Dans la douce brise d’été résident tes murmures mélodieux,
Dans le ruissellement de l’eau, je sens ton aura,
Les exquises effluves des fleurs printanières évoquent ton parfum de magnolia,
Chaque étoile dans le ciel nocturne, me rappelle ton sourire délicieux.
Ta douceur en ce monde est sans pareil,
Tu es mon cœur, ma merveille,
Tu rayonnes d’intelligence,
Sans cesse, c’est à toi que je pense.
Hélas ! Mille de mes mots ne suffiraient à décrire,
La façon dont tu parviens à m’éblouir,
Et la manière dont je t’admire,
Car de ton enchantement, je ne puis m’affranchir.
Marjolaine, tu es ma raison de vivre,
Chaque instant passé auprès de toi, un peu plus m’enivre.
Dans le ruissellement de l’eau, je sens ton aura,
Les exquises effluves des fleurs printanières évoquent ton parfum de magnolia,
Chaque étoile dans le ciel nocturne, me rappelle ton sourire délicieux.
Ta douceur en ce monde est sans pareil,
Tu es mon cœur, ma merveille,
Tu rayonnes d’intelligence,
Sans cesse, c’est à toi que je pense.
Hélas ! Mille de mes mots ne suffiraient à décrire,
La façon dont tu parviens à m’éblouir,
Et la manière dont je t’admire,
Car de ton enchantement, je ne puis m’affranchir.
Marjolaine, tu es ma raison de vivre,
Chaque instant passé auprès de toi, un peu plus m’enivre.
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