J'aime la Lune gibeuse et sa lumière
Se posant sur ma joue ,faisant naître le jour
Entrant discrètement dans ma garçonniere
Allant croissante de beauté et entière
Telle une mère enfantant à cris d' Amour
Je fredonne une berceuse , mèneant à renaitre
Elle , dont les rais s'épanchent ,la nuit est bleu
Elle privilégie avant de disparaître , une glissade à ma fenêtre
Signant d' un tout petit sourire son dernier Adieu
Si pendant l'hiver les tournesols ,comme les animaux se terrent
Luisante , elle accorde aux toits , aux clochesr sa gelée lamée
Dans les bras nus des arbres s'infiltrant avec mystere
Faisant des cercles au sol, jouant la fille de l' air, et Aimèe
Regarde ,, je n'ose plus marcher
Sur les près et les champs
Sur l'herbe , sur les murs des maisons, dans l 'oeil du serpent
Sur les ailes du cygne ,plein de détails qui sont grandes choses
Nous charmant d' ombres , mettant du souffle aux roses
Des reflets dans l'eau , un feu cuivrè dans les buissons
J'aime la Lune gibeuse ,d' un obscur ,elle en fait une apothéose
Le ciel sans elle. serait un jour sans Ra,
Les choses ne seraient pas ce qu'elles sont
Dèesse de mystère , m'entends tu ?
Je crie, je crie ton nom, fille d' Heperion
Se posant sur ma joue ,faisant naître le jour
Entrant discrètement dans ma garçonniere
Allant croissante de beauté et entière
Telle une mère enfantant à cris d' Amour
Je fredonne une berceuse , mèneant à renaitre
Elle , dont les rais s'épanchent ,la nuit est bleu
Elle privilégie avant de disparaître , une glissade à ma fenêtre
Signant d' un tout petit sourire son dernier Adieu
Si pendant l'hiver les tournesols ,comme les animaux se terrent
Luisante , elle accorde aux toits , aux clochesr sa gelée lamée
Dans les bras nus des arbres s'infiltrant avec mystere
Faisant des cercles au sol, jouant la fille de l' air, et Aimèe
Regarde ,, je n'ose plus marcher
Sur les près et les champs
Sur l'herbe , sur les murs des maisons, dans l 'oeil du serpent
Sur les ailes du cygne ,plein de détails qui sont grandes choses
Nous charmant d' ombres , mettant du souffle aux roses
Des reflets dans l'eau , un feu cuivrè dans les buissons
J'aime la Lune gibeuse ,d' un obscur ,elle en fait une apothéose
Le ciel sans elle. serait un jour sans Ra,
Les choses ne seraient pas ce qu'elles sont
Dèesse de mystère , m'entends tu ?
Je crie, je crie ton nom, fille d' Heperion
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