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Résultat du concours CONCOURS dec' 2020: "LE TEMPS DES BRUMES"

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#33
Un pastiche fait avant les résultats sans en connaître l'auteur.

Le regard de la brune (un pastiche, rien que pour rire)

Il y a des instants légers dû à l’âne,
Revêtu d'une toile de trouillard,
Cette brune du tableau a beau regard,
Au goût très sage, publie d’agencer sa cabane.


Elle enveloppe le tombé avec audace,
La brune gigote les pieds et les poings,
Le visage gris en otage des coups de poing,
Oripeaux tripotés l’instant du couvre glace.


Sa petite capeline la rendant plus belle,
Lui défini en crique le bavard frileux,
Cabas d’armes à l’eau pour les peureux,
Soumission aux flous aériens de la jouvencelle.


L'embonpoint exige de couper la bêtise,
« Il semblerait qu'une ombre bénit son toit,
Des spectres se croisent, au son de voix, »

L’heure ou la frime que dame brune aiguise.



D'après ?***

Le regard dans la brume

Il y a ces temps lourd où l'on plane,
Habillés d'un voile de brouillard,
Cette brume en tableau, des beaux arts
Où, tout paysage oublie de tracer la douane,


Cette enveloppe tombe avec audace,
La bruine ligote pieds et poings,
Le village pris en otage, à coup-de-points,
Cristaux tricotés d'un temps, en couvre-face,


Une immense capeline dans les ruelles,
Cet infini cirque, d'un buvard frileux,
Amas de larmes d'eau sur les cheveux,
Soumission au flou épais de nos prunelles,


L'embrun néglige le clocher de l'église,
Il semblerait qu'une ombre bénit le toit,
Des spectres se croisent, au son de voix,

Le temps de frimas, Madame brume déguise.
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#34
Mon cadeau de Noël

*****mulu
Dans la brume se profile l'année nouvelle,

Nous nous tenons en simples sentinelles,
Le premier de l'an sous un embrun confiné,

Attendant avec les rois le petit nouveau né,
Et nous déambulons dans une incertitude,

D’analyser les cadeaux, les mettre en étude.
Les renégats de leurs espérances bafouées

Souhaitant que leur expérience ne soit flouée
Piégés, englués de cette torpeur blafarde,

M’obligeant à me réchauffer avec ma bouffarde.
*****ma
lu
Celle que j'hume, en vérité est elle réelle ?

Ou le mensonge n’est autre que bagatelle,
Où puis je trouver ce que je cherchais ?

Dans le dico, après le «B» là ou je le cachais,
Ce sentiment d'avoir perdu notre latitude,

Comme compliment éperdu de ton attitude.
Croyant qu'à leurs places nous allons espérer,

Et des plaques de glace il nous faut repérer.
Quelle est cette beauté, dont tu te fardes ?

C’est celle qu’avec vous, je puis rester en rade.
*****lulu

Cache-t-elle la couche de neige sur la montagne en face ?
Ou n’est elle qu’une amorce de préface,
Aux pâques, les cieux seront-ils plus dégagés ?
Quand débarqueront les vieux qui s’étaient engagés,
Dans cet épais brouillard, sur la bûche je trébuche,
Toutes les congères se transforment en embûche.
De Noël du sapin, ne voyons qu’une aiguille rouillée,
Et Léon, ce radin se faufile comme une anguille ralliée.
C’est l’écrit de la bruine, ton cadeau de l’ « i » vers,
Qui veut de ce petit rien son entrée dans l’hiver.

*****zu
lu
Les jours, les mois, les souvenirs que rien n'efface,

Les tours, l’émoi pour revenir sur la grand place,
Un bon millésime qui mûrit en son chais,

D’apprécier la bonne bouteille que je dénichais,
Et les fantômes vont cachés sous leur capuche,

Toujours revêtus de leurs vielles fanfreluches.
Nous croyons distinguer une image brouillée,

Qui a sûrement besoin d’être débarbouillée
Une lueur d'espoir quand tout va de travers.

Une fleur si noire pour finir nos vers
 

lilasys

Maître Poète
#37
Un pastiche fait avant les résultats sans en connaître l'auteur.

Le regard de la brune (un pastiche, rien que pour rire)

Il y a des instants légers dû à l’âne,
Revêtu d'une toile de trouillard,
Cette brune du tableau a beau regard,
Au goût très sage, publie d’agencer sa cabane.


Elle enveloppe le tombé avec audace,
La brune gigote les pieds et les poings,
Le visage gris en otage des coups de poing,
Oripeaux tripotés l’instant du couvre glace.


Sa petite capeline la rendant plus belle,
Lui défini en crique le bavard frileux,
Cabas d’armes à l’eau pour les peureux,
Soumission aux flous aériens de la jouvencelle.


L'embonpoint exige de couper la bêtise,
« Il semblerait qu'une ombre bénit son toit,
Des spectres se croisent, au son de voix, »

L’heure ou la frime que dame brune aiguise.



D'après ?***

Le regard dans la brume

Il y a ces temps lourd où l'on plane,
Habillés d'un voile de brouillard,
Cette brume en tableau, des beaux arts
Où, tout paysage oublie de tracer la douane,


Cette enveloppe tombe avec audace,
La bruine ligote pieds et poings,
Le village pris en otage, à coup-de-points,
Cristaux tricotés d'un temps, en couvre-face,


Une immense capeline dans les ruelles,
Cet infini cirque, d'un buvard frileux,
Amas de larmes d'eau sur les cheveux,
Soumission au flou épais de nos prunelles,


L'embrun néglige le clocher de l'église,
Il semblerait qu'une ombre bénit le toit,
Des spectres se croisent, au son de voix,

Le temps de frimas, Madame brume déguise.
ET IL TOMBE SUR MOI ..... FAUT LE FAIRE ... BISOUS .....
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#40
Bravo à tous, un p'tit plus aux médaillés
perso, j'ai bien aimé tous les poèmes, personne n'a démérité,
les poètes sont de grands enfants alors comme à l'école des fans je dirai tout le monde à gagné "c'est formidable"
mais bon il faut bien départager ;)

merci aux participant de faire revivre nos CC