Tu aurais eu la beauté de ta mère.
Tu aurais eu la fougue de ton père.
Tu aurais eu un coeur aussi profond que la mer.
Tu aurai eu plus d'amour que n'importe qu'elle autre fille sur terre.
En parlant de toi j'utilise le conditionnel car malheureusement du fait de mes erreurs tu n'es pas.
Et que vraisemblablement jamais tu ne seras.
De moi, ta futur maman a été extrêmement déçue.
Du coup ben le projet de ta naissance aujourd'hui n'est plus.
Bébé je culpabilise tellement.
Je voudrais tant, oh ma puce, te voir faire des bêtises et entendre ta mère te crier dessus gentillement.
Je voudrais tant pendant les jours où tu serais sage porter tes petites jambes autour de mon cou.
Je voudrais tant les jours où tu serais vilaine te faire peur en te papotant légèrement sur les genoux.
Bébé pardonne moi.
Pardonne moi car moi, me pardonner je ne peux pas.
Ma tristesse est si grande quand je pense à toi.
Ma tristesse est si grande quand je pense que jamais tu ne m'appelleras papa.
On avait décidé de combiner nos deux prenoms et de t'appeler CHRISMIE.
On avait décidé que tu seras notre fille aînée, que tu ne serais toute notre vie.
Mais ma débilité a fait qu'a décidé que je ne serais jamais en vie.
Et que tu n'existeras que dans mon imaginaire à partir d'aujourd'hui.
Tu aurais eu la fougue de ton père.
Tu aurais eu un coeur aussi profond que la mer.
Tu aurai eu plus d'amour que n'importe qu'elle autre fille sur terre.
En parlant de toi j'utilise le conditionnel car malheureusement du fait de mes erreurs tu n'es pas.
Et que vraisemblablement jamais tu ne seras.
De moi, ta futur maman a été extrêmement déçue.
Du coup ben le projet de ta naissance aujourd'hui n'est plus.
Bébé je culpabilise tellement.
Je voudrais tant, oh ma puce, te voir faire des bêtises et entendre ta mère te crier dessus gentillement.
Je voudrais tant pendant les jours où tu serais sage porter tes petites jambes autour de mon cou.
Je voudrais tant les jours où tu serais vilaine te faire peur en te papotant légèrement sur les genoux.
Bébé pardonne moi.
Pardonne moi car moi, me pardonner je ne peux pas.
Ma tristesse est si grande quand je pense à toi.
Ma tristesse est si grande quand je pense que jamais tu ne m'appelleras papa.
On avait décidé de combiner nos deux prenoms et de t'appeler CHRISMIE.
On avait décidé que tu seras notre fille aînée, que tu ne serais toute notre vie.
Mais ma débilité a fait qu'a décidé que je ne serais jamais en vie.
Et que tu n'existeras que dans mon imaginaire à partir d'aujourd'hui.