des marchés truqués.
"Mangez des pommes"
Avec super menteur!
Il en a promis des tonnes,
Au salon des agriculteurs.
Ce président sympathique
Ou ce ministre atypique.
Ce politicien charismatique
En cette dernière chronique.
Texte un peu court pour un hommage,
Drôle d’hommage à un homme sous entendu qui a évité les tribunaux.
Attention rime pauvre « années/truqués »rime fausse « pommes et tonnes »
dernier quatrain que des rimes féminines pas d’alternance
Poésie bien menée ,bien traitée, Un président qui ne s'oublie pas .
Un bel hommage qui évoque bien le personnage
j’aime bien un peu d’originalité des jeux de mots un hommage plaisant à lire
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6 - hommage à marinetteAgatha7,33
Souviens-toi petit rimailleur
De la marinette au grand cœur
Qui écrivait comme on respire
Entre les lignes et les spires
Elle était belle comme une fleur
Une vieille rose pâlie
Ramassée par un vieux chauffeur
Dans un taillis
Oh marinette comme on t’aime
Maintenant que tu es partie
On va publier tes blasphèmes
Chez le cherche midi
A quatorze heures
Surréaliste ça c’est sûr
Un peu garce et trop polie
Pour une nonette en folie
On rigolait pas avec tes histoires
Je suis malade je suis morte
Ben c’est fait on a réussi
On a choisi ton cercueil chez le momo
A capdenac gare où y a plus de train
On va te faire un stupa estupendo
Pour les touristes et la collection de photos
Dommage t’étais pas méchante
Un peu con mais c’était la loi
En 50 la femme est servante
On a essayé de te plaire
T’as pas voulu tant pis pour toi
On a mis un cercueil de verre
Comme les satis au Bhoutan
Alors bon voyage dans l’espace
Envoie-nous des étoiles vierges
Des nouveaux mots mangés par tes vers
On en fera de beaux poèmes
Et on les vendra aux badauds
Adieu sainte folle
On t’embrasse et on te cajôle
Car t’as pas de pot ça c’est sûr !
Tes ennemis de 2021
19 novembre 21
pas de quatrain, l’alternance des rimes f/m se perdent au fil du poème, manquent un certain nombre de rimes,
je ne savais pas que Marinette et Momo étaient célèbres, encore moins au panthéon
un hommage d’anticipation, un peu hors sujet, mais bien traité cependant
Les rimes s'emmêlent dans une corbeille de pétales de rose .
j’aime bien un ton libre, et original mais est ce du fait que les consignes ne sont pas respectées
drôle de rimes, drôle d’histoire
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7 - Quelque chose de...Steph768,66
Ce sont à jamais refermées
Les portes du pénitencier
A cette star si confirmée
Aux accents parfois outranciers.
Il entreprit son long périple
Sur les planches de l’Olympia
Devant ses multiples disciples,
Témoignent ces clichés sépia.
Sous un barnum près de la Seine
Je le vis la première fois,
A genoux la bête de scène,
Sous les sunlights, les bras en croix.
Il n’y a pas que Gabrielle
Qui brûlait souvent son esprit
Derrière l’amour avec elles
Il ne pensait pas au mépris.
De la rock and roll attitude
Il conservait le blouson noir
Pour mieux prendre de l’altitude
Comme certains aigles le soir.
Ses fans gardent toujours l’envie
De se donner à ce show man
Des chansons qui rythment leurs vies
Par les écouteurs du walkman.
Au-delà de la différence
On se ressemble sang pour sang,
Un témoignage d’éloquence
Dit par son fils sorti du rang.
Toute la musique que j’aime
Elle vient de là certainement,
Les mots ne sont jamais les mêmes
Pour exprimer ce sentiment.
Des yéyés, il en fût l’idole
Le seul debout sur la photo*,
Aujourd’hui tête de gondole
De ces vieux bikers à motos.
*La photo de J.M. Périer « Salut les copains »
Très bel hommage a johnny
Consignes toutes respectées,
Un magnifique travail, une vie résumée dans ce poème.
