Le ferblantier a planté son echope aux marches du Palais,
Le Pays est en guerre, récupèrant la ferraille pour la réformater,
Dans la rue des couturiers, les robes sont cousues, mais c'est à la maison qu'elles seront portées.
Nous sommes en Turquie, dans l'arrière pays près d'Istanbul, moins traditionnelle que la burqua, légères sont celles des mariées.
Qui dit bases militaires dit conteners, eux aussi ont une seconde vie, servant à la population d'abris,
Un Pays de prestige, de vestiges pris dans le fracas des mortiers,
Pourtant on se lève, lave, on rit, pleure,
on prie,
On se marrie, à la tombée de la nuit, le fête est restreinte, et l'enfant grandit.
Ils est dans les entrailles, une Basilique bleue, elle brille comme l'étoile, de plein feu,
Sainte Sophie priez pour eux, un croissant blanc-ocre scintille sur une mer bleue,
Sera-t-il *les lendemains d'esperance*,
auprès du Palais à l'abandon,
Quand au plus fort de l'été, chars, et milices armes usent de l'escadron,
Engageant un bras de fer avec ceux qui restent là, pour rêver,
D'un avenir pour un pays devaste
Sans noter le désordre des montagnes brûlées,
La Foi en leurs richesse0s archéologiques, des sites laminés des siècles passés,
La Nature fait parfois son métier pour reprendre ce qui lui a été dérobé.
En live
Le Pays est en guerre, récupèrant la ferraille pour la réformater,
Dans la rue des couturiers, les robes sont cousues, mais c'est à la maison qu'elles seront portées.
Nous sommes en Turquie, dans l'arrière pays près d'Istanbul, moins traditionnelle que la burqua, légères sont celles des mariées.
Qui dit bases militaires dit conteners, eux aussi ont une seconde vie, servant à la population d'abris,
Un Pays de prestige, de vestiges pris dans le fracas des mortiers,
Pourtant on se lève, lave, on rit, pleure,
on prie,
On se marrie, à la tombée de la nuit, le fête est restreinte, et l'enfant grandit.
Ils est dans les entrailles, une Basilique bleue, elle brille comme l'étoile, de plein feu,
Sainte Sophie priez pour eux, un croissant blanc-ocre scintille sur une mer bleue,
Sera-t-il *les lendemains d'esperance*,
auprès du Palais à l'abandon,
Quand au plus fort de l'été, chars, et milices armes usent de l'escadron,
Engageant un bras de fer avec ceux qui restent là, pour rêver,
D'un avenir pour un pays devaste
Sans noter le désordre des montagnes brûlées,
La Foi en leurs richesse0s archéologiques, des sites laminés des siècles passés,
La Nature fait parfois son métier pour reprendre ce qui lui a été dérobé.
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