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Résultat du concours Concours: Ciel d'été

LLUMIERELIVE

Maîtresse des concours
Membre du personnel
#1
CONCOURS « Ciel d’été »
Du 27 juillet au 6 aout
Résultats 8 aout


ciel été good.jpg

Thème : Évocation d’un ciel d’été

Consignes :
4 quatrains en alexandrins (12 pieds)
Rimes riches et croisées (abab) avec alternance de féminines/masculines ou masculines/féminines


Attention à l’orthographe, aux accords et à la ponctuation

**************
Je demande aux concurrents d’attendre les résultats pour poster sur leur page personnelle les poèmes présentés au concours.
Tout écrit mis en concours demeurera sur Créa-poèmes, restant bien sûr, votre propriété...même si vous décidez de quitter le site.
Une fois votre poème envoyé il ne pourra être modifié.
Vos poèmes seront notés et commentés avec la plus grande impartialité et selon les contraintes ci-dessus.

Chaque participant peut envoyer 3 poèmes.

****************
Envoyez vos poèmes sur la messagerie privée LLUMIERELIVE et non plus sur LLUMIERELIVE001)
Si vous souhaitez faire partie du jury me contacter


Chef de jury Llumierelive

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Médaille d'or PICH24 9.66
Médaille d'argent REVEUR LUNAIRE 9.39
Médaille de bronze REVEUR LUNAIRE 9.38

1 Le ciel estival ELUARD 5.73

Parbleu le ciel estival est bleu,
Avec le soir le ciel devient étoilé,
Plus bleu que le bleu de tes yeux,
Une beauté jamais égalée.


L’été nous fait oublier le ciel gris, pluvieux et capricieux,
Avec perspicacité et tendresse,
Le temps maussade et malicieux,
Le soleil nous invite à faire fi de notre stress.


Les rayons du soleil nous font de belles caresses,
Le ciel estival s’invite à nous en festival,
Tout le monde s’active, plus alors de paresse,
En clarinettes, fanfares ouvre le Bal aux fins fonds du Val.


Vive alors les grandes vacances,
Où l’on trouve notre compte et l’on se dit qu’on s’est bien régalé,
Nos soucis et ennuis on s’en balance,
Au grand départ tout le monde s’active et se sent instinctivement emballé.


Désolée, mais vous ne respectez aucunement les consignes, c'est écrit sans réfléchir un peu dommage il aurait pu être intéressant...
Vous n’avez pas respecté les alexandrins (12 pieds), rimes croisées respectées mais guère riches…Quant à l’alternance des rimes féminines et masculines vous l’avez respectée dans les 2 derniers quatrains ( rimes féminines se terminant par un E muet , telles caresses/paresse, vacances/balance)…Lecture agréable mais quelque peu enfantine.
Une belle " décompression " se prépare sous le ciel de votre été
Dommage, quelques rimes riches sont manquantes ( 3 sons en fin de vers...)
mais respect de l'alternance des rimes F/M.
Juste un alexandrin : 3ème vers 3ème Quatrain : 12 syllabes
( fanfares s'ouvrent )
( vive ! au singulier doit être suivi d'un point d'exclamation )
Attention aux répétitions de : ciel et bleu, pensez aux synonymes )


**************

2 Sages sur la plage FREDERIC REBOUL 7.83

La fin d'après-midi, direction la plage,
Mon fils et moi voulons profiter de l'instant
Sous ce beau ciel bleu ensoleillé, un voyage.
Imaginaire ? Non. Si solaire dans le temps…


Il suffit de se mettre un petit peu de crème,
Une paire de lunettes pour regarder.
Nous aimons admirer le ciel et baigneurs blêmes.
Et les filles, discrets… Rires. Ça va barder…


Charmeur, calme… Allonge toi sur ta serviette.
Regarde bel horizon et explique au bleu,
Si petit mais il n'est pas une mauviette.
Il commence à comprendre les lunes et cieux…


