La nuit s’était endormie
Et le vent s’était rafraîchit
A travers les feuilles des arbres, qu’il avait franchit.
L’air, avec caresse avait transmis
Ses frissons glacés sur les corps démunirent
Et exposés à la belle étoile.
Entre les branches dormait une araignée dans sa toile
Un peu plus haut, un oiseau couvait ses œufs dans son nid.
Pendant que les coassements des grenouilles s’éteignaient à petit feu
Dans le beau ciel sombre, courrait à vive allure
Un nombre indéchiffrable d’étoile aux éclats d’armure
Annonçant ainsi la fin d’innombrables vœux
Nocturne et pendant que la nuit voyageait vers affleurs
Sur la berge, le matin s’apprêtait à éclore ses divines fleurs.
Et le vent s’était rafraîchit
A travers les feuilles des arbres, qu’il avait franchit.
L’air, avec caresse avait transmis
Ses frissons glacés sur les corps démunirent
Et exposés à la belle étoile.
Entre les branches dormait une araignée dans sa toile
Un peu plus haut, un oiseau couvait ses œufs dans son nid.
Pendant que les coassements des grenouilles s’éteignaient à petit feu
Dans le beau ciel sombre, courrait à vive allure
Un nombre indéchiffrable d’étoile aux éclats d’armure
Annonçant ainsi la fin d’innombrables vœux
Nocturne et pendant que la nuit voyageait vers affleurs
Sur la berge, le matin s’apprêtait à éclore ses divines fleurs.