Aux pieds d’un pin.
L’infante marche sur le petit chemin
De chaque côté les haies de romarins
L’accompagnent de ses frais parfums
Joyeuse, elle rejoint à la plage ses copains
C’est le chemin de la fin d’une l’enfance
Où le soleil rythme avec insouciance
Un loup est allongé, là, sur le sable
En attente d’une proie désirable
Au petit matin
Près du chemin
Aux odeurs romarins
Un cadavre gît aux pieds d’un pin
Loïc ROUSSELOT
L’infante marche sur le petit chemin
De chaque côté les haies de romarins
L’accompagnent de ses frais parfums
Joyeuse, elle rejoint à la plage ses copains
C’est le chemin de la fin d’une l’enfance
Où le soleil rythme avec insouciance
Un loup est allongé, là, sur le sable
En attente d’une proie désirable
Au petit matin
Près du chemin
Aux odeurs romarins
Un cadavre gît aux pieds d’un pin
Loïc ROUSSELOT