Cheveux longs ou idées courtes. LURON 1er/ ZUC médaille de bronze
Mais tu l’as de ton écrit, tous les caractères,
Tu cherches un chien qui a la tchat pour le taire,
Car il aboie rien qu’à la vue d’un petit rat,
Cherche une danseuse dans l’enceinte de l’opéra.
Je me croyais malin avec mes coups d'annonce,
A faire de l'humour agitant mon drapeau,
tout en criant au loup espérant qu'il renonce,
Il a du pedigree ce n'est point un carpeau,
Tu vois, je pratique l’envers, enfin je crois,
En vieillissant, j’embourgeoise, mon choix,
Comme dirait Brel, Con comme un bourgeois,
Pas comptable de mes défauts pour la joie.
Porterait-il le "mask" ça sent le coup de bluff,
Il compte bien les pieds et cela sans faux pas,
Voyons si le larron peut se joindre à la teuf,
S'il ne débecte pas mon vin, ni mon repas,
Contre les fachos, je mange et bois tes mots,
Contre les racistes, j’efface tous leurs maux,
De militaire, je n’aime que l’armée du salut,
Et de l’extrême, ni petit, ni gros, mais chevelu.
Il montre patte blanche, cherche la ressemblance,
Affirmant mes propos où tout homme est pareil,
Et n'aimant pas la guerre, sommes en résonance,
Quand toutes peaux brillent, rougissant au soleil,
Ne parlons pas de Macron, il n’est que micron,
Et de la Hollande rejoignons la France des mignons,
Les trois font la paire en ajoutant Sarko,
Ils n’ont fait que nous enfoncer dans un fiasco.
Ce sont les politiques qui divisent l'humain,
Et les religions, où nos égos explosent,
Comme Obélix dirait, "il est fou ce romain",
Quand seuls de nos crânes, les cheveux nous opposent.
Souvenons-nous du p'tit têtu sous le bicorne,
qui nous donna français lois et code civil,
Et de ce grand gaulois qu'au front un long nez orne,
La chienlit, ils étaient, mais héros au temps vil.
Mais tu l’as de ton écrit, tous les caractères,
Tu cherches un chien qui a la tchat pour le taire,
Car il aboie rien qu’à la vue d’un petit rat,
Cherche une danseuse dans l’enceinte de l’opéra.
Je me croyais malin avec mes coups d'annonce,
A faire de l'humour agitant mon drapeau,
tout en criant au loup espérant qu'il renonce,
Il a du pedigree ce n'est point un carpeau,
Tu vois, je pratique l’envers, enfin je crois,
En vieillissant, j’embourgeoise, mon choix,
Comme dirait Brel, Con comme un bourgeois,
Pas comptable de mes défauts pour la joie.
Porterait-il le "mask" ça sent le coup de bluff,
Il compte bien les pieds et cela sans faux pas,
Voyons si le larron peut se joindre à la teuf,
S'il ne débecte pas mon vin, ni mon repas,
Contre les fachos, je mange et bois tes mots,
Contre les racistes, j’efface tous leurs maux,
De militaire, je n’aime que l’armée du salut,
Et de l’extrême, ni petit, ni gros, mais chevelu.
Il montre patte blanche, cherche la ressemblance,
Affirmant mes propos où tout homme est pareil,
Et n'aimant pas la guerre, sommes en résonance,
Quand toutes peaux brillent, rougissant au soleil,
Ne parlons pas de Macron, il n’est que micron,
Et de la Hollande rejoignons la France des mignons,
Les trois font la paire en ajoutant Sarko,
Ils n’ont fait que nous enfoncer dans un fiasco.
Ce sont les politiques qui divisent l'humain,
Et les religions, où nos égos explosent,
Comme Obélix dirait, "il est fou ce romain",
Quand seuls de nos crânes, les cheveux nous opposent.
Souvenons-nous du p'tit têtu sous le bicorne,
qui nous donna français lois et code civil,
Et de ce grand gaulois qu'au front un long nez orne,
La chienlit, ils étaient, mais héros au temps vil.