Pour le final, que du plaisir gravé en tête,
Feu d'artifices ? Juste coucher de soleil.
Enfin soir venu, dans mon cerveau, c'est la fête.
Orange, rouge puis violet, un éveil…


Un bel effort de fait consignes respectées il m'a touché ce poème un peu lourd cependant ...
Quelques vers en 11 pieds, quelques rimes suffisantes mais respect de l’alternance F/M… Evitez les points à l’intérieur des quatrains mais utilisez plutôt des virgules. Une ambiance agréable
Belle atmosphère sous le ciel bleu teinté d'un brin d'humour.
De belles rimes riches ( sauf : bleu et cieux ... Sons différents )
( soleil et éveil qui sont des rimes suffisantes : 2 sons en fin de vers )
Alternance de rimes M/F respectée
( 4ème vers 2ème Quatrain : 11 syllabes ) ( 4ème vers 3ème Quatrain : 13 syllabes )
( 2ème vers 4ème Quatrain : 11syllabes )


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3 Oh ! Cieux odieux. LURON1er 7.20

D’une sieste, sommeillant sous un beau ciel clair,
Profitant du soleil, un bienfait pour mon âge,
S’entrechoquèrent des nuages en flash d’un éclair,
Cumulonimbus ne voulait plus être sage.


La foudre fulgurante m’avait empli les yeux,
Son tonnerre assourdissant mes petites oreilles,
Ce sont des dieux odieux qui ont cassé mes cieux,
Agitant mon repos, détruisant mon sommeil.


Les nues pleuraient, versant leurs plus grandes larmes,
Tourbillon ajoutant des petits grains glacés,
Ne pouvant se combattre qu’avec nos petites armes,
Camouflé à l’abri, me sentant agressé.


Orages, oh ! Offrez-nous donc les plus beaux espoirs,
L’azur du ciel doit devenir couleur vermeille,
J’ai désiré la lune rousse mais sans la voir,

Cachée par des nuages obstruant l’essentiel.

Un beau poème fort en image mais dont les consignes pour l'alternance des rimes n'a pas été respectés strophe 2 et 4 dommage ...
Quelques rimes suffisantes, 1er quatrain en M/F, 3ème quatrain en F/M, quant aux 2ème et 4ème M/F/M/M
Recompter bien vos pieds pour avoir des alexandrins parfaits…Belle évocation d’un orage éclatant brusquement et l’éclipse « manquée » de la lune !
Hélas en été le beau temps vire souvent à l'orage
Le temps se "gâte ", mais d'une façon très poétique....agréable lecture.
( 3ème vers 1er Quatrain : 14 syllabes )
( 1er et 2ème vers 2ème Quatrain : 13 syllabes )
1er et 3ème vers 3ème Quatrain : 11syllabes et 14 syllabes )
( ne voulaient plus être sages : 1er vers )
( vermeil : sous entendu : la couleur vermeil, donc Masculin )
( vermeille et essentiel : sons différents et, rime F / M , ainsi que : oreilles et sommeil )
Seules 1er quatrain et : yeux/cieux....âge/sage ... larmes/armes sont des rimes riches )



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4 Styx d'été PICH24 9.66 médaille d'or

Sous un soleil de plomb tonne un air de cigales ;
Dans une odeur de thym tout semble somnoler,
Même l’amour s’endort aux chambres conjugales ;
Qui, par cette chaleur voudrait batifoler ?


On voit sur l’horizon une nuance claire
S’unir avec les flots, puis changer de couleur,
Comme le ciel brouillé de Charles Baudelaire
Tendre, rêveur, cruel et muet de douleur.


Et moi, petit poète, admirant cette scène
Lorsque je vois ces cieux mourir dans le couchant,
J’entrevois les brasiers que Lucifer assène
Sur des bords où vivraient deux mondes se touchant :


Le rouge et l’orangé, feux d’un enfer torride,
Où chaque soir mourir serait divertissant,
Où traverser le Styx vers son rivage aride

Lors d’un beau soir d’été serait éblouissant.

