Code du printemps, c’est l’ode du printemps.
Entends-tu la clameur quand dansent les oiseaux,
Quand dans les nids, les affamés font leurs révoltes,
Incantation aux plumes pour naître plus beaux,
Attendant des parents les vers de la récolte.
Leurs jeunes petites plumes, frissonnant au vent,
Comblé par le murmure, Zéphyr dans les branches,
Patientant de quitter le logis paravent,
L’espérance du vol d’un coup d’aile plus franche.
Survolant les espoirs des fleurs, jolis bourgeons,
Quand de l’arbre vient le renouveau de verdure,
L’orage abandonné, viens donc petit surgeon,
Oublie, coups de foudre et petites blessures.
Regarde ! Jonquilles couvertes de rosée,
Le bourdon s’éveille sur le foin de la charrette,
L’atmosphère du printemps enfle nos pensées,
Chevelure ébouriffée, nouvelles emplettes.
En senteur d’ondée, survient l’éternel amour,
Enlevons maintenant les tristesses d’hivers,
Par des grands sourires aux paroles d’humour,
Poètes, ensemble, nous rirons de nos vers.
Entends-tu la clameur quand dansent les oiseaux,
Quand dans les nids, les affamés font leurs révoltes,
Incantation aux plumes pour naître plus beaux,
Attendant des parents les vers de la récolte.
Leurs jeunes petites plumes, frissonnant au vent,
Comblé par le murmure, Zéphyr dans les branches,
Patientant de quitter le logis paravent,
L’espérance du vol d’un coup d’aile plus franche.
Survolant les espoirs des fleurs, jolis bourgeons,
Quand de l’arbre vient le renouveau de verdure,
L’orage abandonné, viens donc petit surgeon,
Oublie, coups de foudre et petites blessures.
Regarde ! Jonquilles couvertes de rosée,
Le bourdon s’éveille sur le foin de la charrette,
L’atmosphère du printemps enfle nos pensées,
Chevelure ébouriffée, nouvelles emplettes.
En senteur d’ondée, survient l’éternel amour,
Enlevons maintenant les tristesses d’hivers,
Par des grands sourires aux paroles d’humour,
Poètes, ensemble, nous rirons de nos vers.