On retrouve bien le personnage dans les diverses références à ses chansons,
un bel hommage, une lecture appréciée
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8 - ADIEU NOTRE PETITE TABLE Lumièrelive 8,5
Ce petit bonhomme malingre, chétif et chauve
Arborant barbe noire et voix de fausset,
A l’air de gringalet plutôt que de fauve
Emportait malgré tout un large succès,
Pour les Jeanne, Thérèse, Désirée,
Anne-Marie, Célestine, Anna,
Louise, Marie- Thé, Andrée
Il était simplement leur Nirvana,
Vers un tendre nid douillet à la campagne,
Accessible par le chemin de fer,
Elles rêvaient toutes de devenir sa compagne,
Ignorant la flamme des feux de l’enfer,
Il était cependant un bon mari, un bon père
Mélomane, passionné d’objets d’art,
D’esprit d’à propos il était prospère,
L’intelligence brillait dans son regard,
Il aimait tendrement sa Fernande,
La comblait de prévenances, d’attentions,
L’entourait de passion et d’offrandes,
En éprouvait une évidente admiration,
Un docteur Jekill et monsieur Hyde en aporie
Avec deux allers et simple retour,
Une cuisinière rougeoyante et bien nourrie
Une tête mise à prix et coupée court,
C’est au cimetière des Gonards à Versailles
Que cet inoubliable tueur en série, Henri Désiré,
Garde silencieusement en ses entrailles
Le secret de son esprit dément et éthéré.
bizarre comme hommage à un tueur en série.
Consignes parfaitement respectées.
Bien traité un hommage des plus chaleureux, fallait oser,
un bel écrit pour cet hommage des plus inattendu, une lecture appréciée
Cet horrible Landru illustré magistralement!
Sympa mais dur, enfin quelqu’un qui aimait les femmes dans sa cuisine ou son feu ne s’éteignait jamais.
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9 - Tapie est mort Agatha6,5
On l’a trouvé réduit à rien
En tapinois sur la pelouse
De l’homme de l’OM
Sa bouche encor criait je crois
Allez les gars
Son manteau de chamois
Débordait de billets
Verts sur le tapis vert
De la glorieuse équipe
Qui entonna en lui passant dessus
La marseillaise du pastis
Ou parfois du tant pis
Mais toujours glorieux
Dans son discours de tôle
Préparé au carré dans la carrée
Immonde du prince des huées
Qui flottait dans les airs
De son écharpe rouge
Il fit tapisserie à l’élection des anges
Six mois dedans six mois dehors
Ancien chanteur de rois
Il cria messieurs les ennemis
Tirez les premiers au tapis
Je ne succombe pas
Je tombe.
Dommage les consignes ne sont pas respectées ! manque des rimes et des quatrains
sujet ok pour tapis, bien traité avec de fines allusions
mais on se demande si c’est vraiment un hommage ?
Résumé un peu succinct
Limite tendancieux,
Un hommage mérité !
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10 - Leonard Cohen Agatha 7,22
Je viens de voir dans ma grisaille un concert de Leonard Cohen
A son âge d’aujourd’hui c’était le temps des pleurs
Depuis quarante ans que je le connais il est de plus en plus
Lui-même, élégant, intériorisé, chantant les yeux fermés, digne,
Des poèmes de vie simple et tellement bouleversants
Sans aucune affectation, avec le cœur
Tout était gris sur cette scène les costumes l’atmosphère
La musique, le texte, d’un gris brillant de la poussière des années
Un gris vivant, brisant, une chaleur à mourir
Et ces petits détails si simples qui vous peignent
Un matin de décembre à New-York
La chambre blanche de son premier disque
Ses choristes discrètes et talentueuses
Des musiciens infiniment respectueux
Cette sobriété dégage une émotion intense, on pleure
Tout est beau à pleurer, sans effets
Je n’en dirai pas plus
Cet homme est un génie de l’ombre, de la simplicité
De la poésie de la perfection, de l’émotion .
Léonard Cohen ! Le grandiose.
consignes non respectées, rimes ne sont pas respectées !
Manque des rimes et des quatrains.
Un bel hommage à cet artiste, écrit sous forme de souvenir
Hallelujah ! De bons souvenirs. Un bel écrit de l’émotion.