Magnifique et dans les règles de l'art consignes respectées haut la main j'adhère.
Respect total des consignes (considérant mu/et en diérèse) écriture fort harmonieuse…simplement magnifique
Un très beau poème doté de métaphores lumineuses et colorées.
Alternance rimes F/M respectée


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5 Ciel ! Mon mari ! LURON1er 6.96

Elle avait enduit tout son corps d’amande douce,
En balade bucolique au ciel d’été,
Et retrouver sous les nues son amant en douce,
En l’absence de nuage, son époux évité.


Avec lui, elle a vu passer quelques nuages,
Des gros cumulus que des cumulonimbus,
Qui s’étaient transformés en un immense orage,
C’était fini le temps de l’appeler sa puce.


L’incartade au contrat lui semblait naturelle,
Elle croyait voir un nouveau soleil dans les cieux,
Jugeant qu’elle devait gérer son espace à elle,
Aux anges, n’voulant pas rester avec ce vieux.


Mais la goutte d’eau qui fit déborder le vase
Dans la nature, ce fut cette averse imprévue
Et ce fut l’arrêt brutal à leur belle extase,

Elle pria le ciel, son mari était en vue.

Erreur de rimes féminines et masculines le dernier quatrain est tout en rimes féminines
et les alexandrins n'en sont pas les vers sont plus long ...Le fond aurait pu être mieux exprimé certains passages sont lourds dans la construction des vers...
Douce rimant avec douce…un peu trop facile !
2ème quatrain F/M/F/F, quelques rimes suffisantes, les 12 pieds demandés sont parfois bancales, agréable lecture
Comme c'est bien narré, Bravo !
Sauvée par le ciel ! ...Sourire...
attention aux répétitions de nuage et douce.
( 4ème vers 1er Quatrain : 13 syllabes )
(imprévue et vue, vieux et cieux, bus et puce : rimes suffisantes : 2 sons en fin de vers )

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6 Été tant souhaité FREDERIC REBOUL 7.16

Sous ce ciel lumineux si bleu et azuré,
Purée ! Des nuages, soupçons de lait, nuées ?
Ouf ! Le soleil revient… Me voilà rassuré.
Suées, ruées vers le bel or exténuées,


Insensées mes douces pensées vers le grand Ré.
Les temps qui courent, attention au bronzage
Avec un certain ton un petit peu sucré,
Nuances, Grey, voyages sur mon visage…


Sexe estival concerne que toi, sous ce ciel.
La chaleur et les ébats rapprochant deux êtres,
Çà bout, cela nous rend comme fous, partiels.
Si osé et si légers, ceci peut paraître…


Quel plaisir, allers et venues sous ciel d'été.
Belle sirène, tu m’emmènes au septième,
Hauteurs, apesanteur, essentiel daté.
Délire terminé, une extase, un centième…


Je n'ai pas tout compris à ce texte il manque des articles aux noms ce qui rend la lecture peu claire ...le sens poétique laisse à désirer...pour les consignes les rimes féminines et masculines ne sont pas respectées ...quand aux alexandrins difficile à compter soit c'est trop où pas assez...dommage il aurait mérité une meilleure construction poétique quand au fond il aurait été bon de mieux creuser et d'utiliser des synonymes ...
Azuré son zuré/ assuré son suré
Si osés
Le premier quatrain n’est pas en abab
Certains alexandrins à revoir
Ce « see sex and sun » est bien divertissant !
Bien écrit, c'est vrai que le désir s'attise sous le ciel d'été, surtout s'il fait chaud ! Alternance rimes M/F respectée.
De belles rimes riches ( sauf : ré/ sucré et é/ da ; rimes suffisantes : 2 sons en fin de vers )
( 2eme vers 1er quatrain : 11 syllabes ... 2ème et 4 ème vers : 11 et 10 syllabes )
( un peu difficile à prononcer : sexe estival )

