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Aujourd’hui, je suis passé à la pasticherie et j’ai acheté Mille feuilles en or.

luron1er

Administrator
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#1
Aujourd’hui, je suis passé à la pasticherie et j’ai acheté Mille feuilles en or.​


Con ! Plainte d’ ho ! Tonne ! (D’après Complainte d’ Ô tonne ! de Lilasys)

Raison couronnée de splendeur au reste d’envergure,
Toi, ho ! Donnes au sport où t’accusent les garçons, répares !
Oh, séants des douleurs hurlées, offre mer bien pure,
Ton joli conte nappe ma ronde à tes égards.


Ma soupe d’humour te fournis un aiguillon salutaire,
Je gribouille et t’altère de recueils encore cette fois,
De cette mêlée compatissante en con de comédie sans première,
L’oie sort de son lit, si rupestre gourd sans sa voie.


Les vents d’anges, haut chapeau pour futur millésime, aspire,
Ma chanson part sur ce chemin où ma plume recueille tes traits,
Tu es l’amie dont la feuille survolée enlève mes sourires,
Sous ce ciel gris, le bleu se signe à la devanture des distraits.


Ton rivage désire l’exploit des rondes de mes soupçons d’envie,
Souvent graine de bonjours dans une plaine de plaisirs réjouis !
Sur l’intime de mes hémisphère que ma bannière dévie,
Toi ! Des merveilles aux bienheureux, mais je ne te sais pas épanoui !


Tu es mes aventures mauves qui snobent ta tendresse,
Au champ de noix, écale l’élève asséchées de l’instant,
Trublion furieux des aberrances à cocher tout de son altesse,

Ton voile abrogé deviendra la naissance au printemps bien traitant.

Complainte d’ Ô tonne !

Saison couronnée de langueur au zeste de verdure,
Toi, automne au port où s’excusent les gazons épars !
Océan de couleurs brûlées, coffre mère nature,
Ta folie conte la mappemonde de nos regards !


Ton souffle d’amour endormi sur raidillon solitaire,
Tu barbouilles notre terre d’accueil encore une fois,
De cette gelée pâlissante sur fond de mélodie en lumière,
L’oiseau de son nid orchestre en sourd dans le bois !


Les vendanges Ô rameaux d’un futur millésime n’expire,
Le frisson du parchemin où plume ne cueille d’attraits,
Tu es l’amidon la feuille envolée perd le sourire,
Sur ciel gris, bleu se signe ton aventure à jamais,


Ton visage cire le toit du monde d’un soupçon de vie,
Ce vent plane de longs jours sur la plaine, le désir évanoui !
Sur la cime de la plus haute sphère, qu’une paupière envie,
Toi ! Dites merveille de biens malheureux dont je n’ai pas joui !


Tu es cette chevelure fauve arborant sa sobre richesse,
Le chant sournois sur nos lèvres séchées par le temps,
Tourbillon frileux de ton existence au clocher d’une messe,
Ta toile délogée sera la renaissance d’un hiver sous-traitant.


Lilasys
 
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