C’est à toi de pardonner
Oh toi mon cœur sache que tu meurs
Alors pardonne et tu survivras
Fais-le pour elle ta petite fleur
Dans tes écrits, un jour, elle te retrouvera
Elle est précieuse oui plus que l’or
Donne-toi une chance, car tu as le choix
Même s’ils creusent ta fosse et que l’âme quitte le corps
N’oublie pas cette gosse son sang coule en toi
Oui, je lui pardonne pour qu’elle se rassure
Mais je n’arrive pas à oublier mes larmes
Qu’elle m’a fait verser des nuits et des jours
En pointant contre mon cœur un jour les armes
Oui, je l’ai aimé dis lui pour qu’elle se rassure
Sincère en vers elle était mon, je t’aime
Pour le meilleur et le pire, on a juré un jour
J’étais même près à lui offrir mon âme
Oui, moi aussi parfois, je fais des erreurs
Je ne l’ai pas compris elle ma première femme
Ce qu’il se passe ce jour-là dans son corps
Quand le ventre gros, ma fille en elle, ce forme
Peut-être elle sait, cacher ces douleurs
Par contre, moi, je pense comme un homme
Et tout ce qui brille n’est pas forcement de l’or
Pardonne-moi pour mes panses d’homme
Oh, tu sais comme le temps m’a rendu mur
Et la sagesse en moi, aujourd’hui, raisonne
Certes, je ne sais pas moi offrir des fleurs
Ni avec les mots dire, je t’aime
Mais dans mon cœur pour elle, j’ai bâté un fort
Ou ma présence ce jour-là témoigne
Rien qu’elle dans mon cœur parmi tant de fleurs
Mais moi loin d’elle m’a aveuglé la haine
L’écrit de ce soir est tellement fort
Car, ce soir, elle lui parle mon âme
Qu’elle m’ouvre ce soir, la porte de son cœur
Qu’elle me l’ouvre, car le mien, il saigne
Oui, je lui pardonne, car je n’ai plus peur
Elle était un jour ma première femme
Je la connais par cœur, sauf son intérieur
En la cueillant un jour, m’a trempé son charme
Chaque parcelle de son corps, connaît mes labours
Et chaque coin qui me flamme
Je connais le rythme de ses battements de cœur
Car, sur ma poitrine chaque nuit, elle s’endorme
Qu’elle se souvient, j’étais son amour
Avant que son cœur, se remplisse de haine
Quand l’esprit se lasse, n’est pas encore mur
Proie facile alors, pour ceux qui conseillent
Ils jugent a travers, ils jugent même a tort
Ils pussent les gens, a se rebellent
Mais la vie est courte, comme une roue qui tourne
Qui est en bas aujourd’hui, un jour devient haut
Et par terre moi, j’ai vu tant d’emblèmes
Je t’aime ma fille
Mustapha
Oh toi mon cœur sache que tu meurs
Alors pardonne et tu survivras
Fais-le pour elle ta petite fleur
Dans tes écrits, un jour, elle te retrouvera
Elle est précieuse oui plus que l’or
Donne-toi une chance, car tu as le choix
Même s’ils creusent ta fosse et que l’âme quitte le corps
N’oublie pas cette gosse son sang coule en toi
Oui, je lui pardonne pour qu’elle se rassure
Mais je n’arrive pas à oublier mes larmes
Qu’elle m’a fait verser des nuits et des jours
En pointant contre mon cœur un jour les armes
Oui, je l’ai aimé dis lui pour qu’elle se rassure
Sincère en vers elle était mon, je t’aime
Pour le meilleur et le pire, on a juré un jour
J’étais même près à lui offrir mon âme
Oui, moi aussi parfois, je fais des erreurs
Je ne l’ai pas compris elle ma première femme
Ce qu’il se passe ce jour-là dans son corps
Quand le ventre gros, ma fille en elle, ce forme
Peut-être elle sait, cacher ces douleurs
Par contre, moi, je pense comme un homme
Et tout ce qui brille n’est pas forcement de l’or
Pardonne-moi pour mes panses d’homme
Oh, tu sais comme le temps m’a rendu mur
Et la sagesse en moi, aujourd’hui, raisonne
Certes, je ne sais pas moi offrir des fleurs
Ni avec les mots dire, je t’aime
Mais dans mon cœur pour elle, j’ai bâté un fort
Ou ma présence ce jour-là témoigne
Rien qu’elle dans mon cœur parmi tant de fleurs
Mais moi loin d’elle m’a aveuglé la haine
L’écrit de ce soir est tellement fort
Car, ce soir, elle lui parle mon âme
Qu’elle m’ouvre ce soir, la porte de son cœur
Qu’elle me l’ouvre, car le mien, il saigne
Oui, je lui pardonne, car je n’ai plus peur
Elle était un jour ma première femme
Je la connais par cœur, sauf son intérieur
En la cueillant un jour, m’a trempé son charme
Chaque parcelle de son corps, connaît mes labours
Et chaque coin qui me flamme
Je connais le rythme de ses battements de cœur
Car, sur ma poitrine chaque nuit, elle s’endorme
Qu’elle se souvient, j’étais son amour
Avant que son cœur, se remplisse de haine
Quand l’esprit se lasse, n’est pas encore mur
Proie facile alors, pour ceux qui conseillent
Ils jugent a travers, ils jugent même a tort
Ils pussent les gens, a se rebellent
Mais la vie est courte, comme une roue qui tourne
Qui est en bas aujourd’hui, un jour devient haut
Et par terre moi, j’ai vu tant d’emblèmes
Je t’aime ma fille
Mustapha
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