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7 Ciel d'été REVEUR LUNAIRE médaille de bronze 9.38

Le front penché sur l'eau d'entre ses latitudes,
Il laisse le sillon d'un reflet onduleux
Comme s'offrent les jours aux mornes habitudes,
Et son œil azuré fonde l'air fabuleux ;


Qu'à naître bel enfant comme les fraiseraies
Qu'avec l'aube mûrie en nos yeux enivrés,
Tu signes le bourgeon des larges roseraies,
D'un noble postulat de joyaux délivrés ;


Tu sembles de corail ou de l'ambre immortelle
Que l'été s'en venir d'une autre amirauté
Meurt né chaque matin sur l'écho de dentelle
Qui tu sèmes dit-on de toute ta beauté ;


Quand rêveur avec toi je gagne l'altitude
De tes amples tableaux de lin facétieux,
Je laisse tout l'orgueil de ma noble attitude
Sur ce ciel que l'oiseau gravit ambitieux...


Un régal poétique dans les règles de l'art qui tient compte des mots en diérèse et tout ce qui va avec la poésie classique
j'ai eu juste un peu de mal à comprendre ces deux vers ;
"Meurt né chaque matin sur l'écho de dentelle
Qui tu sèmes dit-on de toute ta beauté ;"

J'aurai mis plutôt " Que" à la place de " Qui"
"Meurt né, chaque matin sur l'écho de dentelle
Que tu sèmes dit-on de toute ta beauté"
Alternance et rimes riches respectées pour la plupart. Respect des alexandrins, une envolée bien poétique
Quelle magnifique poésie lyrique, aérienne assortie de belles métaphores, un régal !
Alternance F/M respectée, rimes riches, alexandrins parfaits...Bravo !
( après meurt, : peut-être une virgule ? ) ( Que tu sèmes )
Vous " frisez " la perfection...





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8 Ciel rose d'été pour elle REVEUR LUNAIRE médaille d'argent 9.39

D'amples rocs kaolin font délicatement
Peut-on croire, la fleur, qu'une heure monotone
À venir sans orgueil pousse béatement
Sur le rivage doux des tempes de l'automne ;


Par les monts éthérés de tes souples tissus,
Ciel qu'à ton souvenir ma rime participe,
Je trouve le soleil de tes bouquets issus,
Qu'imagine arlequin d'un quelque municipe ;


L'amour ce nectar bleu, qu'en ta robe apparaît,
Fait, refleurir le jour d'une éternelle ivresse
Quand sonnent nos vingt ans en ton grand cabaret
Et nous aimons le soir ta plaisante caresse ;


Un, deux, trois, soleil, toc ! Ton livre nacarat,
Que signe l'ange blanc d'azur de Podolie
N'est-il pas ce joyau de rose baccara ?

Qu'amoureux j'écrirais pour elle ma jolie...

Un fort beau poème juste au premier vers " font" ou " Fond" ? ce qui ne veut pas dire la même chose le mot "font" devrait suivre un complément et là il manque dans ce contexte en tout cas
les consignes sont respectées un poème que j'ai apprécier de lire merci
Respect des consignes, j’aime particulièrement ce vers « Sur le rivage doux des tempes de l’automne » mais j’aurais inversé en « Sur ce doux rivage » pour l’harmonie du phrasé…
Beaucoup de lyrisme, des métaphores recherchées, Bravo !
J'aime particulièrement le 3ème quatrain
Alexandrins, rimes riches, alternance des rimes M/F respectée...Parfait !
( baccarat, si associé au cristal ) ( après amoureux, : virgule ? )


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9 Caresse du ciel REVEUR LUNAIRE 9.20

De ton noble secret par quel conte ou fableau,
Neuf né, court l'océan qui mire ton arcane
Qu'inonde de couleurs sur son ample tableau
Cette pourpre toilette en lueur Vaticane,


Saurez-vous bel azur ce mythe dévoiler ?
De l'étrange linceul de blanche mousseline
Saurez-vous l'horizon à nos yeux étoiler ?
Comme vous fîtes hier à notre âme câline,


Lirons nous nos amours qu'à naître sensuels
Ô joli ciel d'été sur ta lèvre profonde,
Par ce divin nectar aux tons accentuels,
Par l'entrelacs d'été qui dessine le monde,


Et ce soir cœurs unis d'un plaisir amoureux
Sous ces cieux nous irons en sa royale ivresse
Nous aimer au soleil d'un minuit langoureux

Et je poserai là, sur ta peau sa caresse.

