La rosée du matin ne me réveillera plus
La lumière du soleil ne me réchauffera plus
Trop faible pour m’ouvrir encore
Fébrilement, je recroqueville mon corps.
Comme une fleur qui se fane et se meurt
Mon teint, peu à peu, perd ses douces couleurs
Et les derniers pétales de mes espoirs inavoués
Se détachent un à un et se mettent à tomber.
Seules mes larmes âcres et salées
Arrosent mes racines desséchées
Plus que quelques gouttes à verser
J’ai déjà trop pleuré.
La rosée du soir ne me nourrira pas
Le clair de lune ne me veillera pas
Je suis trop faible pour attendre
Qu’un miracle vienne me surprendre.
Comme une fleur qui se fane et perd sa beauté
Abandonnée par le sourire charmeur du jardinier
Comme une fleur qui se meurt…
Seule, j’écoute les derniers battements de mon cœur.
isa
La lumière du soleil ne me réchauffera plus
Trop faible pour m’ouvrir encore
Fébrilement, je recroqueville mon corps.
Comme une fleur qui se fane et se meurt
Mon teint, peu à peu, perd ses douces couleurs
Et les derniers pétales de mes espoirs inavoués
Se détachent un à un et se mettent à tomber.
Seules mes larmes âcres et salées
Arrosent mes racines desséchées
Plus que quelques gouttes à verser
J’ai déjà trop pleuré.
La rosée du soir ne me nourrira pas
Le clair de lune ne me veillera pas
Je suis trop faible pour attendre
Qu’un miracle vienne me surprendre.
Comme une fleur qui se fane et perd sa beauté
Abandonnée par le sourire charmeur du jardinier
Comme une fleur qui se meurt…
Seule, j’écoute les derniers battements de mon cœur.
isa