Adieu ! je pars cher hôpital
Si partir, c'est mourir un peu
Pour moi, bien loin d'être fatal
Te quitter c'est vivre un peu mieux
A travers, tes vitres obscures
J'ai entrevu un coin d'azur
Où volaient, des milliers d'oiseaux blancs
Symbole, de paix et de printemps
Des bruits de pas, des éclats de voix
Résonnent dans tes murs, hauts et froids
Des appels, des cris, des pleurs
S'accentuent au fil des heures
Au cours d'une nuit morphinique
Se créée, une atmosphère féerique
Du bleu, du rouge, du jaune, du vert
Dans un tunnel de lumière
La vie est une palette de couleurs
Mélange de joies et de douleurs
Et si ma route croise Apollon
Je ne lui dirai rien de Beaujon
Si partir, c'est mourir un peu
Pour moi, bien loin d'être fatal
Te quitter c'est vivre un peu mieux
A travers, tes vitres obscures
J'ai entrevu un coin d'azur
Où volaient, des milliers d'oiseaux blancs
Symbole, de paix et de printemps
Des bruits de pas, des éclats de voix
Résonnent dans tes murs, hauts et froids
Des appels, des cris, des pleurs
S'accentuent au fil des heures
Au cours d'une nuit morphinique
Se créée, une atmosphère féerique
Du bleu, du rouge, du jaune, du vert
Dans un tunnel de lumière
La vie est une palette de couleurs
Mélange de joies et de douleurs
Et si ma route croise Apollon
Je ne lui dirai rien de Beaujon