Parfait et sublime ...
Rimes riches dans l’ensemble sensuels/accentuels suffisantes à mon avis, alternance respectée mais vous utilisez la diérèse pour certains mots et synérèse pour d’autres ( sen/su/els, ac/cen/tu/els et cieux…)
« Sous ces cieux » peu harmonieux…mais le fond reste bien poétique
Ah ! comme c'est beau ! Vous m'avez emportée vers les cieux.
J'ai aimé votre 3ème quatrain entre autres.
Un presque sans faute pour les alexandrins
( 4ème vers 2ème Quatrain : 13 syllabes ) 3ème vers 3ème Quatrain : 11syllabes )
Rimes riches et respect de l'alternance des rimes M/F
( qui inonde de : un peu lourd ) ( sous ces cieux : son s répétitif )


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10 Quand l’enfant par le rai !! LILASYS 7.88

Ces moments où l’enfant, l’été azur gribouille,
Ce ciel paré d’oiseaux, songe d’un soir venu,
L’empyrée taquin, la gouache barbouille,
Cette poudre aux yeux d’artiste saugrenu,


Il lève le pinceau, manque quelle chose?
Le soleil sacre bleu ! Traits jaunes lumineux,
Mais l’air ne se dessine ? Esclave fait la pose,
Doigt posé sur le front, soupirs faramineux,


Rajoute des étoiles, en pose sur terre,
Un nouveau plan qui naît ! Là haut parfois c’est noir !
Prévenir les O.V.N.I, papa célibataire,
Étrange vision fils ? Papa ! Secoue le mouchoir !


Dessine-moi la fin du coucher d’un soleil, file !
Quand il est rouge feux, sans dire au revoir ?
L’infini destin de la lune, hé Théophile !
Viennoiseries en croissant sur perchoir ?


Complètement surréaliste, je n'ai pas adhéré à l'histoire j'ai eu beau lire et relire...l'alternance des rimes est respectée mais pour les alexandrins par toujours correct onze syllabes comptées...pour certains vers ...
Alternance bien respectée, belles rimes riches dans l’ensemble. Quelques alexandrins à revoir, dommage …Un tableau enfantin qui ne manque pas de charme !
Beau jeu de mot en votre titre.
Agréable ce dialogue avec l'enfant. j'aime bien votre dernier vers.
Respect de l'alternance des rimes F/M
Rimes riches sauf :
noir/mouchoir ainsi que revoir/perchoir : rimes suffisantes ( 2 sons à la fin du vers )
Attention au comptage des syllabes :
3ème et 4ème vers 1er quatrain : 11syllabes
1er vers 2ème quatrain : 10 syllabes
3éme et 2ème vers 2ème quatrain : 13 syllabes
4ème vers 3ème quatrain : 13 syllabes
1er, 2ème et 4ème vers 4ème quatrain : 13, 11 et 10 syllabes
( rouge feu : au singulier )





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11 Nuance d’été Ô ciel ! LILASYS 7.66

L’été fort en soleil ou de ru diluvien,
Nuances de saison, en sous du temps sapide,
Dansez-vous sous la pluie en front gundissalvien ?
Réel, on se délie, souquenille limpide.


C’est le soir où la voûte ancre sa pâleur,
Un marengo d’étoile en lune souveraine,
Le ciel offre en beauté, diamant de valeur,
L’enfant aux doigts tendus louche la riveraine.


