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Colonne vertébrale !

lilasys

Maître Poète
#1
Colonne vertébrale !

Ces perles d'eau manient la brume
Les cils campés sur la joue
Baignés de tous ceux qui enrhument
Les consciences, les chagrins ,les jaloux

Ces longues pauses mystérieuses en étude
Entre les vers, les verres et l'oubli
Parlez, parlez de turpitudes
Ce royaume malsain que fait l'envie

Imputez lui, les éclairs et la foudre
Pour émousser tous ce chagrin
Les elles de son moulin peut moudre
Le blé, les pierres, tous les grains

Quel motif fait de vous un lointain amour?
Ce monde sans rire, sans bras, sans yeux
Même l'aurore oiseux n'accouche le jour
La nuit s'étoile aux distingués orgueilleux

Soupçons, méfiances, images en caricatures
Philosophez entre l'éclat, la valeur, la nuance
Ces mots qui nouent et ligaturent
Les veines du poumon de l'existence ...

lilasys


 
#2
Colonne vertébrale !

Ces perles d'eau manient la brume
Les cils campés sur la joue
Baignés de tous ceux qui enrhument
Les consciences, les chagrins ,les jaloux

Ces longues pauses mystérieuses en étude
Entre les vers, les verres et l'oubli
Parlez, parlez de turpitudes
Ce royaume malsain que fait l'envie

Imputez lui, les éclairs et la foudre
Pour émousser tous ce chagrin
Les elles de son moulin peut moudre
Le blé, les pierres, tous les grains

Quel motif fait de vous un lointain amour?
Ce monde sans rire, sans bras, sans yeux
Même l'aurore oiseux n'accouche le jour
La nuit s'étoile aux distingués orgueilleux

Soupçons, méfiances, images en caricatures
Philosophez entre l'éclat, la valeur, la nuance
Ces mots qui nouent et ligaturent
Les veines du poumon de l'existence ...

lilasys


Un plaisir de lecture Lola
Merci pour ce partage
Bises et bonne journée
Gaby
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
Colonne vertébrale !

Ces perles d'eau manient la brume
Les cils campés sur la joue
Baignés de tous ceux qui enrhument
Les consciences, les chagrins ,les jaloux


Ces longues pauses mystérieuses en étude
Entre les vers, les verres et l'oubli
Parlez, parlez de turpitudes
Ce royaume malsain que fait l'envie


Imputez lui, les éclairs et la foudre
Pour émousser tous ce chagrin
Les elles de son moulin peut moudre
Le blé, les pierres, tous les grains


Quel motif fait de vous un lointain amour?
Ce monde sans rire, sans bras, sans yeux
Même l'aurore oiseux n'accouche le jour
La nuit s'étoile aux distingués orgueilleux


Soupçons, méfiances, images en caricatures
Philosophez entre l'éclat, la valeur, la nuance
Ces mots qui nouent et ligaturent
Les veines du poumon de l'existence ...


lilasys


Pilier cérébral !

Un merle haut manie la plume,
Cécile agrippé comme un bijou,
Baigne tous les vieux qu’elle parfume,
Les cons en sciences, les malins, les matous.


Les langues causent curieuses des plénitudes,
Entre dévers, revers de l'oubli,
Dialoguez, discutez en sollicitude,
L’état bien plus sain ne fait qu’envie.


Exportez lui, des mots clairs sans poudre,
Pour trémousser tous les matins,
Des ailes de beaux moulins en découdre,
Sablez tous les Pierre, tous les mondains.


L’émotif fait avec toi un si proche humour,
Ma ronde te fait rire, mes bras, des envieux,
Mais l'ho or miteux découche ce jour,
Le jour s'étiole pour se distinguer des affreux.


Sous-cons, défiances des sages, c’est caricature,
Débattez sans éclat, la chaleur se nuance,
Les maux ne louent pas, mais saturent,
Des peines au saumon, voir sa chance.
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#7
Colon cérébral !

Ces merles faux marient l’opportune,
Cécile, planquée sans bajoue,
Saignée par tous ceux qui l’exhument,
Les cons pensent en chat grain, Andaloux.

En tongs, poses en suspicieuses décrépitudes,
Entre revers et dévers, quel fourbi,
Partez, partez en plénitude,
Ce roi jaune malsain défait sans vie.

Ingurgitez lui, les faux clercs à découdre,
Pour trémousser tous ces chats grains,
La belle sur son coussin veut absoudre,
Les Dédé, les Pierre et tous les saints.

Quel pontife fait de moi ce crétin humour ?
Cette ronde de sourires, des bas, des vieux,
Même l'eau, or poisseux découche de mes tours,
Enfuit l’étoile aux préjugés fallacieux.

Sous les cons, défiances, le mage est une ordure,
Filez et apostrophez les chats, la pâleur sans nuance,
Les maux se dénouent de ces parjures,

La reine des poux était mon ex-chance.
 
#8
L’amour ne peut-être serein que s’il a des fondations fortes, capable de résister à tous les séismes qui peuvent ébranler le couple.
La colonne vertébrale joue un rôle primordial, il faut pouvoir s’appuyer sur l’une ou l’autre structure quand on est confronté aux tremblements de terre inévitables de la vie à deux.
Je t’embrasse chère Lola
Momo
MLCCACTP
 
#9
Il est des fois
où le coton devient laine
belle colonne vertébrale!
comme
des fois
la laine peut devenir coton
et grâce à la colonne rester droit!

Tout n'est pas systématiquement perdu
malgré la déconvenue!!

Belle réflexion aux multiples sensations!

Merci à toi, bises Poly
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#10
la jalousie ça ronge tout jusqu'à la moelle épinière, le jaloux souffre et l'autre aussi hélas,
enfin il y aurai plus à dire mais le chat préfère finir sur une note d'humour,
alors voilà si j'ai mal au dos ce n'est pas d'avoir trop fait l'amour;)
 
#11
Colonne vertébrale !

Ces perles d'eau manient la brume
Les cils campés sur la joue
Baignés de tous ceux qui enrhument
Les consciences, les chagrins ,les jaloux


Ces longues pauses mystérieuses en étude
Entre les vers, les verres et l'oubli
Parlez, parlez de turpitudes
Ce royaume malsain que fait l'envie


Imputez lui, les éclairs et la foudre
Pour émousser tous ce chagrin
Les elles de son moulin peut moudre
Le blé, les pierres, tous les grains


Quel motif fait de vous un lointain amour?
Ce monde sans rire, sans bras, sans yeux
Même l'aurore oiseux n'accouche le jour
La nuit s'étoile aux distingués orgueilleux


Soupçons, méfiances, images en caricatures
Philosophez entre l'éclat, la valeur, la nuance
Ces mots qui nouent et ligaturent
Les veines du poumon de l'existence ...


lilasys

Dur d'oublier, impossible probablement
Ce qui me choque le plus c'est de voir la faible réaction des auteurs de ces violences qui minimisent leurs gestes et essayent même parfois de renverser les rôles.

"Ce n'est pas l'auteur des coups qui peut juger le niveau de mal qu'il a fait"

La route est encore longue
Avec toi, naturellement
Bisous "vieille" Amie