Magnifique poète, mais quel dommage tout ce gris dans l’hommage
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Hors Concours
zuc :
Salut l’enfoiré, il y a un enfoiré un vrai
Salut l’enfoiré, je ne sais si tu te marres,
En voyant le triste spectacle de la haut,
Que nous livrent les médias dans leurs tintamarres,
Droitisant, fascisant vendu par un salaud,
C’est l’histoire d’un mec, petit pince sans rire,
Tu l’aurais affublé d’un sobriquet, moqueur,
Si tu étais encore là pour le décrire,
Car il crache dans la soupe au resto du cœur,
Lui avec ses idées nauséeuses, racistes,
La lessive lave toujours plus blanc que blanc,
Et le mammouth écrase les prouts humanistes,
Pardon si je cite en poème ici un gland,
Qui n’a pas de nez rouge, pas de salopettes,
Comme tu le fis il brigue la présidence,
Il n’aime pas les immigrés et les lopettes,
Et veut sauver la France de la décadence,
C’est pourquoi je te parle de lui aujourd’hui,
Toi qui de rire voulais la plier en quatre,
Misère ! Vois tu à quoi on en est réduit,
Maintenant c’est sans un clown qu’il nous faut débattre,
Contre des serpents à plumes, des p’tits Zemmour,
Face à la morosité et la haine farouche,
Contre un fâcheux sur nos rêves en désamour,
Qui « pas vraiment basané mais franchement louche »*,
Sais tu qu’au Figaro ce faquin écrivait,
Dans ce torchon qui te désignait à l’époque
Responsable du sida mental que vivait,
La jeunesse, la mienne, celle d’être loque,
Mais n’est ce pas pour un blouson noir, un loubard,
Lettre de noblesse autant que cette hommage,
Autant qu’un César, un nonosse pour clébard,
Tout leur Shmilblik c’est de la poudre aux yeux, (dommage)
Vas y rejoue leur du violon avec les gants,
Fait leur un pied de nez et montre leur tes fesses,
Sans blague ! les grossiers se sont eux, les brigands,
Qui usent de tes sketch pour de fausses promesses,
L’aile ou la cuisse alors je ne veux pas choisir,
Tu ne connais pas les jeunes loups de la droite,
Et de l’extrême qui veulent nous voir moisir,
Et mettre les « islamo-gauchistes » en boîte
Moi je file un rencard à ceux qui n’ont plus rien,
Aux prochaines élections votez Coluche,
Toi l’homme libre, toi le juste ou le vaurien,
Allez ! Tchao pantin serrons nous la paluche.
* adaptation de la phrase de son sketch le Flic
« il était pas franchement louche mais était franchement basané ! »
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zuc :
Sonnet, génie, canaille, mal-barré,
Je t’aime, moi non plus, chanteur d’un art mineur,
Mal rasé vieux baiseur, feignant la modestie,
Provocateur fumant, ton talent t’amnistie,
Peintre, poète, dieu, ô ! vieil enquiquineur,
Toi à la tête de choux, nul besoin de plastie,
Les femmes en ton lit, du temps du poinçonneur,
Si tu bandes encor’ no comment lamineur,
Sea, sex and sun vaurien, flambeur d’eucharistie,
Au ciel de requiem, volent bleues volutes,
Avec Lola s’endort rastaquouère et putes,
Sous la neige à Kingston, canaille, pauvre con !
De Verlaine à Chopin, aux enfants de la chance,
Ringer te dit puant, Cahouette en décadence,
L’ami sous les tam-tams, nous reste le flacon.
*********
Lilasys:
Un Roi, Un Homme, Un Enfant ?
Ya t'il un mot pour définir ce Sacré personnage ?
Issu d'une famille ouvrière de "Gary" près de Chicago
Fruit d'un père autoritaire, le maltraitant depuis son jeune âge
Huit frères et soeurs portaient avec lui les fagots.
Il débute à ses six ans avec ses frères " Les Jackson Five"
Le succès est là, les concours, les auditions
Il s'éclipse du groupe en 1981 avec "Thé Jackson Live"
"Off The Wall" "Thriller""Bad""Dangerous""History" good créations
De la musique pop il en devient la figure
Ses clips musicaux ambitieux, novateurs
Il popularise le Moonwalk qui devient sa signature
Soul, Funk, Pop, l'Artiste d'un nouveau monde, créateur
"The King of Pop" du disque fait son industrie
Trente trois fois disque de platine Aux Etats-Unis
"USA for America", plusieurs oeuvres caritatives, l'idolâtrie
Un jour! Stadium de Ô Toulouse "Dangerous" Yes les Amis !
Il fait le choix de métamorphoser peu à peu son visage
Il était noir et qu'importe s'il change de couleur
Qui peut juger l'écrin d'un coeur à coup de gazage?
Libre de soi, libre de corps, ainsi émane les premières douleurs
C'est un Dieu, un enfant dans son parc, sur son manège
Les paparazzis se gorgent de toutes les sales rumeurs
1, un, un flic va ternir encore et encore notre blanche neige
Un procès de 10 ans sans suite ronge comme une tumeur
Enfin, ces enfants là! PARLENT, bordel c'est un stratège ?
Honte aux parents, au nom de ce putain d'argent
Ils nous ont privé de "l'Art" a présent son cortège
Je vous maudis tous, ce jour de ce triste enterrement
Il était un chanteur, acteur, compositeur, mille étoiles
Son retour programmé à Londres était une bénédiction
Affichant complet, quel honneur! Mon regard se voile
Pas grave j'attendrais ma Star à sa prochaine apparition
Ce concert n'aura jamais lieu, chers amis poètes !
L'usure d'un homme porté au pied de l'échafaud
Les vrais fans qui n'ont jamais abandonné leur vedette
Aiment ce grand coeur mis hélas ! En porte-à-faux ...
Il reste sa veste de paillettes , son gant et son stetson
Merci ....
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