A l’aube de grand jour, gris ou bleu voyageur,
L’air embaumé de fleurs, baie met l’entrevue,
Soutien d’un horizon à l’esprit manager,
Si son souhait est tel : ‘’ Spectacle de revue’’.


Le coucher tournesol d’un été en courrier,
Peintre à l’Astre nu au pinceau raccuse,
Une gravure or, corail à marier,
Sofa, pour Dame lune qu’éloigne l’incuse.


Un poème qui aurait eut le mérite d'être d'avantage travaillé..quelques rimes un peu juste mais bonnes consignes respectées dans l'ensemble seul quelques vers ne font que onze syllabes comptées dommage pour les alexandrins...fort bien écrit dans l'ensemble j'ai aimé ma lecture
Respect de l’alternance et bon choix de rimes mais quelques vers en 11 et 10 pieds…
« Un marengo d’étoiles »
« Si son souhait » un peu disgracieux dans cette peinture de maitre…
De très belles métaphores
Alexandrins sauf :
1er vers 2ème quatrain : 11syllabes
2ème vers 3ème quatrain : 11 syllabes
2ème et 3ème vers 4ème quatrain : 10 et 11 syllabes
Respect de l'alternance des rimes M/F
Rimes riches à part :
diluvien/ gundisalvien : rimes suffisantes ( 2 sons v/ien en fin de vers )




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12 Mois de Phoebe sur ciel LILASYS 8.26

Il nous semble apparaître en furtif soupçon pâle,
Rayons de Phébus éblouissent la vision,
Le ciel orné d’un fard clairsemé en sépale,
Un calice fleuri, orangé, or et fusion,


C’est au lever du jour, insolent, choit la teinte,
Jantille en pavillon, où poursuit la saison,
L’été, l’iris câline en reflets d’aquatinte,
En nous offrant l’audace, comme simple raison.


La coupole d’azur loge sous la paupière,
Les cils en éventail au clin d’œil malicieux,
L’Ether Roi, nous bénit sa tendre joaillière,
Du baldaquin voilé fuse un plaisir captieux.


Et sur le toit du monde au dessin plus que trouble,
L’artistique nuée surprend petits et grands,
La magie est bien là, à nuit tombée carouble,
Lune veste d’étoiles, Pierrot en émigrant.



Un beau poème consignes respectées dans l'ensemble bien que quelques vers ne sont pas des alexandrins j'ai compté treize syllabes pour certains dommage sinon le fond est des plus intéressants il aurait mérité d'être un peu plus travaillé merci pour cette lecture.
Belles rimes dans l’ensemble et respect de l’alternance…Mais quelques alexandrins sont à revoir, fort poétique.
J'ai bien aimé votre poème constellé de mots savants, émaillé de belles images.
Alexandrins sauf 4ème vers 1er quatrain : 13 syllabes ( presque parfait )
Alternance des rimes F/M respectée.
Rimes riches : pensiez-vous à capiteux au lieu de captieux ? associé à malicieux.
( l’éther roi : un peu difficile à prononcer )

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HORS CONCOURS


Ciel d’été TIERAM

La chaleur de l’été tourne à la canicule,
Et sous le ciel d’azur luit l’océan d’amour,
Mais trempe dans les flots et jusqu’au crépuscule,
La foule sur la plage envahissante autour.


Sous la lame égouttée au destin d’une écume
Quand la vague océane étouffe de son cri,
Les amoureux transis perçoivent l’amertume
De cet enfer de feu quand l’ivresse périt.


Puis plus rien ne résiste au défi d’une flamme
Qui vous brûle la peau sous cet ardent soleil,
Les corps endoloris dans l’esprit de son âme,
Seul apaise le soir une bise à l'éveil.


La douleur vient la nuit quand le sommeil s’invite
Sur la peau la morsure il est vain de dormir,
Quand la fée envoûtante à jamais qui gravite
En amour défiant, sous l’éther, vient frémir.


