Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Ces vils menteurs...

ilot

Nouveau poète
#1
Connaissiez-vous l’histoire de ces menteurs,
Que je vais vous conter en ce poème,
Ils sont quatre pour être exact, ces horreurs !
Sont très coquins, parmi eux trois femmes

Quand ils veulent traîner quelqu'un dans la boue.
Ils lui collent une étiquette sur la joue
D’abord être Français pur sans contours,
Identité française et faciès obligent.


La souche en cuir et le talon reconnu.
Comme au cinéma les loges réservées,
Aux autochtones, leurs amis bienvenus
Les autres, ça dépend de leurs bonnes tenues.


Les Crabes, les étrangers au fin fond,
Souvent pour masquer on donne un strapontin,
Et pour vous égarer dans leurs chemins ;
Eux continuent de tourner en rond.


Dupont et François, François et Dupont,
Parler de Vérités c’est interdit
Se faire insulter, c’est très bien dit
Répondre, on vous jettera par-dessus pont


Tout le Ciel vous tombera sur la tête
Vous perdez tous droits, même votre dignité.
Passeriez même en Cour d’assises pour crimes
Chassé, banni resteront que vos rimes.


Eux, fiers, s’épinglant nos vermeilles médailles.
Qu’ont-ils de plus que nous cette vermine ?
Ont-ils une conscience ! Dorment-ils tranquilles ?
La liberté d’expression là se termine….


Les fillettes nous insultent, les femmes nous menacent
Mais ils ont oublié que je suis tenace,
Que je suis un survivant de la mort
Et que tous un jour, paieront leurs torts
MAHMOUD
 

Lyseria

modérateur
#2
et bien disons que le mensonge n'a ni odeur ni patrie qu'il va partout dans les esprits ni religions
ni origine....
bien à vous
 

lilasys

Maître Poète
#3
si je vois un seul poeme ,,qui m'appartient ,,ceci va te couter cher ,,l'amiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii