Pays où seul le rêve est une immense gloire
Par le calme tiède de tes jours infinis
Je rejoins sans gémir ton masque de ciboire
Et m’enfonce en tremblant dans ta nuit
Pays où le reflet transperçant de l’ivoire
M’offre tour à tour sa musique et ses fruits
Ses ruelles obscures aux fins ostentatoires
Ou de lendemains monotones et sans bruit
Pays radieux, la mer d’émeraude m’inondait
Et où mon corps las, doucement se baignait
En l’attente d’une nuit toute tissée d’étoiles
Oraison scintillante dans une clarté d’opale
Pays où chaque pierre offrait sa splendeur
L’arbre sa sève tendre, l’oiseau ses trilles
La mer son sable fin, le soleil sa chaleur
En bruit diffus qui en mon oreille se vrille
Pays dont je chante toujours la vie des ruelles
Vision des plages avec ses couples alanguis
Des corps étendus aux affres de l’ennui
Qui transpirent une fatigue résiduelle
Pays où le démon avec son attirance obscure
D’une chair brûlante mais d’une âme sans sel
Fait que je m’enfonce encore dans l’aventure
Vers ce qui avec toi était un joyeux carrousel
Jan
( Ce 200 ème, je l'ai écrit il y a... bien longtemps ! )
Par le calme tiède de tes jours infinis
Je rejoins sans gémir ton masque de ciboire
Et m’enfonce en tremblant dans ta nuit
Pays où le reflet transperçant de l’ivoire
M’offre tour à tour sa musique et ses fruits
Ses ruelles obscures aux fins ostentatoires
Ou de lendemains monotones et sans bruit
Pays radieux, la mer d’émeraude m’inondait
Et où mon corps las, doucement se baignait
En l’attente d’une nuit toute tissée d’étoiles
Oraison scintillante dans une clarté d’opale
Pays où chaque pierre offrait sa splendeur
L’arbre sa sève tendre, l’oiseau ses trilles
La mer son sable fin, le soleil sa chaleur
En bruit diffus qui en mon oreille se vrille
Pays dont je chante toujours la vie des ruelles
Vision des plages avec ses couples alanguis
Des corps étendus aux affres de l’ennui
Qui transpirent une fatigue résiduelle
Pays où le démon avec son attirance obscure
D’une chair brûlante mais d’une âme sans sel
Fait que je m’enfonce encore dans l’aventure
Vers ce qui avec toi était un joyeux carrousel
Jan
( Ce 200 ème, je l'ai écrit il y a... bien longtemps ! )