Il fait bien trop chaud cet été,
Le soir venu reste entêté,
La canicule
Vient nous toucher nous rend poisseux
Sans mouvement tous paresseux
On se bouscule,
Le soir venu reste entêté,
La canicule
Vient nous toucher nous rend poisseux
Sans mouvement tous paresseux
On se bouscule,
Sur l’ottomane on a choisi
De se coucher si bien transi
Oh ! Canicule,
On fuit le temps d’une chaleur
On y transpire à son ampleur
Tout se bouscule.
De se coucher si bien transi
Oh ! Canicule,
On fuit le temps d’une chaleur
On y transpire à son ampleur
Tout se bouscule.
On rêverait d’un paillasson
Pour se sentir moins mollasson
Stop canicule,
Nous souhaitons tous maintenant
Qu’un automne bien avenant
Suive, bouscule ;
Pour se sentir moins mollasson
Stop canicule,
Nous souhaitons tous maintenant
Qu’un automne bien avenant
Suive, bouscule ;
Nous oublierons au premier froid
Fébrile et d’aucun désarroi
La canicule,
Quand viendront les larmes du ciel
Dans ce jour providentiel
Que l’on bouscule…
Fébrile et d’aucun désarroi
La canicule,
Quand viendront les larmes du ciel
Dans ce jour providentiel
Que l’on bouscule…
Maria-Dolores