Ciel ! Mon mari !
Elle avait enduit tout son corps d’amande douce,
En balade bucolique au ciel d’été,
Et retrouver sous les nues son amant, en douce,
En l’absence de nuage, son époux évité.
Avec lui, elle a vu passer quelques nuages,
Des gros cumulus que des cumulonimbus,
Qui s’étaient transformés en un immense orage,
C’était l’arrêt, le temps de rappeler son bus.
L’incartade au contrat lui semblait naturelle,
Elle croyait voir un nouveau soleil dans les cieux,
Jugeant qu’elle devait gérer son espace à elle,
Aux anges, n’voulant pas rester avec ce vieux.
Mais la goutte d’eau qui fit déborder le vase
Dans la nature, fut cette averse inopinée
Et ce fut l’arrêt brutal à leur belle extase,
Pria le ciel pour son mari, cet acharné !
Elle avait enduit tout son corps d’amande douce,
En balade bucolique au ciel d’été,
Et retrouver sous les nues son amant, en douce,
En l’absence de nuage, son époux évité.
Avec lui, elle a vu passer quelques nuages,
Des gros cumulus que des cumulonimbus,
Qui s’étaient transformés en un immense orage,
C’était l’arrêt, le temps de rappeler son bus.
L’incartade au contrat lui semblait naturelle,
Elle croyait voir un nouveau soleil dans les cieux,
Jugeant qu’elle devait gérer son espace à elle,
Aux anges, n’voulant pas rester avec ce vieux.
Mais la goutte d’eau qui fit déborder le vase
Dans la nature, fut cette averse inopinée
Et ce fut l’arrêt brutal à leur belle extase,
Pria le ciel pour son mari, cet acharné !