Berceau d’illusions
Soudainement, je me suis retrouvée seule, au cœur d’un moment éphémère,
Lasse de ne pas toujours avoir su donner un sens à mes chimères,
Me sentant comme un coquillage qui se laisse emporter par la mer,
Sur le sofa, je me suis assoupi seulement quelques instants,
Les échos des souffles de vent sont venus me bercer ne serait-ce qu'un temps,
J'aurais tellement aimé pouvoir rêver ce même rêve encore très longtemps,
Bien blotti dans un berceau d’illusions, les yeux mi-clos, je me suis endormi,
Quelques pas vers les rêves inaccessibles, je me suis permis,
Parfois, il arrive que je ne veuille pas vivre ceux-là qu'à demi,
Sous chacune des grâces des toutes dernières divinités,
Je m'inspire sans bruit en profitant de cette si belle nuitée,
Rêver fut bien encore l'une de ses merveilles gratuités,
Un berceau comme celui-ci est semblable à un bel empire,
Au point que je peux y apercevoir le merveilleux pont des soupirs,
Durant ces instants de silence, tranquillement, j’ai su m'assoupir,
Trouvant un certain confort dans ce joli berceau,
Où, soudainement, mes rêves s'en emplissent d’idéaux,
Alors qu’entre rêves et espérances rien ne peut être plus beau,
Cela peu à peu, dans les tréfonds de moi-même s’est très joliment repeint,
Tout deviendrait en vain simple dans ce monde pour lequel on se donnera la main,
On s'aimerait un peu plus qu’hier, si fort aujourd'hui, mais sûrement moins que demain.
Soudainement, je me suis retrouvée seule, au cœur d’un moment éphémère,
Lasse de ne pas toujours avoir su donner un sens à mes chimères,
Me sentant comme un coquillage qui se laisse emporter par la mer,
Sur le sofa, je me suis assoupi seulement quelques instants,
Les échos des souffles de vent sont venus me bercer ne serait-ce qu'un temps,
J'aurais tellement aimé pouvoir rêver ce même rêve encore très longtemps,
Bien blotti dans un berceau d’illusions, les yeux mi-clos, je me suis endormi,
Quelques pas vers les rêves inaccessibles, je me suis permis,
Parfois, il arrive que je ne veuille pas vivre ceux-là qu'à demi,
Sous chacune des grâces des toutes dernières divinités,
Je m'inspire sans bruit en profitant de cette si belle nuitée,
Rêver fut bien encore l'une de ses merveilles gratuités,
Un berceau comme celui-ci est semblable à un bel empire,
Au point que je peux y apercevoir le merveilleux pont des soupirs,
Durant ces instants de silence, tranquillement, j’ai su m'assoupir,
Trouvant un certain confort dans ce joli berceau,
Où, soudainement, mes rêves s'en emplissent d’idéaux,
Alors qu’entre rêves et espérances rien ne peut être plus beau,
Cela peu à peu, dans les tréfonds de moi-même s’est très joliment repeint,
Tout deviendrait en vain simple dans ce monde pour lequel on se donnera la main,
On s'aimerait un peu plus qu’hier, si fort aujourd'hui, mais sûrement moins que demain.