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Brume de singe

#1
Le matin se soulève beaucoup avec une fine bruine,
le clap sur le tapis gris qui s"ouvre lentement
et les pas qui s'allongent sur 'une diluvienne fine

Les matins d'automne qui réveille les sens , le sens
l'odeur du parfum halé d'un homme
la vue qui éveille sur le cahier gris qui encense

Le toucher sur une craie rieuse d'un tableau fort noir ,
le gout d'un pain grillé pour son déjeuner du midi
l'ouie qu'il entends par les gamins de trottoirs.

Le parfait d'un imparfait bellâtre bonhomme
pris entre deux feux qui rêvent ses envies,
proche d'un Ouistiti et singe d'homme

Les brumes de l'automne ne s'amenuisent pas ,
sur les frais pas de notre dame,
quand les fières chiennes gardent le temple froid

Sur les hauteurs de grilles d'acier proche du bâtiment
les frêles guenilles et monkey gardant les portes avec
voir les avenues qui suintent le voile d'un rang .

les stèles d'un fort si haut qui ne vit pas plus ,
proche d'un parquet, qui replie les feuillets jaunes
dont pages d'un page , comme était Libre Max qui sut......

. . . . .
 
#2
je je je suis étonnée je ne comprends pas cette langue
d'où vient-elle ? existe-t-elle ?
j'ai lu plusieurs textes et je suis perplexe mais peut-être savez-vous ce que vous écrivez
et je suis une idiote ???
reflexion d'un lyceen qui connait les raisons ( je connais ce que j'écris ) , pour observer les batiments parisiens , proche de leur propre groupe scolaire dont eux, comme Moi, apprennent