Au sac de l’humour.(pastiche)
Le vieux traîne sans se taire et se mire sur tes mots,
De ce sac aux emplettes qui prolongent aujourd’hui ma chance,
Comme des gants qui sont pour moi une deuxième peau,
Cette force qui n’ébrèche pas toutes nos années de connivence.
Nul silence ne pourra empêcher notre prochain réveil,
Même si de funestes détracteurs éclaboussent nos pages,
Celles qui restent déceler les blanches adressées au ciel,
Elles crachotent tant de mots inconnus, un triste affichage.
Un jeune sabre prévoit la préface dans ce parloir de chance,
Et dépeint un plus en transparence pour armure en mêlée,
Je ne doit qu’à l'autre, j’arrive, j’observe, j’me lance,
Mes tirades sont des caresses qui m'enracinent sur le mot ! ANIMER.
Le vieux traîne sans se taire et se mire sur tes mots,
De ce sac aux emplettes qui prolongent aujourd’hui ma chance,
Comme des gants qui sont pour moi une deuxième peau,
Cette force qui n’ébrèche pas toutes nos années de connivence.
Nul silence ne pourra empêcher notre prochain réveil,
Même si de funestes détracteurs éclaboussent nos pages,
Celles qui restent déceler les blanches adressées au ciel,
Elles crachotent tant de mots inconnus, un triste affichage.
Un jeune sabre prévoit la préface dans ce parloir de chance,
Et dépeint un plus en transparence pour armure en mêlée,
Je ne doit qu’à l'autre, j’arrive, j’observe, j’me lance,
Mes tirades sont des caresses qui m'enracinent sur le mot ! ANIMER.