Belle des champs
Dans la rosée matinale, elle se baladait, laissant ses empreintes,
Ce jour de printemps, tant d'odes ont pu se sentir,
L'air se mêla à l'odeur du lilas, de muguet et des roses
Sous l'azur, les rayons de lumière du soleil éblouissaient les pâturages,
Pendant plusieurs heures, elle était assise sur une balançoire accrochée à un chêne,
En paix, Belle s'autorisa à être submergée par la douceur zéphyrienne,
Les yeux mi-clos, le sifflement du vent se déchaîna au crépuscule de son cou,
Avec les caresses venteuses, elle plia les yeux et sentit, fusionnelle,
Une larme sur sa joue glisse si doucement qu'un frisson se fait ressentir,
Elle sent son cœur vibrer sous sa poitrine jusqu'à ce qu'il explose,
Soudainement, elle se sent éphémère et prise dans les grâces du printemps,
Alors que les prairies parsemées de fleurs sauvages doucement se teintent,
Au loin, dans les échos, des chants d'oiseaux viennent jusqu'à Belle pour retentir,
Sur leurs magnifiques chants mélodieux, elle ramasse des fleurs de muguet, éclosent,
Les pluies, le vent arrêtaient leur colère pour laisser le soleil déferler sur les nuages,
Pas à pas, elle tire profit du beau temps, elle rêve, elle se réoxygène,
Elle se promène à cueillir des fleurs dans les champs, elle fait une couronne tahitienne,
Fière de sa création fleurie, elle la dépose doucement sur son cou,
La belle des champs fût la plus heureuse, ni son sourire ni son regard ne saurait mentir,
Prés d'une fontaine à souhaits, sous la chaleur, quelques instants, elle s'expose,
Jusqu'au magnifique soleil couchant, la belle des champs profitera du beau temps,
Dans la rosée matinale, elle se baladait, laissant ses empreintes,
Ce jour de printemps, tant d'odes ont pu se sentir,
L'air se mêla à l'odeur du lilas, de muguet et des roses
Sous l'azur, les rayons de lumière du soleil éblouissaient les pâturages,
Pendant plusieurs heures, elle était assise sur une balançoire accrochée à un chêne,
En paix, Belle s'autorisa à être submergée par la douceur zéphyrienne,
Les yeux mi-clos, le sifflement du vent se déchaîna au crépuscule de son cou,
Avec les caresses venteuses, elle plia les yeux et sentit, fusionnelle,
Une larme sur sa joue glisse si doucement qu'un frisson se fait ressentir,
Elle sent son cœur vibrer sous sa poitrine jusqu'à ce qu'il explose,
Soudainement, elle se sent éphémère et prise dans les grâces du printemps,
Alors que les prairies parsemées de fleurs sauvages doucement se teintent,
Au loin, dans les échos, des chants d'oiseaux viennent jusqu'à Belle pour retentir,
Sur leurs magnifiques chants mélodieux, elle ramasse des fleurs de muguet, éclosent,
Les pluies, le vent arrêtaient leur colère pour laisser le soleil déferler sur les nuages,
Pas à pas, elle tire profit du beau temps, elle rêve, elle se réoxygène,
Elle se promène à cueillir des fleurs dans les champs, elle fait une couronne tahitienne,
Fière de sa création fleurie, elle la dépose doucement sur son cou,
La belle des champs fût la plus heureuse, ni son sourire ni son regard ne saurait mentir,
Prés d'une fontaine à souhaits, sous la chaleur, quelques instants, elle s'expose,
Jusqu'au magnifique soleil couchant, la belle des champs profitera du beau temps,