S’éclaire une lueur sur l’attrait de son âme
S’éveillant du reflet au matin de sa flamme
Et voilà son aurore où l’azur naît hautain
S’éveillant du reflet au matin de sa flamme
Et voilà son aurore où l’azur naît hautain
N’éludant nul symbole en son palais vit l’astre
D’une plume en voyage où s’inquiète un matin,
En la page étourdie apparaît une dame :
Ô Fée ! Ô douce muse éblouissant la trame
Naviguant en ces flots. Mais qu'elle a l’air mutin !
En la page étourdie apparaît une dame :
Ô Fée ! Ô douce muse éblouissant la trame
Naviguant en ces flots. Mais qu'elle a l’air mutin !
S’imposant, son symbole en son palais peint l’astre !
La lumière, une aura poursuivant l’apoastre
Que vient–elle effleurer dans la paix de son for !
Aucun autre à l’instant ne l’émeut d’un sinistre
Ornant la douce orée; un Cygne l'administre
Ses heures nous berçant d’unique réconfort…
Que vient–elle effleurer dans la paix de son for !
Aucun autre à l’instant ne l’émeut d’un sinistre
Ornant la douce orée; un Cygne l'administre
Ses heures nous berçant d’unique réconfort…
Maria-Dolores