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Colonne vertébrale !!

lilasys

Maître Poète
#1
Colonne vertébrale


Elle renonce aux doutes, aux peurs, devant la porte
Car sa vie évalue le sablier du temps
Ce misérable appât, s'écoule et fait des absents
Entraîne dans la douleur, que nul être n’avorte

Fière autant que n'importe quel autre vivant
Sans bagage, entre ses doigts une plume, un parchemin
Toutes ces choses qui crayonnent ses nouveaux matins
Dans les yeux toute la beauté, les rires, les chants

La lèvre sans couleur, mais le cœur qui palpite
Telle cette beauté marine aux cliquetis des vagues
Elle veut se bercer, sans lames, sans divagues
Seule au fond d'ailes, une pincé pour qui le mérite

C'est avec élégance qu'elle prend sa dernière route
Sans troubler le silence, sans maux, sans cri
L'efflorescence est bien trop belle pour partir ainsi
Gracier lui ce destin funèbre au fond de la soute….

LILASYS

 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
Félonne cérébrale !

Je t’annonce mes joutes, mes sueurs, avant la porte,
Car l’envie dévalue mon tablier d’instant,
Cet impeccable repas découle des faits adjacents,
J’entraîne pour le bonheur, bien que nul, je t’exhorte.

Frère d’antan, que m'importe, assis sur le divan,
Bon langage, entre ma voix, ta plume sur ton chemin,
Toutes ces roses qui foisonnent en nouveaux festins,
Avec le vieux toute ta beauté, tes rires et tes chants.

L’élève sans douleur, mais une sœur qui palpite,
Que ta beauté chagrine s’estompe et divague,
Elle doit se gercer, sans larmes, sans vagues,
Seule en rondelle, en rincée pour ma petite visite.

C'est avec allégeance que je prend tes premiers doutes,
Pour doubler tes silences : mes mots, mes écrits,
L'effervescence m’est bien trop belle pour sourire ainsi,

Glacier de ton destin célèbre aux gonds de tes doutes.
 

lilasys

Maître Poète
#6
Félonne cérébrale !

Je t’annonce mes joutes, mes sueurs, avant la porte,
Car l’envie dévalue mon tablier d’instant,
Cet impeccable repas découle des faits adjacents,
J’entraîne pour le bonheur, bien que nul, je t’exhorte.


Frère d’antan, que m'importe, assis sur le divan,
Bon langage, entre ma voix, ta plume sur ton chemin,
Toutes ces roses qui foisonnent en nouveaux festins,
Avec le vieux toute ta beauté, tes rires et tes chants.


L’élève sans douleur, mais une sœur qui palpite,
Que ta beauté chagrine s’estompe et divague,
Elle doit se gercer, sans larmes, sans vagues,
Seule en rondelle, en rincée pour ma petite visite.


C'est avec allégeance que je prend tes premiers doutes,
Pour doubler tes silences : mes mots, mes écrits,
L'effervescence m’est bien trop belle pour sourire ainsi,

Glacier de ton destin célèbre aux gonds de tes doutes.
Merci un pastiche réussi .....Il va de soi que tu me connais bien ......Je t'adore mon Luron ; je vois que tu es toujours le meilleur
Bisous à vous deux

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prose16

Maître Poète
#7
Toute vie est liée au temps, resteront nos écrits au delà de nous, pour ceux qui finalement ne nous connaissaient pas vraiment...ou ne se sont pas donné la peine de mieux nous connaitre...j'ai aimé ma lecture, merci et lumineuse journée:)
 

lilasys

Maître Poète
#8
Toute vie est liée au temps, resteront nos écrits au delà de nous, pour ceux qui finalement ne nous connaissaient pas vraiment...ou ne se sont pas donné la peine de mieux nous connaitre...j'ai aimé ma lecture, merci et lumineuse journée:)
Merci Jacky .......J'avoue tout reste dans le coeur ou sur les pages parfois jaunies
Bisous et bonne après midi douce mamy
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