Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Ce 17 mai, mon festival de Cannes,

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Ce 17 mai, mon festival de Cannes,

C’est par un petit soleil que nous prîmes la route,
Espérant qu’il se lèverait, on avait des doutes !
Avec cette lumière naissante, nous n’espérions pas de gouttes,
Au port, du bateau les larmes du ciel n’étaient pas en soute.


De Lérins, nous débarquions enfin sur ses îles,
Pour en apprendre la faune et la flore si subtile,
Notre guide devait nous en faire suivre le joli fil,
Sous les pins, nous échappions au crachin et aux reptiles.


Il fallait maintenant que le soleil apparaisse,
Pour commencer ce circuit sans paresse,
Je me disais subtilement que la pluie lave la terre
D’une plante d’entrée, il nous présenta la lavatère.


Mais il avait plus d’une arme dans sa poche,
Nous contant l’histoire de quelques roches,
Par ce temps maussade, peu d’oiseaux à l’approche
Mais de son humour bourru, des blagues il nous décoche.


Et de sa grande mémoire, il fit toujours plus fort,
Et nous narra, couche après couche, histoire de ce fort,
Car avec lui tout s’enchaîne et oui, il faut le faire,
C’est dans cette île prison qu’était le masque de fer.


L’ensemble du jury pour Philippe lui attribue bien une palme,
De retour, les billets dans sa poche où aux pieds, il faudra mettre les palmes,
En cette fin de journée, j’en avais plein les cannes,

Quelle date formidable pour mon festival de cannes.




 
Dernière édition:

kinkin

Maître Poète
#2
1652842104099.png Combien oublier le Festival de Kahn on lui a cassé du sucre de canne sur son dos au bonhomme bravo Luron amicalement Kinkin
 

lebroc

Maître Poète
#6
Ce 17 mai, mon festival de Cannes,

C’est par un petit soleil que nous prîmes la route,
Espérant qu’il se lèverait, on avait des doutes !
Avec cette lumière naissante, nous n’espérions pas de gouttes,
Au port, du bateau les larmes du ciel n’étaient pas en soute.


De Lérins, nous débarquions enfin sur ses îles,
Pour en apprendre la faune et la flore si subtile,
Notre guide devait nous en faire suivre le joli fil,
Sous les pins, nous échappions au crachin et aux reptiles.


Il fallait maintenant que le soleil apparaisse,
Pour commencer ce circuit sans paresse,
Je me disais subtilement que la pluie lave la terre
D’une plante d’entrée, il nous présenta la lavatère.


Mais il avait plus d’une arme dans sa poche,
Nous contant l’histoire de quelques roches,
Par ce temps maussade, peu d’oiseaux à l’approche
Mais de son humour bourru, des blagues il nous décoche.


Et de sa grande mémoire, il fit toujours plus fort,
Et nous narra, couche après couche, histoire de ce fort,
Car avec lui tout s’enchaîne et oui, il faut le faire,
C’est dans cette île prison qu’était le masque de fer.


L’ensemble du jury pour Philippe lui attribue bien une palme,
De retour, les billets dans sa poche où aux pieds, il faudra mettre les palmes,
En cette fin de journée, j’en avais plein les cannes,

Quelle date formidable pour mon festival de cannes.
Afficher la pièce jointe 38162



Au Festival il faut faire attention en montant les marches à ne pas se mélanger les cannes!
Amitiés