Biondo veneziano, occhi di Valeria
Santa Lucia de Venise au Grand canal,
J’attends la ligne 2 après 10 h de rail.
Dans le vaporetto pour San Zaccaria,
J’oublie tout le métro, pour tes yeux Valeria.
Paris est sans lagune et pourtant l’on s’y noie
Aux regards de ses brunes dont les jupes tournoient.
À Lutèce, aux Arènes, le sable et la poussière
Les sacrent toutes reines dans les rais de lumière.
Mais la Sérénissime joue les ombres cachées,
Les brumes maritimes sur le rouge-orangé
Des briques arrangées au clapotis des ondes.
Sous peu je serais à tes pieds, mia cara,
Per una sorpresa che ti arrufferà
En mèches dérangées, ô vénitienne blonde !
Aubépin des Ardrets
Santa Lucia de Venise au Grand canal,
J’attends la ligne 2 après 10 h de rail.
Dans le vaporetto pour San Zaccaria,
J’oublie tout le métro, pour tes yeux Valeria.
Paris est sans lagune et pourtant l’on s’y noie
Aux regards de ses brunes dont les jupes tournoient.
À Lutèce, aux Arènes, le sable et la poussière
Les sacrent toutes reines dans les rais de lumière.
Mais la Sérénissime joue les ombres cachées,
Les brumes maritimes sur le rouge-orangé
Des briques arrangées au clapotis des ondes.
Sous peu je serais à tes pieds, mia cara,
Per una sorpresa che ti arrufferà
En mèches dérangées, ô vénitienne blonde !
Aubépin des Ardrets