je le poste dans mort car il s'agit bien d'une mort en soi
Commentaire, comment taire, qu'on m'enterre, sur le chômage,
Ce que je vais dire va peut être vous faire bondir, surprendre,
Le poète à dit la vérité il doit être exécuté, il faut le pendre, me pendre,
Ou vous penserez tout simplement : il est fou « Afflelou »,
Qu'a t'il donc à crier au loup, et tempi si mes vers ne valent pas un clou,
Je vais vous parler de politique, quetic-quetic,
c'est mon tic et mes toc, je pourrais bien finir à l'asile, j'en connais la tactique tic, tic, tic,
C'est pour que ça ressemble à un poème que je met des rimes,
C'est ça la politique, j'habille mon forfait pour masquer le crime,
Puisque demain il faudra jusqu'à la fin que je trime,
Si j'écris encore en vers libre c'est que je suis un vermisseau,
Parmi tous ces vers rampant, voyez vous tous ces sots ?
Prolo où est ton orgueil, où est ta fierté ?
Français où est votre liberté ?
Je ne baisserai pas mon froc,
Si ce n'est pour leurs montrer mon « Q »
Que le grand crique me croque,
si demain l'état comble le trou de la sécu,
Vous êtes vous demandez qu'adviendra t'il de nos caisses de solidarités ?
Chômage, retraite, quand l'état seul vous mettra devant de fausses réalités !
Pour quelques miettes de pains en plus au fond du panier ,
Qu'ils nous ferons payer c'est sur jusqu'au dernier, y'a pas à nier,
Sur nos droits qui vont fondre,
Les belles prairies qu'ils vont tondre,
Ce n'est pas pour vous, moutons qui faites bhé-bhé,
Comme par le passé c'est par dizaine qu'ils vous faudra faire des bébé,
pour subvenir au foyer et payer un jour votre retraite,
Retraite, traître, paraître, admettre, peut être ?
Car ils croiserons, pollution, sida, maladies, guerres, attentas, prison, chômage,
Le mot est lâché, ha ! Le bel orage, ha ! Le bel adage,
La grande peur, la sinistrose du salarié,
Sur votre sort comme à la loterie je pourrai parier,
L'arme fatale du capital, le chantage à l'emploi,
L’aubaine des gouvernements complices de leurs lois,
Et comme le roseau le peuple toujours se ploie,
Ce mot qui justifie tout,
Et nous mangeons notre pâtée comme de bon gros toutous
Chez « casto » tu trouves de tous,
Outils et matériaux,
Oui, nous ne sommes plus que des produits commerciaux,
Mais je vous le dis tout haut, le chômage, non ! n'est pas une fatalité,
Ils voudraient nous le faire admettre à grand cris dans les actualités,
Il serai un Drame ? Oui, dans un pays sans droits,
Mais nos allocations nous permettent de tenir et de marcher droit,
D’espérer le job qui plaît et le travail bien rémunéré,
Qu'en sera-t-il demain quand tout espoirs sera enterré ?
Que la seule issue sera la galère,
Condamné à vie à un piètre salaire,
Pour des siècles et des siècles amène,
Sous le regard vigilant du bon dieu tout de même,
Alors, vous n'aurez plus qu'à prier,
Et bien riez maintenant, riez !
Moi, je crois que quitte à moisir,
Et quitte à choisir,
je préfère encore vivre pauvre dans un pays pauvre, une France en friche,
Que de vivre esclave de quelques exploiteurs dans un pays riche pour les riches,
Se ne sont pas nos droits du travail qui en sont la cause,
Mais bien ceux qui délocalisent, exploitent la misère comme toutes choses,
Messieurs allés gagner votre pain à la sueur d'autre fronts,
Ce n'est pas à nous de payer les pots cassés, nous laverons cet affront,
Prolo où est ton orgueil, où est ta fierté ?
Français où est votre liberté ?
Je vous le redit comme une banalité,
Non le chômage n'est pas une fatalité
Il ne justifie pas tous ces sacrifices,
N'autorise pas tout leurs artifices.