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Les songes d’une nuit d’été Llumierelive

En l’arche immatérielle où s’abreuve Léthé
J’éclipsais toute mélancolie taciturne,
Dans le trouble des songes d’une nuit d’été
Je m’agenouillais sous le chapiteau nocturne,
En l’attente de l’éveil d’Hélianthe au levant
J’anticipais le ciel en bleu d’Alexandrie
Sans que nul caprice nivéen s’élevant
Ne puisse guère assombrir mon âme attendrie,
La corole naissante enflammait l’horizon
Illuminant la plaine encore ensommeillée
Et l’aurore naissante élevait son blason
Insinuant une journée ensoleillée,
Des parfums subtils s’inclinaient du firmament
Où L’Empyrée se revêtant de Majorelle
Déposait sur la glèbe des reflets diamant
En les mystères d’éternité intemporelle.


********************
Quand le ciel applaudit IBOUJO

Quand le ciel applaudit au delà des nuages,
Il est tout souriant quand tombe la pluie,
Se déchargeant de l'eau , pesante pour son âge,
Il se sent léger comme l'ami Colibri, un petit oiseau.


Il surplombe la Planète, subit les saisons,
Avec pour amies, les étoiles nocturnes,
Ou la lune, et puis le jour et son soleil rond,
Des heures de digestion, avant de redonner Vie à l' aurore taciturne ,


Celle d'entre les saisons, les autres sont claires
Ou embuées d'un sommeil diurne.
Il applaudit de voir son utilité sur terre, seuls les vents l'agace, luttant pour leur faire face,
Il est hilare des mains quand tout* re-Verdi* en surface.


Le Printemps laisse la place au vert des arbres, des fleurs, plus de miroir immaculé renvoyant les étoiles de traces de pattes d'oiseaux,
Les blés blondissent, la gazelle dans les bois, réée,
Et si l'été devient brûlant, très gentiment,
il hèle la brise d'autan,


Superbe coupole au- dessus des têtes,
Vous le croyez démuni de sentiments,
Comme beaucoup, il applaudit les clins contents,
Regardez* son sourire au coin* de vos fenêtres.....


******************
Le ciel d’été sur la mer IBOUJO
Quand l'été le ciel uniformément bleu
Reflète sur la mer, émergent des reflets
Irisés, tant à fleur de l'eau, un glacis aux yeux
Des poissons se colorant d'alarmant ou d'or argenté.


Les mammifères marins jouent à attraper les vagues ruisselantes,
D'un bleu outremer pareil que les Cieux,
Les dauphins la taquinent, faisant des galipettes ou autres jeux,
Tout comme le banc de sardines d'airain sous le ciel ou s'arrêtent


Mouettes et Cormorans chassant leur garde -manger,
Le ciel est tel un miroir sur une mer d'huile
Bleu marine,
Les bateaux ou les voiliers de plaisance ne faisant qu'un avec l'horizon bien tracé,
Les corps devenant bronzés , l'été apportent des vitamines
Une belle saison pour se baigner et naviguer.


**********************
Mon ciel d’été IBOUJO

Tu as été mon ciel tout court, celui du Printemps,
Nous voilà tous deux en Automne teintes d'argent,
Mais c'est l'été qui m'accompagne à tout moment,
Brillant et discret, authentique et rassurant


Comme un éther sans nuage , pendant la pleine floraison,
De tes lèvres étoilées des baisers goûteux tel bonbon,
Tu es Astral, pareil aux étincelles d'un ciel d'iris pervenche,
Une chevelure d'ange jais, * joli , métèque-D'or- aux rites, *(météorite), tu me réserves en semaine et Dimanche.


Chaque jour fut un ciel d' Été, me noyant en tes prunelles majorelle,
Le bleu n'a pas manqué à ma Vie de Femme ou Demoiselle,
Toute rose, garnie de mille cotons laineux,
Comme ces petits cumulus me souriant eux aussi de leurs yeux.


