Au milieu des éclats d'une vive allégresse,
Gaîment vous dépensez vos jours sans les compter,
Nulle raison de crainte, et, loin de s'alarmer,
Un printemps éternel embellit ta jeunesse.
Cette tête ingénue et ce corps de déesse,
Cette bouche, ces yeux. Et leur onde à l'instant,
Ce dont tu as goûté quand même, à coeur battant,
Les diverses beautés qui parent ta jeunesse.
Sois heureuse et surtout aime un ami qui t'aime.
Entre ses bras divins s'écrira ton poème.
Jouissez du printemps, jouissez du matin.
Un jour tu subiras notre commun destin.
Ton bon ange te fait ce discours à l'oreille:
Laisse de ta jeunesse éclater les merveilles.
Gaîment vous dépensez vos jours sans les compter,
Nulle raison de crainte, et, loin de s'alarmer,
Un printemps éternel embellit ta jeunesse.
Cette tête ingénue et ce corps de déesse,
Cette bouche, ces yeux. Et leur onde à l'instant,
Ce dont tu as goûté quand même, à coeur battant,
Les diverses beautés qui parent ta jeunesse.
Sois heureuse et surtout aime un ami qui t'aime.
Entre ses bras divins s'écrira ton poème.
Jouissez du printemps, jouissez du matin.
Un jour tu subiras notre commun destin.
Ton bon ange te fait ce discours à l'oreille:
Laisse de ta jeunesse éclater les merveilles.
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