Au bord de la Loire
Entre chien et loup, au crépuscule du soir
Le petit peuple des bois sort de sa torpeur
La vie s’anime, grouille aux abords de la Loire
A la fin de l’été, au départ des campeurs
L’automne va prendre place, les arbres frivoles
Profitent un peu des derniers rais de chaleur
Et sous les humeurs du vent, leurs feuilles s’envolent
Retombent d’un léger sur le sol sans fleurs
Le relief revêt un blanc manteau d’hermine
La terre grelotte, mais le fleuve impassible
Suit son cours immuable, à l’abri des chaumines
L’atre réchauffe les lieux, tout est paisible !
Entre chien et loup, au crépuscule du soir
Le petit peuple des bois sort de sa torpeur
La vie s’anime, grouille aux abords de la Loire
A la fin de l’été, au départ des campeurs
L’automne va prendre place, les arbres frivoles
Profitent un peu des derniers rais de chaleur
Et sous les humeurs du vent, leurs feuilles s’envolent
Retombent d’un léger sur le sol sans fleurs
Le relief revêt un blanc manteau d’hermine
La terre grelotte, mais le fleuve impassible
Suit son cours immuable, à l’abri des chaumines
L’atre réchauffe les lieux, tout est paisible !