Aux insomniaques du site
Quand j’étais encore gamin
Ma mère disait a tout le monde
Ah lui, il dormirai sur un tas de brin
Pas très élégant, voir immonde
Et même encore actuellement
Je vais au lit après le journal
Après mettre brosser les dents
Je passe le gant sur mon crotale
Et cinq minutes après plus personne
Mon épouse me donne des coups de pied
Car mes ronflements résonnent
Elle n’entend pas la télé
Et quand je fais du sport
Je créais de l’endorphine
Comme un bébé, je dors
Même pas besoin de tétine
Parfois il a des coups de tonnerre
Le ciel peut me tomber sur la tête
Je dors tranquille Pépère
Rien ne me gêne dans mon ronflette
Ma femme qui souvent veille
Me dit < Tu as entendu l’orage >
< Quel orage> Pas perturbé mon sommeil
Même quand la foudre a fait du tapage
Et je ne me gave pas de barbituriques
De temps de temps une tisane
Pour ses pouvoirs toniques
Ce n’est pas pour bander comme un âne
Quand les voisins rentrent tard
Et que leurs portes claquent
Moi au fond de mon plumard
Je rêve de montagnes et de lacs
Je me lève une fois par nuit
Toujours vers deux heures
Eh oui quand j’ai envie j’ai envie
De faire pleurer le baigneur
Je me secoue la dernière goutte
Contre le rebord de la lunette
Je laisse filer un prout
Dans le pyjama je range la bête
Je retrouve mon paddock
Je souffle la lumière
Merde 5h, l’ heure de mettre mon froc
Reposé je quitte ma tanière
Quand j’étais encore gamin
Ma mère disait a tout le monde
Ah lui, il dormirai sur un tas de brin
Pas très élégant, voir immonde
Et même encore actuellement
Je vais au lit après le journal
Après mettre brosser les dents
Je passe le gant sur mon crotale
Et cinq minutes après plus personne
Mon épouse me donne des coups de pied
Car mes ronflements résonnent
Elle n’entend pas la télé
Et quand je fais du sport
Je créais de l’endorphine
Comme un bébé, je dors
Même pas besoin de tétine
Parfois il a des coups de tonnerre
Le ciel peut me tomber sur la tête
Je dors tranquille Pépère
Rien ne me gêne dans mon ronflette
Ma femme qui souvent veille
Me dit < Tu as entendu l’orage >
< Quel orage> Pas perturbé mon sommeil
Même quand la foudre a fait du tapage
Et je ne me gave pas de barbituriques
De temps de temps une tisane
Pour ses pouvoirs toniques
Ce n’est pas pour bander comme un âne
Quand les voisins rentrent tard
Et que leurs portes claquent
Moi au fond de mon plumard
Je rêve de montagnes et de lacs
Je me lève une fois par nuit
Toujours vers deux heures
Eh oui quand j’ai envie j’ai envie
De faire pleurer le baigneur
Je me secoue la dernière goutte
Contre le rebord de la lunette
Je laisse filer un prout
Dans le pyjama je range la bête
Je retrouve mon paddock
Je souffle la lumière
Merde 5h, l’ heure de mettre mon froc
Reposé je quitte ma tanière