*********************
Le dais azur IBOUJO
Entre deux îles, une mer touchant du doigt un Dais azur,
Ils ne font qu'un, une immensité bleu de la pureté d'un diamant,
Quelques touristes allongés sur la plage, dites,:*" Des Amants*
Sans doute du l'imbrication de l'eau et l'air, enlacés dans un sang bleu très pur.


Une Nature encore sauvage avec un seul hôtel
Ou vivent des fleurs, celles que les femmes portent à l'oreille droite carminées,
Signe de leur célibat, chacun connaîtra la nouveauté
Un envoi de Vie en bleu de ciel, si l'hibiscus change de côté,


Pour les fiancés, sous un tulle Bleu --ciel, devant une mer outremer et d'un dôme bleu ardent
Ils diront oui, à Monsieur le Maire, un engagement, ou même l'anneau sera en métal bleu,
Un silicate d'étain et de poudre à peindre
Les murs de leur future maisonnée,
Tout est bleu comme l'éther dans cet endroit, Bleu d'amour l'un pour l'autre, les épouses.


Nous sommes loin du ciel de Paris chantant avec ses ponts,
Ou est passé l'oiseau bleu qui rend les gens heureux ?
Celui qui fait planer au delà d'une mer nuageuse,
Empêchant le naufrage. Le ciel bleu est une beauté, une caresse de gueuse,
Il donne aux Ileens leur part, voyant la vie en rose-cieux


Un lieu pour Bienheureux en cet Éden radieux.

*************************
Ciel d'été court vers l'automne REVEUR LUNAIRE

Chacun vante l'été tes grands yeux méthylène ;
Et ton bas fanion d'azur échevelé
De tout éclair verdi d'arôme acétylène
Fonde l'orage éclos sur l'air renouvelé,


Qu'as-tu pour avenir quand s'empourpre Cyllène,
En d'autres univers à part la primauté
De tes matins couverts par l'aube châtelaine
Qui fait naître l'enfant devant cette beauté,


S'amuse de couleurs tes robes Démosthène
Qu'une fois jour éteint et ton flambeau passé
N'en restera qu'un août sur les portes d'Athènes
De la pauvre saison au soleil trépassé,


Qu'il soit vrai mon amour qu'aux gloires des fontaines
L'été jette le feu de son ciel azuré,
Je préfère le roux qui colore les plaines
Même si l'on dirait, l'automne déluré.


******************
Magie céleste... LYS

Quand tu t'endors, ô ciel, tu refermes tes ailes
Tu balaies mes yeux de mille feux rougeoyants,
Dansant au tempo fragile de tes chandelles,
L'astre roi jette un drapé de tons chatoyants...

A l'unisson, anges et démons se réveillent
Au cœur outremer de tes tulles étoilés,
Révélant tes univers secrets, ô merveilles
Qu'éclaire ton inquiétante amie voilée...

Sur ma peau frémissante je sens un soufflet ,
Une étrange force invisible qui m'appelle,
Me régénère et me guide vers son reflet
Explosant sur la mare devenue si belle...

Ciel d'été, chemin d'espoir et maître absolu,
Tu ranimes la flamme de vies délaissées,
Les illumines de rêves irrésolus,

D'un rai, poudre leurs paupières abaissées...
 
Dernière édition:

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#12
ne pourrait on pas comme pour le concours précédant prolonger un peu ce magnifique ciel d'été,
pas beaucoup de participation le ciel est trop lourd la chaleur trop forte, on se terre dans l'ombre comme des verres on ne peut contempler l'azuréen sur nos têtes
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#17
Lulu c'est toi la chef
fait comme tu le sens
je ne le demandais pas pour moi , je n'ai même pas l'ombre d'une ébauche
mon ciel se perd à l'infini comme mes idées et les étoiles
quand j'ai lancé l'idée il n'y en avait encore que six mais 12 ça deviens acceptable pour un mois d'août
où les créapoètes sont en vacances ou fondent au travail sous la chaleur

bonne soirée