Commentaire, comment taire, qu'on m'enterre, sur le chômage,
Ce que je vais dire va peut être vous faire bondir, surprendre,
Le poète à dit la vérité il doit être exécuté, il faut le pendre, me pendre,
Ou vous penserez tout simplement : il est fou « Afflelou »,
Qu'a t'il donc à crier au loup, et tempi si mes vers ne valent pas un clou,
Je vais vous parler de politique, quetic-quetic,
c'est mon tic et mes toc, je pourrais bien finir à l'asile, j'en connais la tactique tic, tic, tic,
C'est pour que ça ressemble à un poème que je met des rimes,
C'est ça la politique, j'habille mon forfait pour masquer le crime,
Puisque demain il faudra jusqu'à la fin que je trime,
Si j'écris encore en vers libre c'est que je suis un vermisseau,
Parmi tous ces vers rampant, voyez vous tous ces sots ?
Prolo où est ton orgueil, où est ta fierté ?
Français où est votre liberté ?
Je ne baisserai pas mon froc,
Si ce n'est pour leurs montrer mon « Q »
Que le grand crique me croque,
si demain l'état comble le trou de la sécu,
Vous êtes vous demandez qu'adviendra t'il de nos caisses de solidarités ?
Chômage, retraite, quand l'état seul vous mettra devant de fausses réalités !
Pour quelques miettes de pains en plus au fond du panier ,
Qu'ils nous ferons payer c'est sur jusqu'au dernier, y'a pas à nier,
Sur nos droits qui vont fondre,
Les belles prairies qu'ils vont tondre,
Ce n'est pas pour vous, moutons qui faites bhé-bhé,
Comme par le passé c'est par dizaine qu'ils vous faudra faire des bébé,
pour subvenir au foyer et payer un jour votre retraite,
Retraite, traître, paraître, admettre, peut être ?
Car ils croiserons, pollution, sida, maladies, guerres, attentas, prison, chômage,
Le mot est lâché, ha ! Le bel orage, ha ! Le bel adage,
La grande peur, la sinistrose du salarié,
Sur votre sort comme à la loterie je pourrai parier,
L'arme fatale du capital, le chantage à l'emploi,
L’aubaine des gouvernements complices de leurs lois,
Et comme le roseau le peuple toujours se ploie,
Ce mot qui justifie tout,
Et nous mangeons notre pâtée comme de bon gros toutous
Chez « casto » tu trouves de tous,
Outils et matériaux,
Oui, nous ne sommes plus que des produits commerciaux,
Mais je vous le dis tout haut, le chômage, non ! n'est pas une fatalité,
Ils voudraient nous le faire admettre à grand cris dans les actualités,
Il serai un Drame ? Oui, dans un pays sans droits,
Mais nos allocations nous permettent de tenir et de marcher droit,
D’espérer le job qui plaît et le travail bien rémunéré,
Qu'en sera-t-il demain quand tout espoirs sera enterré ?
Que la seule issue sera la galère,
Condamné à vie à un piètre salaire,
Pour des siècles et des siècles amène,
Sous le regard vigilant du bon dieu tout de même,
Alors, vous n'aurez plus qu'à prier,
Et bien riez maintenant, riez !
Moi, je crois que quitte à moisir,
Et quitte à choisir,
je préfère encore vivre pauvre dans un pays pauvre, une France en friche,
Que de vivre esclave de quelques exploiteurs dans un pays riche pour les riches,
Se ne sont pas nos droits du travail qui en sont la cause,
Mais bien ceux qui délocalisent, exploitent la misère comme toutes choses,
Messieurs allés gagner votre pain à la sueur d'autre fronts,
Ce n'est pas à nous de payer les pots cassés, nous laverons cet affront,
Prolo où est ton orgueil, où est ta fierté ?
Français où est votre liberté ?
Je vous le redit comme une banalité,
Non le chômage n'est pas une fatalité
Il ne justifie pas tous ces sacrifices,
N'autorise pas tout leurs artifices.
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