Jour 6 de mon histoire de calendrier de l'Avent avec pour thème : Sapin.
Dans ce froid homogène à la morte blancheur
Charroie les souvenirs aux afflux nostalgiques
Où les flocons paraient en un ballet rythmique
Emportant dans leur danse une triste torpeur
Les moments de bonheurs s’effaçant par ce froid
Sous sa verve opaline en tournant un chapitre
Réécrivant le cours sur son poudreux pupitre.
Mais dans ce paysage aux marginaux minois
Connote un intermède où s’envolent les rêves
Entremêlant en eux les peurs de ne revoir
Leur jadis atmosphère et souhaite que l’histoire
De ce glacial hiver sur une paix s’achève
Etant le médiateur de ces tons saisonniers
Où coule l’avenir d’un potentiel accueil
Sous les chauds renouveaux qui noieraient les écueils.
Mais ce tableau blanchi peut nous émerveiller
En dénotant un monde aux mythiques attraits
De par un exutoire où s’allie l’intuition
D’apporter une touche aux vertes pulsations
Intronisant en nous un féérique accès
Où le charme s’opère en cette orbe insolite.
Maitrisant en son sein le quaternaire temps
Cet arriviste aiguille en son civil cadran
Affronte les saisons pour se voir assez vite
Devenir le désir d’un boniment brillant
En étant l’insurgé qui jamais ne failli
Bravant robustement les célestes défis.
Poursuivant en ce sens son futur évident
Tracé par les humains s’allie à cette fête
Puisque de ces aspects évolue une union
L’ésotérique élan qui en cet effusion
Arbore une armoirie d’une tout autre quête.
En effet le sapin sous ses airs d’immortels
Est le suc indiquant que Noël s’associe
A un conte dévot afin que ce récit
Evoque l’étalon porteur de ce rituel
Qui loue la symbolique en peignant les raisons
Afin d’être exercé à lever la lumière
Sur nos motivations de célébrer cette ère.
Par ce divin essieu chacun en sa maison
Annonce l’arrivée de cette déité
En y rebaptisant l’écriture biblique
Faisant de ce nordmann un écusson mystique.
Notre pin s’enrichit en suivant nos idées
Déterminant les traits de notre caractère
En l’ornant d’un drapé d’un bouquet sidéral
Afin qu’il évolue en créature astral
Pour pouvoir tutoyer le cœur de Notre Père.
En effet cet écrin est un béant portique
Qui nous permet d’aller portés par la comète
Cet étoile bergère apposée sur sa crête
En se faisant guider d’un air parabolique
A suivre sa trainée où s’écoule en poussière
Une cosmique aurore aux saveurs religieuses
Pour pouvoir nous pâmer dans cette aura mielleuse.
Cette once pateline accentue sa lumière
Pour être la colombe en ce jour affété
Du Seigneur délivrant un message de paix
Afin de prévenir que tout espoir renait
Sous le joug salvateur de cet illuminé
Ce nourrisson affable au destin prodigieux.
Alors sacralisons ce sapin éloquent
Délivrant sous nos yeux le courant lactescent
De ce mentor spatial par deux atours précieux
La boule et la guirlande arguant tout bonnement
Le système solaire à l’axe rotatoire
Où les globes mondiaux en leur cœur giratoire
Signent bien que ce cône est maître de nos temps.
Oiseau Lyre.
Dans ce froid homogène à la morte blancheur
Charroie les souvenirs aux afflux nostalgiques
Où les flocons paraient en un ballet rythmique
Emportant dans leur danse une triste torpeur
Les moments de bonheurs s’effaçant par ce froid
Sous sa verve opaline en tournant un chapitre
Réécrivant le cours sur son poudreux pupitre.
Mais dans ce paysage aux marginaux minois
Connote un intermède où s’envolent les rêves
Entremêlant en eux les peurs de ne revoir
Leur jadis atmosphère et souhaite que l’histoire
De ce glacial hiver sur une paix s’achève
Etant le médiateur de ces tons saisonniers
Où coule l’avenir d’un potentiel accueil
Sous les chauds renouveaux qui noieraient les écueils.
Mais ce tableau blanchi peut nous émerveiller
En dénotant un monde aux mythiques attraits
De par un exutoire où s’allie l’intuition
D’apporter une touche aux vertes pulsations
Intronisant en nous un féérique accès
Où le charme s’opère en cette orbe insolite.
Maitrisant en son sein le quaternaire temps
Cet arriviste aiguille en son civil cadran
Affronte les saisons pour se voir assez vite
Devenir le désir d’un boniment brillant
En étant l’insurgé qui jamais ne failli
Bravant robustement les célestes défis.
Poursuivant en ce sens son futur évident
Tracé par les humains s’allie à cette fête
Puisque de ces aspects évolue une union
L’ésotérique élan qui en cet effusion
Arbore une armoirie d’une tout autre quête.
En effet le sapin sous ses airs d’immortels
Est le suc indiquant que Noël s’associe
A un conte dévot afin que ce récit
Evoque l’étalon porteur de ce rituel
Qui loue la symbolique en peignant les raisons
Afin d’être exercé à lever la lumière
Sur nos motivations de célébrer cette ère.
Par ce divin essieu chacun en sa maison
Annonce l’arrivée de cette déité
En y rebaptisant l’écriture biblique
Faisant de ce nordmann un écusson mystique.
Notre pin s’enrichit en suivant nos idées
Déterminant les traits de notre caractère
En l’ornant d’un drapé d’un bouquet sidéral
Afin qu’il évolue en créature astral
Pour pouvoir tutoyer le cœur de Notre Père.
En effet cet écrin est un béant portique
Qui nous permet d’aller portés par la comète
Cet étoile bergère apposée sur sa crête
En se faisant guider d’un air parabolique
A suivre sa trainée où s’écoule en poussière
Une cosmique aurore aux saveurs religieuses
Pour pouvoir nous pâmer dans cette aura mielleuse.
Cette once pateline accentue sa lumière
Pour être la colombe en ce jour affété
Du Seigneur délivrant un message de paix
Afin de prévenir que tout espoir renait
Sous le joug salvateur de cet illuminé
Ce nourrisson affable au destin prodigieux.
Alors sacralisons ce sapin éloquent
Délivrant sous nos yeux le courant lactescent
De ce mentor spatial par deux atours précieux
La boule et la guirlande arguant tout bonnement
Le système solaire à l’axe rotatoire
Où les globes mondiaux en leur cœur giratoire
Signent bien que ce cône est maître de nos temps.
Oiseau Lyre.
