Parcourant les plaines du continent, Toi et ton cheval face au vent, Galopant à toute vitesse jusqu'au levant, La rosée matinale caressant tes longs cheveux d'argent.
Ton regard impitoyable et concentré, Ton esprit pur mais aussi ta sensibilité, Portant fièrement sa cuirasse, le torse bombé, Tel un chevalier que le temps a laissé filé.
Rejoignant à l'aube tes contrées, La où à ton retour, ton village viendra t'acclamé, Où tes frères et tes sœurs d'armes viendront t'embrassés, Et où le roi sera fier de retrouvé.
Je referme ce gros et poussiéreux grimoire, Celui qui possède les écrits du savoir, Celui qui m'a apprit et qui m'a fait croire, A toi, le Chevalier de ma Mémoire
Ton regard impitoyable et concentré, Ton esprit pur mais aussi ta sensibilité, Portant fièrement sa cuirasse, le torse bombé, Tel un chevalier que le temps a laissé filé.
Rejoignant à l'aube tes contrées, La où à ton retour, ton village viendra t'acclamé, Où tes frères et tes sœurs d'armes viendront t'embrassés, Et où le roi sera fier de retrouvé.
Je referme ce gros et poussiéreux grimoire, Celui qui possède les écrits du savoir, Celui qui m'a apprit et qui m'a fait croire, A toi, le Chevalier de ma Mémoire